Tu Peux Le Faire

chapitre 42

Camille

J'étais surprise mais ne laisser rien paraître je retire ma main avec hâte avant de le jauger du regard.

-. Puis je savoir ce que vous faites?

-. Je ne faisais que répondre à votre question sur mon identité rien de plus!

-. Donc vous n'avez pas la cinquantaine...

-. Non madame vous vous attendiez à un cinquantenaire? Répond-t-il à vos critères d'hommes ayant la possibilité de vous faire un baisemain ?

-. Pas du tout, j'ai juste été surprise et d'un côté je me doutais bien qu'il y avait quelques choses de louche sur votre identité!

Julio me perce de ses yeux bleus et claque sa langue ressortissants un son assez dérangeant avant de se rapprocher encore plus de moi...

Je n'avais pas remarquée que j'étais dos au mur; avant que je ne dise quoi que ce soit sa voix intervient enfin et elle n'était pas joyeuse du tout...

-. J'espère que je ne dérange pas!

Julio se ravisa et s'éloigna au plus vite de moi comme s'il avait peur de se brûler les doigts!

Je jette un œil sur stephen ho mon Dieu il est encore plus beau ! Comment fait il ? Je lui souris ravie de le revoir et monsieur me fait la tête ne daignant même pas me jeter un regard.

-. Ho Stephen Sillas quelle joie de te revoir !

-. Ti avevo già detto di non mettere più piede qui, te ne sei già dimenticato?
(Je t'ai déjà dis de ne plus remettre les pieds ici l'as tu déjà oublié ? )

Je ne comprenais plus ce qu'il disait mais Stéphen semblait bien lui faire des menaces...

-. Oh calmati!  Ho saputo che eri tornato e soprattutto che non eri solo, quindi volevo vedere questo bellissimo gioiello che hai portato dalla Francia!
(Ho calme toi ! J'ai appris que tu étais de retour et surtout que tu n'étais pas seul, alors j'ai voulu voir ce beau bijou que tu as ramené de la France ! )

Après qu'il ait terminé sa phrase il se retourne et affiche un sourire sadique avant que Stephen écrase son point sur sa figure

-. Fiche le camps dici ! Maintenant ! Et t'avise plus jamais d'y mettre les pieds !

Julio se contente d'afficher son sourire malsain et sors de mon bureau, moi pendant tout ce temps je découvrais la facette impulsive de Stephen qu'est ce qui lui a pris de lui donner ce coup de poing ?

Son regards se porte encore sur moi ses traits durcis semblaient se détendre mais je  sentais que je n'étais pas tirée d'affaires...

Il se rapproche dangereusement de moi et relève ma tête de son index...

-. Alors tu te laisse séduire aussi facilement ? C'est ça ? Dès que j'ai le dos tourné ?

Quoi ? Il est fou ? Cet homme pervertie et sûrement qu'il y a quelques choses qui cloche dans sa tête a presque failli m'agresser et il me dit que je me suis laissée séduire ?

-. S'il te plaît ! Tu aurais dû me dire que cet homme n'était pas digne de confiance, en plus de cela je ne connaissais en rien que vos relations étaient tendues !

-. Ho! Madame se cherche des excuses ? Il t'attirai ? C'est ça ?

-. Tu sais je peux tout permettre mais absolument pas que tu me traites de pétasse !

J'arrive à m'extirper assez facilement de lui mais il me rattrape me tirant vers lui nous retrouvant nez à nez

-. Qui a dis que je te traitais de pétasse, ça ne te disais rien de te retrouver seule dans ton bureau avec un autre que moi ? Fallait il que tu lui autorise à rester pourtant tu savais très bien qu'il était louche ?