[II] Forever yours...

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Vous l'avez réclamer alors le voilà un peu plus et je postais demain 🌚

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Maleynah

Nous y sommes, le moment que j'ai tant redouté depuis que j'ai appris que miraculeusement je portais la vie.

J'allais devoir annoncer au diable qu'il avait créer la vie, et qu'il devait à présent l'a protégée .

- Peux-tu repéter ma douce.

J'hume délicatement son odeur espérement detourner mon esprit de l'étrange sensation qui recouvre mes épaules.

- Je... Je te Présente Rahelya Ylarie Lénah Carter, ma fille... Notre enfant.

le silence qui suit ma phras est tout aussi mortuaire que le premier. Rahelya frétille dans mes bras réclamant que je la pose au sol. Cependant j'ai besoin de la tenir dans mes bras de me rappeler pourquoi je suis ici devant son... devant son père.

- Je... je t'ai bousiller, physiquement, tu ne peux en ressortir avec une grossesse.

j'ai pensé exactement la même chose que lorsque le docteur me l'a annoncé, avant de me conduire en salle d'accouchement parce que le travaille avait déjà commencer.

Comment pouvais-je être enceinte, comment pouvais-je porter l'enfant d'une être aussi abjecte que lui. Qu'étais supposé lui dire lorsqu'elle demandera d'après son père. Je refusais plus que tout qu'elle vive ce que j'ai vécu avec un père absent et une mère obligé de se tuer à la tache pour subvenir à ses besoins. Toutefois il était hors de question que je l'introduise dans le monde violent et sanglant de son père.

Et pourtant, me voilà débout face à lui, espérant qu'il la protège... qu'il nous protège.

- Elle ne mord pas Carter, rapproche toi plus près et regarde l'a bien.

Je retire délicatement de ses petites mains ma mèche de cheveux sur laquelle elle s'amusait à tirer et  la tourne vers lui. Comme lui, elle est happé par ce qu'elle voit, de cet unique chose qu'ils ont en commun et qui me force malgré moi à admettre qu'il est bel et bien son père.

- Putain de merde, souffle-t-il devant ses yeux vairons.

- Elle est bien de toi Carter, c'est pour cet unique raison que nous sommes là.

Il balait ma phrase du revers de la main, captiver par le sourrie qu'elle lui offrait. Elle bat energiquement des mains dans sa direction, une façon à elle de demander qu'il l'a c porte .

- Est-ce... Est-ce que je peux...

Je refoule mes larmes en hochant de la tête. Même s'il m'effraie ~ et Dieu sait que j'ai des raisons d'avoir peur~ je ne pouvais pas lui interdire ... leur interdire de tisser un lien. Peu importe à quel point il sait ce montrer abjecte, je sais que pour les siens, il mettrait ce monde à feu et à sang.

Timidement, il avance les mains vers elle. Je suis émue de le voir ainsi, fragile et vulnérable, non pas parce que son alter Marcelus aurait prit le dessus, mais parce que pour une fois, il exprimait réellement une émotion humaine.

il l'a porte délicatement, tel un vase en porcelaine qu'il a peur de briser. Je me retiens de glousser quand elle tire sur sa légendaire mèche de cheveux qui dépasse mais reste fasciner devant le sourire qui étire ses lèvres lorsqu'elle lui mordille la joue.