Une grande guerre a séparé les deux grands peuples de la Terre: les Hommes et les Ferioves. Les deux prônaient deux idéologies inverses. Les perdants conaissent alors un destin terrible.
Pour un public avertit
Les quatre plaques de sablé avaient fini de cuire, la moitié étaient en rond et l'autre moitié détaillés en fingers. Le bourguignon cuisait lentement et laissait échappé un délicieux fumet. La blonde s'activait à ranger les cookies dans les boites puis les sachets repris dans le placard, lorsqu'elle se rendit compte de la mauvaise évaluation des quantités qu'elle avait faite. Une dizaine de minutes avant, elle avait lancé une playlist sur son téléphone. Rémi et Appolon la cernait, guettant la moindre chose pouvant tomber et finir dans leur estomac. Ensuite, elle rassembla les sablés et les rangea eux aussi. Le chien, pour une fois, se comportait comme il devait, couché à coté du four en chien de fusil.
- Je finis de ranger et on passe à des choses bien plus intéressantes le chien, sourit Perséphone, en empilant ses boites à coté de ses bocaux. Elle éteignit la gazinière et poussa les sachets dans un coin. D'un pas rapide, elle prit une trousse dans la pièce avec la cage et un serviette.
- Dehors le chien ! lança elle en sortant de la maison.
La femme se dirigea vers un mur d'une bâtisse à proximité et attendit l'animal.
- Reste sage et ça se passera bien, dit Camille Apolline en l'attachant au mur avec une toute petite chaine à son collier, enlevant au passage l'autre.
Elle prit à coté d'un meuble en inox un tuyau dont elle ouvrit le robinet. Un puissant jet froid en sorti tous droit sur l'humain. Celui-ci gémit face à l'agression et se plaqua au mur. Une fois qu'il crut gelé sur place, elle éteint l'eau et sortit de la trousse un shampoing et gel douche pour chien. Non il ne pouvait pas y croire. Et pourtant il se retrouva à sa faire frictionner tous le corps par une Feriove. Il aurait pu se plaindre mais ses mains dégageaient de la chaleur et en le lavant, massaient ses muscles endoloris. Il se détesta pour ça. Il aimait ce moment rabaissant, humiliant. Ce sentiment ne dura jusqu'au retour de l'eau glacé sur sa tête et son cops. Il se stoppa quand tous le savon fut disparu. Il se secoua légèrement pour se débarrasser d'un maximum d'eau.
- Monte sur la plate forme, je te sèche après.
Le chien détaché, arriva en hauteur en passant par la rampe. Il fut rapidement coincé, chaque membre attaché à un coin du bac métallique, le collier relié à une poutre.
- Normalement, un lavement se fait à l'eau chaude ou tiède, mais tu as des punitions en attentes. Donc un lavement à l'eau froide devrait te faire réfléchir, plaisanta ironiquement la blonde en prennent le tuyau.
Maximilien se débattit inutilement en sentant le métal froid pénétrer ses chaires. L'étirement était insoutenable; l'embout du tuyau était trop énorme pour rentrer, surtout qu'elle ne semblait pas vouloir arrêter de le rentrer plus profondément en lui. Ses ados atrophiés et son anus se contactaient douloureusement. Il n'en pouvait plus. Perséphone sembla se satisfaire et stoppa son œuvre. Alors qu'il refoulait enfin la douleur et pouvait desserrer les dents face à l'intrusion, un liquide glacé s'écoula en lui et commença à le remplir, lui créant des crampes abdominales.
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