Chapitre 26: Cookies et invitation à boire le thé.

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Dix heures du matin et son bureau était rangé, quel miracle! Elle avait encore deux machines à laver à faire. Elle se dirigea vers la cuisine et vint constater e travail du chien, à défaut d'avoir de la mémoire, il savait nettoyer correctement.

- Je vais avoir des courses à faire, constata Camille Apolline en voyant l'état de ses placards: vides. Au moins, j'ai encore de quoi faire ce que j'ai prévu.

Sur le plan de travail s'accumula les bocaux de farine, de sucre, de levure, de chocolats, de cacao, de gousses de vanille, de fruits secs ainsi que la boites d'œufs, le lait et le beurre, après que Perséphone ai pris son portable.

- Non Appolon tu n'aura rien, ce n'est pas bon pour ta santé. Tu as fini le chien?

Un faible " ouaf " se fit entendre.

- Tu t'assois à coté et tu regardes ce que je fais. Bientôt, ce sera à toi de faire ce que je fais, et aussi bien.

Elle commença à mélanger les ingrédients en allumant le four. Bientôt, une pate à cookies fut discernable. Elle l'a sortie du saladier et la sépara en deux. Elle ajouta du cacao à l'une avant de former de petites boules de chaque sur une plaque de cuisson.

- Tu me sors deux boites et six sachets à fond plat du placard du bas, demanda ma blonde en enfournant les plaque de cuisson dans le four. Après, tu iras chercher le courrier dans la boite du portail.

Le chien s'exécuta rapidement et passa la porte à quatre pattes. Devait il se lever? Dans le doute, il alla au portail à quatre pattes et se leva pour prendre le courrier. Arrivé dans la cuisine, il se mit à genoux dans la cuisine, le courrier tendu.

- Sur la table du salon ! dit la blonde en étalant sa pate à sablé.

Maximilien y alla à quatre pattes comme il put avec une main prise et monta laborieusement sur la table en tenant les lettres.. Celle-ci finirent sur son dos, à défaut de pouvoir faire autrement. La folle avait été relativement calme ce matin; le chien préférait faire le ménage que subir ses humeurs et autres lubies tordues. Cependant, ses deux punitions en suspant lui faisaient redouter le pire.

- qu'est ce que tu fais sur la table ? demanda la blonde en allant dans le salon. Ah d'accord... c'était le courrier qu'il fallait mettre sur la table, pas toi le chien. Va surveiller la cuisson des cookies pendant que j'ouvre ça.

Que lui voulait le conseil? Quelques jours s'étaient écoulés et déjà on la contactait. Le premier courrier, dactylographier, l'informait d'une séance obligatoire le mardi 13 Octobre à huit heures à Vienne  pour faire un grand point. L'autre, une lettre manuscrit, parut beaucoup plus attrayante.

Samedi 10 Octobre 3022,                                                                                                                                                     Chère Mademoiselle et chère collège, 


                    Ayant pris connaissance de la réunion du mardi 13 Octobre, je vous prierais de venir ce même lundi à seize heures dans la salle de réunion des 7 pour un thé. Vous êtes bien évidement invité à amener quelque chose si vous le souhaitez afin de rendre ce moment plus convivial et resserrer les liens nouveaux entre nous sept.                                                                                                               Veuillez agréer Mademoiselle et chère collège, l'assurance de mes sentiments les plus cordiaux.

                                                                                                                                                                                 R.S.V.P                                                                                                                 Ferdinand Théophile SPHT Von Alm Alelreiph

  

Le chien, voyant les cookies commencer à foncer, les sortit du four et retourna au pieds de sa maitresse pour avoir ses directives.

- Lave toi les mains et enfourne une plaque de sablé.

Il frissonna en rentrant dans la cuisine, la maison était remplie de courant d'air et ce n'était pas agréable pou lui loin de là. Il se roula en boule comme il put près du four pour profiter de sa chaleur. Il ne pensait pas avoir le droit de s'assoir face au four, et grand bien lui en prit quand sa maitresse revint.

- Tu es déjà fatigué le chien? Il faut dormir la nuit.

Dormir, dormir, c'était facile de dire ça, elle ne devait pas dormir attaché dans le froid et courbaturé. Son corps montrait des signes de fatigue, la longue et la captivité en étaient les raisons principales. Il ne pouvait pas déterminer qui du Centre ou de cette dégénérée était le pire. Mais la combinaison allait bientôt, il le savait, il le sentait, lui couter la vie.

Le destin de perdantsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant