[II] Forever yours...

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Azrael

- Il en aura mit du temps, souffle Luckah devant ce qui reste de ma maison d'enfance.

- Et j'imagine que personne ne sait où se trouve cet ordure, demandais-je déjà lasse de cette situation.

Je savais que j'aurai due le tuer, cette délicieuse nuit après lui avoir briser la colonne vertébral mais que voulez-vous, la vengeance est quelque chose dont on se délecte avec soins.

- il n'y a aucun témoin à interroger Carter, ce fumier à prévue son coup et a semble-t-il conserver des alliés.

Qu'il me tarde de démasquer et d'estropier.

Pour être honnête, je ne suis pas réellement surpris qu'il soit parvenue à s'échapper. Après tout c'est lui qui a créer le monstre que je suis. Au contraire, Je me suis toujours douté qu'il n'en resterait pas la, à ruminer tranquillement sa colère.

Le grand Lucious se devait de répliquer à cet affront, de laver son honneur même si pour cela il devait y laisser la vie.

- J'imagine que...

- Oui, répond Luckah à ma question qui n'en était pas une, cette fois-ci tu pourras le tuer.

- Bien, je ramasse un cadre renfermant une image de ma mère, la seule que je lui ai laissé afin que jamais il ne puisse oublier que s'en prendre à elle fut sa plus grossière erreur. Alex, retrouve moi ce fumier, lui et toute les personne ayant contribué de près ou de loin à cette mascarade.

J'admire une dernière fois ce qui reste de notre maison d'enfance avant de tourner les talons, prêt à tuer mon paternel.

- Elle souhaite l'a voir, leur annonçais je tandis qu'Alex nous conduit à l'un de nos entrepôt.

- elle ne perd pas temps, Ricanne Luckah en sortant son éternel briquet.

- Je te préviens l'affreux, tu n'as pas intérêt à faire raisonner cette mélodie de malheur, l'informe Alex que ce bruit à toujours agacer le plus.

- Que décides-tu ? Demande Luckah qui a finalement consenti a ranger cet outil de malheur.

- Je ne sais pas encore, ça pourrait être intéressant de voir ce qu'elles auront à se dire après toutes ces années.

Je sais, après quelques coups de fouets finement placés, qu'elles ne sont plus revues depuis l'âge de 12 ans, lorsqu'elle a revêtue définitivement ce rôle, qui je dois bien le lui reconnaître, fut jouer à la perfection.

De ce fait, je suis réellement curieux de voir ce que cela pourra bien donner.

Je rejoins mes hommes qui, à ma demande, ont soigneusement prit le temps de s'occuper de mon nouvel invité.

- Tout.... Tout ceci, rien que pour moi.... Je n'en demandais pas temps... Carter....

J'ignore pourquoi l'on pense qu'un homme supporte mieux la douleur qu'une femme, pour être honnête elles sont les personnes que je prend le plus de plaisir à dresser. Car, contrairement aux hommes, lorsqu'une femme décide de pêcher, elle n'attend aucune redemption, n'espère aucune pitié.

Si combattive et si vaillante, un réelle délice.

- Victoria c'est bien ça, demandais-je peu intéresser. Je caresse chacune des armes choisit avec soin ne sachant pas par laquelle commencer.