32.

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XXXII
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Aussitôt qu’ils traversèrent le sueil de la maison, les pas des deux tourtereaux les entrainèrent dans la chambre à coucher, leur hâte de se débarrasser de leurs parures beaucoup trop grande.

— Thěilaïs ~ Ahn Thěila !!!

— J-John ~Oh !

L’oméga se heurta contre la commode alors que son amant lui dévorait le cou avant un appétit de bête avide. Il se laissa ensuite porter jusqu’au lit et lorsqu’il s’y retrouva, l’alpha le surplomba et souleva sa jambe pour retirer son pantalon avec fougue. Depuis combien de temps ne s’étaient-ils pas laissés aller de la sorte ? Après une expédition qui aura duré deux semaines, John avait dû se priver d’explorer les moindres parcelles du corps de damnation de son bien-aimé, son oméga. Mais qu’à cela ne tienne, désormais qu’ils avaient fait couler l’ancre et qu’ils se retrouvaient chez eux, plus rien n’importait plus à l’instant.

— Han John ~ Mhh ~

— Thěilaïs ! Thěilaïs ~

— Embrasses-moi.

 

Aussitôt leur acte à son terme, le jeune alpha repliant le bras autour de son bien-aimé qui pouvait savourer chaque seconde d’écouter son cœur battre, battre pour lui.

— C’est si calme.

— Oui, affirma-t-il en embrassant sa tête à la volée, qu’est-ce qu’on est bien là tu trouves pas ? Pas d’équipage, personne à l’horizon pour nous épier.

— Hihihi, Dean doit certainement se douter de ce qu’on est en train de faire. Ton frère est rusé pour son âge tu sais ?

— Il a grandi beaucoup trop vite ! J’ai l’impression d’être un vieil homme à parler comme ça.

  Thěilaïs se redressa en affichant un grand sourire, sa longue chevelure rouge alizarine cascada sur ses épaules, son visage et retombant sur son alpha. John ne s’empêcha pas de se dire que cet oméga était une illusion, mais il lui appartenait, c’était son oméga à lui.

— Et tu en dirais quoi si tu avais un enfant ? Avec moi ?

— Eh bien, je crois que je serai encore plus protecteur car je pari que notre enfant sera tout comme toi Thěila’, il sera incroyablement magnifique !

Thěilaïs sourit toujours et lui prit la main pour la guider à son ventre.

— Thěilaïs ? S’enquit le Capitaine pirate, craignant de comprendre.

— Alors je compte sur toi pour être le plus merveilleux des pères, John.

— Tu portes notre bébé ?

— Mh. Acquiesça-t-il.

John se redressa à son tour, compléter sonné par la nouvelle.

— Et pourquoi je ne le sais que maintenant ? T’aurais dû me le dire y’a longtemps Thěila’, je...Je suis si heureux. Le prit-il dan ses bras en le serrant de toutes ses forces. Qu’est-ce que je t’aime.

𝖫'𝗁𝗈𝗇𝗇𝖾𝗎𝗋 𝖽𝖾𝗌 𝖥𝗈𝗋𝖻𝖺𝗇𝗌 - 𝑙𝑎 𝑙𝑎𝑟𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑛𝑔𝑒Où les histoires vivent. Découvrez maintenant