L'espionne du Diable

•Chapitre 19•

Pdv d'Amara:

Qu'est-ce que je suis entrain de faire ?

Je viens de signer un pacte avec le diable en lui même.

Son regard me transperce l'âme alors qu'il se redresse.

Il attrape mes chevilles et les écarte. Mes cuisses s'écartent naturellement.

Je me sens exposée même si je suis encore habillée.

Je suis là, allongée et complètement à sa merci en attendant son prochain geste.

Mais je le veux. Réellement, entièrement. Mon corps ne peut pas le nier et mon esprit non plus.

Zale : Tu vas rester bien calme solnyshko. Me dit-il d'une voix rauque.

Rien que le son de sa voix me suffirait pour venir. Mais ça je ne lui avouerai jamais ni à lui, ni à personne d'autres. J'ai déjà du mal à me l'avouer à moi même.

Zale : Baisse ton short. M'ordonne-t-il d'un sérieux déconcertant.

J'hésite un moment mais mes mains se frayent un chemin vers l'élastique de mon short et je me soulève afin de baisser le short, comme il m'a demandé de le faire.

Il regarde ma culotte un instant alors que mon sang chauffait et montait à mes joues.

Zale: Tu es... trempée. Grogne-t-il d'une voix à peine humaine.

Il passe sa main sur ma culotte. Toute sa main était posée de manière possessive sur ma partie intime et des frissons m'électrocutent tout le corps.

Je ferme mes yeux afin d'essayer de me concentrer et de ne sortir aucun bruit de ma bouche mais sa poignée se raffermit et ça me fait immédiatement ouvrir les yeux et la bouche.

Un souffle tremblant quitte mes lèvres alors que mon corps était pris de spasme.

Zale: Tu trembles déjà ? Murmure-t-il. Tu es si fragile Amara. Tu le sais ? Dit-il en décalant ma culotte.

L'air frais vient chatouiller entre mes cuisses et l'intensité de son regard me fait soudainement paniquée.

Je n'ai jamais douté de moi ou de mon corps mais là tout de suite j'ai juste envie de me cacher.

Je referme mes cuisses et immédiatement après elles étaient de nouveau ouvertes et encore plus qu'avant.

Zale : Ne refais plus jamais ça.

Moi: Je... Murmurais-je d'un coup.

Zale : Arrête de douter de toi. Dit-il en glissant deux doigts tout le long de mes lèvres avant de remonter exactement là où mon point sensible était entrain de tambouriner.

Je mord ma lèvre et essaye de contrôler ma respiration.

Il presse mon bouton de chair alors que ma bouche s'ouvre en grand sans qu'aucun son n'en sorte.

C'est une torture.

Zale : Crie pour moi Amara, tôt ou tard tu crieras mon prénom alors entraîne toi dès maintenant. Dit-il en commençant à faire des mouvements circulaires.

Il est désormais de nouveau presque allongé sur mon corps alors que ses doigts jouaient avec mon sexe.

Lentement.

Une envie incontrôlable de me frotter à ses doigts me prend. J'ai besoin de plus de friction et il le sait et il prend un plaisir immense à me faire languir, patienter, à me torturer.

Moi: Zale... plus. Dis-je entre deux souffles alors qu'il commençait à accélérer la cadence.

Zale: Plus de quoi ? Dit-il en accélérant encore plus.