19. Briser le coeur d'une femme

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Aaron

Je m'appuyai sur elle en reprenant ma respiration. Je ne lui avais même pas laisser le temps de parler que je m'étais jeté sur elle. J'avais tellement pensé au moment où je la reverrais enfin, que j'avais laissé mon envie d'elle surpasser le reste. Je me retirai d'elle doucement en la reposant au sol. Je ne la quittai pas des yeux, elle non plus ne me quitta pas des yeux.

-- Tu veux bien me montrer ta chambre, fis-je doucement en lui souriant.

Elle hocha la tête. Elle se pencha pour ramasser son t-shirt qu'elle plaqua sur son ventre. Je lui repris aussitôt en dévoilant à nouveau sa peau tout en essayant de la rassurer. Malgré les moments que nous avions passés ensemble, j'étais étonné de constater qu'elle était encore pudique avec moi.

-- Tu es magnifique Eleanore, tu n'as vraiment pas besoin de ça.

Je lui pris sa main que j'entrelaçai à la mienne. Elle commença à avancer, je la suivis en ramassant mes habits au passage. Elle nous fit entrer dans sa chambre en nous laissant dans le noir le plus total. Je l'attrapai par les hanches pour la coller à moi. Je m'avançai pour rejoindre son oreille et lui murmurer :

-- J'aimerais te voir, allumes la lumière s'il te plait.

-- Je...

-- S'il te plaît, insistai-je. Combien de fois vais-je devoir te dire que je te trouve magnifique pour que tu me crois ?

-- D'accord, soupira-t-elle.

Je refermai la porte derrière nous en la relâchant. Elle alluma une petite lampe qui se trouvait sur sa table de nuit. Elle resta dos à moi en se dandinant sur place.

-- Enlèves tes sous-vêtements, lui ordonnai-je doucement.

Je la regardai faire en enlevant ma capote que je nouai avant de l'emballer dans un mouchoir que je sortis de la poche arrière de mon jean en même temps que je récupérai d'autres munitions. Je jetai mon mouchoir dans le coin prêt de la porte et j'enlevai complément mon boxer.

-- Regarde-moi s'il te plaît, lui intimai-je en me délectant de la vue de son corps nu.

Elle se retourna timidement. Elle mit ses bras devant son ventre comme pour le protéger. Je me rapprochai d'elle. Je déposai mes capotes sur sa table de nuit à côté de nous. Je pris ses mains que je soulevai délicatement pour découvrir sa peau.

Je m'abaissai devant elle en parcourant son corps de baisers pour arriver sur son ventre. Je fis glisser ma langue jusqu'à son nombril. Je la sentis se crisper légèrement.

-- J'adore cette partie de ton corps, déclarai-je contre sa peau. J'aimerais tellement que tu arrêtes d'en avoir honte.

-- Aaron, s'il te plaît arrête, supplia-t-elle doucement.

-- Je veux que tu n'aies honte de rien avec moi, laisses-moi chérir ton corps, continuai-je en descendant mes baisers sur sa petite chatte.

J'écartai ses cuisses. J'enfonçai ma tête en elle pour sucer et relécher sa vulve gonflée par notre précédente baise. Elle se mit à respirer plus fort en agrippant mes cheveux. Je posai une de ses jambes sur mon épaule. J'écartai un peu plus ses lèvres pour entrer ma langue en elle que je fis aller-et-venir rapidement. Elle se remit à gémir en avançant son bassin vers moi.

C'est ça, lâche toi déesse. Laisse-toi aller contre moi, ne te retiens pas.

Je remontai ma bouche sur son nombril en même temps que j'insérai mes doigts en elle. Je commençai à les faire aller doucement en m'agrippant à son cul tout en mordillant la peau de son ventre. Elle soufflait et pestait en se maintenant à ma tête.

La Proposition (Correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant