Chapitre 19 : Sabaody, le retour

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Publié le 04/03/24

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PDV de (t/p) : 

Rien n'a changé. Le parc d'attraction est toujours là, tout comme les commerces. Dans un restaurant, je remarque que c'est quelque peu agité. Des supernovas sont présents. Je suis arrivée le bon jour.


 Les salles de vente au même endroit qu'avant, et pour celle que j'ai détruite, elle a été rénovée depuis bien longtemps. Tant que les gens de la haute et les dragons célestes feront leur course ici, la marine ne bougera pas le petit doigt. 


Je frappe à la porte de mon ancien chez moi.


Shaky : (t/p) ?!

- Salut Shaky, comment tu vas ?

S : Très bien depuis la dernière fois, et toi après toutes ces années ?

- Disons que j'ai eu pas mal de boulot. Mais cela m'a permis de devenir plus forte.

S : Je suis ravie de l'apprendre. Si tu cherches Rayleigh, il n'a pas changé ses habitudes. 

- Merci.


Je retourne sur le lieu que j'avais brûlée étant plus jeune. Les personnes qui en sortent m'indique que la vente s'est clôturée. Mais aucun signe du vieux. En ressortant de là, je vois au loin l'équipage de Luffy. Ceux que je rêve de rencontrer depuis maintenant dix huit ans. Mais pourtant, ce n'est pas encore le bon moment. Je me contente de les prendre en filature, puis ils finissent par entrer dans un autre de ces bâtiments. 


Je m'assoie à l'arrière, en hauteur dans l'amphithéâtre. Ma position me permet de les détailler, avec leur ami homme poisson. Sur ma gauche je repère Trafalgar, et sur ma droite, dans mon dos, l'équipage de Kidd. Et plus bas ...


Charlos : Je l'achète, 500 millions de berrys ! Crie un dragon céleste face à la sirène mise en vente.


Cela jette un froid dans la salle, les mugiwara n'ont pas assez d'argent pour sauver leur amie. Moi en revanche.


- 500 millions et 1 berrys ! J'ai décidé d'embêter mon monde. 


Ce maudit dragon céleste me fusille du regard alors que les autres restent en état de choc. Ils doivent me croire folle de le défier. Mais j'ai assez d'argent et de force pour rivaliser avec n'importe qui dans ce monde.


Charlos : 1 milliard de berrys !

- 1 milliard et 1 berrys ! 

Charlos : C'est pas bientôt fini ?! Qu'il me menace de son arme. 

C :  Tu ne sais donc pas qui je suis misérable vermine ?! Je suis un dragon céleste tu entends ?! Je te suis supérieur alors soumet toi !


J'ai l'impression qu'énerver les gens est inné chez ces parasites.


- J'offre 1 milliard 500 millions de berrys pour la sirène ! 


Je rêve de pouvoir les brûler, ici et maintenant. Mais je doute que ce soit le bon moment, alors je m'amuse autant que possible. Mais en n'en faisant qu'à ma tête, je pourrais compromettre un plan mis en place et perfectionné depuis ma naissance. 

Etoile montanteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant