[II] Forever yours...

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Maleynah

À ce stade, je pense que l'univers n'a pas seulement un sens de l'humour assez particulier, non maintenant je peux affirmer qu'il m'en veut.

Pour une raison qui m'échappe totalement, le bonhomme la haut me déteste et ne rate pas une occasion de me le faire savoir.

Comment ai-je pus me faire kidnapper en face d'une boîte appartenant au réseau avec des homme travaillant pour le psychopathe.

À ce demander si c'était bien moi la taupe dans son réseau.

De plus, n'est-ce pas ironique de me faire kidnapper lord de ma première sortie après être revenue dans sa demeure lorsqu'on sait que ce fut également le cas il y'a presque deux ans quand je découvrais son trouble dissociatif de la personnalité.

- Tu ne tentes même pas de te débattre... c'est très loin de la réputation qu'on m'a faite de toi.

- Navré de te décevoir chéri, mais avec le temps je me suis quelque peu rouiller. Accorde moi quelque minutes et je pourrai te donner matière à te satisfaire. Murmuraisje milieusement.

Il me gifle du revers de la main, m'informant que je devais me taire si je tenais à rester en vie.

Une autre adepte des transports suivant la méthode Kyle.

Il finit par se garer dans ce qui semble être un manoir abandonné, voir même hanter. Nous avons rouler 10 minutes avant de quitter la nationale par la gauche, ensuite il a emprunter un sentier de randonneur, à déboucher sur un parc puis sur une rue. Nous avons ensuite rouler 15 minutes, tourner à droite, rouler 20 minutes puis à gauche pour un long trajet de 35 minutes avant de nous garer ici.

Ok je les tue fissa et je rentre donner le biberon à ma fille.

Je suis traîner à l'intérieur de la bâtisse peinant à tenir d'elle même et y découvre non sans grande surprise, un groupe d'homme lourdement armer jouant au poker autour de bouteille d'alcool.

À tout compte fait, peut-être que je serai là à son réveil.

- Ça n'a pas été trop dur ?

- Non, à croire qu'il n'en voulait plus.

- Je vous prierai d'éviter de parler de moi comme d'un objet quelconque, ou à défaut, d'avoir la délicatesse de ne pas le faire en ma présence.

- Peut-être préfères-tu une balle au petit déjeuner.

- Malheureusement, je digère mal l'acier.

À nouveau je suis sermonner, physiquement, par mon kidnappeur.

- Tu n'es peut-être pas aussi combative que le disait la rumeur mais s'agissant d'avoir de la gueule, je suis loin d'être déçu. Je sens qu'on va bien s'amuser tous les deux.

Je suis traînée par les cheveux jusque dans les sous sols, peu originale comme idée, et placer en détention dans une pièce insalubre. Faudrait peut-être penser à leur dire que l'hygiène n'est pas un frein lorsqu'on souhaite torturer quelqu'un. Au contraire elle permet de faire durer le supplice.

Je râle en prenant place sur ce qui semble être un lit. Je ne porte aucun mouchard, je m'en suis assurer avant de quitter son domaine, et il s'en est assurer une fois m'avoir kidnapper. Le psychopathe me déteste, je doute qu'il daigne bouger le petit doigt pour me sauver moi spécialement. Autrement dit, si je ne parviens pas à le sortir toute seule de ce merdier, je ne pourrai plus revoir le sourit de ma fille.