Chapitre 61

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Salam Aleykoum / Coucou

Journal de Soukaina...

Résumé :

Wassim : je me suis fait viré.

Il explose de rire et je rigole aussi, ça me fait trop rire sa réaction.

Il met le contact et démarre la voiture avant de me balancer son téléphone.

Il me regarde puis il fronce les sourcils.

Wassim : tu ne savais pas te mettre un petit coup ? Tu saignes beaucoup là.

Il ouvre la boîte à gants et sort tout le nécessaire pour me faire des soins.

Wassim : j'ai vu que tu n'avais rien prévu pour te soigner alors j'ai pensé à toi et j'ai ramené tout ça.

Je le regarde dans les yeux, je trouve ça adorable comme attention.

Moi : merci Wassim..

Il me sourit en posant un bisou sur mon front...et je me rappelle immédiatement qu'il m'a embrassé il y a plusieurs dizaines de minutes.

Je n'ai pas envie de reparler de ça avant qu'il ne m'en reparle en premier. Je vais faire comme si rien de tout ça ne s'était passé.

Il commence à éponger ma blessure en la désinfectant puis il me met un pansement.

Wassim : ce n'est pas profond mais comme c'est l'arcade sourcilière bah ça saigne beaucoup.

Moi : merci..

Il me sourit puis range tout le matériel qu'il a utilisé avant de remettre la trousse dans la boîte à gants.

Il démarre et on rejoint la maison abandonnée où Zayan, Nouhayla et Nadim nous attendent.

Après une vingtaine de minutes on arrive devant la maison. On rejoint le sous-sol où ils étaient installés confortablement.

Moi : mission réussie !!

{•61•}

Moi : alors les taulards ? Ça fait du bien d'être dehors ?

Zayan lève la tête vers moi et me sourit, je lui souris en retour. Nouhayla aussi me sourit, ils sont dans les bras l'un de l'autre.

Je les trouve trop mignons, j'espère qu'il ne lui fera jamais de mal, elle ne le mérite tellement pas.

J'apprécie beaucoup Nouhayla et Zayan également, il est vrai que je ne le connais pas encore beaucoup mais il a l'air juste et droit.

Nadim par contre je l'aime trop, il est trop drôle et il aime bien embêter Zayan et moi ça me fait rire. Il est gentil, drôle et simple.

Zayan : on va prendre l'avion à quel moment ?

Moi : maintenant.

Wassim : je vais sortir la moto, sors la voiture Soukaina.

Moi : oui.

Zayan : on monte avec Soukaina du coup ? Mais tu n'as pas 17 ans toi ? Tu sais conduire ?

Moi : je savais déjà conduire que tu n'étais même pas encore né.

Zayan : t'es insolente toi dis donc.

Moi : pas spécialement.

Foutaise.

Wassim : C'est la reine de l'insolence, c'est son deuxième prénom carrément.

Je le toise avant de lui mettre un coup-de-poing dans le bras mais il me saisit le bras et je remarque quelque chose qui attire mon attention.

Soukaina : L'exception à la règleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant