- BRYANAH -
Toc toc toc
- Entrez
La personne ouvre la porte et entre dans mon bureau, c'est Diamond. Il vient s'asseoir sur le canapé.
- Bonjour Diamond vous allez bien ?
Diamond : Au calme et vous ?
- Je vais bien, les somnifères que je vous avais prescrit ils fonctionnent ?
Diamond : Ouais
- D'accord, elle s'est passée comment votre semaine ?
Diamond : J'ai refais des cauchemars sur ma mission sinon elle était plutôt calme. Et la votre.
C'est la première fois qu'un patient me demande comment ma semaine s'est passée.
- Euh elle s'est bien passée merci.
Il acquiesce
- Bon aujourd'hui j'aimerai que vous me racontiez votre kidnapping si ce n'est pas trop difficile pour vous.
Diamond : soupir D'accord
Jordanie 📍
6 mois plutôt
Je suis toujours attaché à une chaise je crois que ça fais quelques jours que je suis ici. Ils me torturent tous les jours pour me faire parler.
J'entends quelqu'un entre dans la pièce où je suis. J'ouvre difficilement les yeux, c'est le même homme que la dernière fois. Il s'approche de moi et me gens une bouteille d'eau et du pain.
Homme : Manges
- Je suis pas ton chien donc non je ne mangerai pas.
Il rigole nerveusement et vient m'attrape violemment par le cou.
Homme: Tu vas manger !
- Demandes le moi gentiment et avec politesse peut-être que je mangerai. Et aussi détache moi je commence à avoir mal aux mains.
Il me regarde et commence à m'insulter en arabe. Finalement j'ai accepté de manger parce que j'avais vraiment faim et je commençais à être faible.
Homme : Tu vois quand tu veux. Maintenant tu vas me dire ce que ton pays veut au mien
- Je ne sais pas
Homme : Alors pourquoi vous étiez en train de surveiller ma base !
- Arrêtes de crier connard va et je t'ai déjà dis. C'est parce qu'on s'ennuyait !
Homme : Tu me prends vraiment pour un con toi ?
Il s'approche de moi et me frappe le ventre avec une batte de base-ball.
Homme : Tu vas parler ou on va continuer à te torturer.
- sourire provocateur Jamais de la France je trahirai mon pays.
Il rigole nerveusement et pars appelez ses hommes. Ils rentrent dans la pièce et commencent à me frapper.
Une heure plus tard