Chapitre 76

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Salam aleykoum / Coucou

Journal de Soukaina...

Résumé :

Kahil : retirez-moi sa cagoule, je veux savoir le visage de cette petite c*nne insolente.

Le dénommé Amir s'approche de moi avant de retirer ma cagoule avec une telle violence que mes cheveux se détachent...

Quel fils de p*te il a retiré ma belle queue-de-cheval.

Je fronce les sourcils avant de regarder ce c*nnard pour lui lâcher mes paroles les plus tranchantes.

Moi : fils de p*te, mes cheveux.

Je croise enfin le regard de Kahil qui semble figé sur mon visage.

Pourquoi il me fixe ce trou du c*l, il veut ma photo ou quoi ?

Je retire la sécurité de mon arme en profitant de son état second, je m'apprêtais à lui tirer dessus mais Amir vient me dégager l'arme des mains et mettant un énorme coup de pied dans mon bras.

Je me retiens de toutes mes forces de hurler de douleur, ce sauvage m'a bousillé le bras...

P*tain...je suis désarmée...

Amir : qu'est-ce que t'attends, Kahil ? Tire.

Mais toi !! Ferme ta p*tain de g*eule.

Kahil n'a toujours pas cessé de reluquer mon visage, le sien s'est adouci et je ne comprends pas ce qu'il lui prend et encore moins quand il dit...

Kahil : embarquez là, on l'emmène au quartier général.

{•76•}

Je fronce les sourcils, comment ça on m'emmène ?

Il est fou ou quoi lui ?

Moi : eh ! On va où comme ça ?

Kahil : estime-toi heureuse de ne pas être morte.

Moi : mais je rêve ? Va te faire e*culer.

Kahil : ne m'oblige pas à te mettre cette balle.

Moi : bah je préfère ça que partir avec toi.

Amir : vas-y tire lui dessus.

Moi : mais toi c'est quoi ton souci ?

Amir : tu fais trop la femme fatale, j'ai horreur de ça. Tu n'es personne ici, c'est Kahil le patron.

Moi : t'en a encore au coin de la bouche, ma chérie.

Amir : eh mais toi !!

Il sort son arme qu'il pose sur ma tempe alors que j'explose de rire.

Moi : bah vas-y tire ? Ah bah non...tu ne peux pas...t'es une s*lope loyale. Ça te fait déjà une qualité.

Kahil : ferme ta g*eule, Soukaina.

Il me pousse vers une BMW, je tombe sur la banquette arrière.

Nahïl : SOUK !!

Bah enfin !!

Je me tourne vers lui en fronçant les sourcils...

Soukaina : L'exception à la règleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant