Chapitre 44 Allia

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Je pense avoir passé une journée entière sans être capable d'avancé vers le dragon. Il m'avait vu. Il ne m'invita pas. Il m'observait. J'étais totalement figé. Jamais dans ma vie, mise à part la peur de trouvé mort mon enfant, voir une personne ne m'avais jamais figé.

À l'aube, le dragon bougea. Il laissa passer quelqu'un qui sortait du château.

Elle était là. Elle avançais vers moi doucement. Elle était toujours aussi sublime. 

Mes pattes ont lâché sous mon poids. Mon regard fixe sur la beauté qu'elle est. Sa chevelure tressé avait des rubans rouge carmin. Elle revêtais une tenue simple, une robe rouge et argent. Sa poitrine était magnifiquement mise en avant avec la découpe de la robe ainsi. Ses hanches était dénuder. J'imagine que son derrière était bien arrondi par sa beauté naturel. La robe le mettait en avant. Elle était sublime. On aurait dit qu'elle cherchais à me faire flancher. Le résultat était accomplie. Sa beauté m'ensorcelle. 

Ma réaction a sa était purement motivé par la luxure. J'avais la langue qui pendais. Voilà un moment que je n'avais pas été intime, chose vraiment rare avec moi. Elle était une véritable tentatrice. Je voulais plongé ma langue en elle pour la gouté et l'entendre jouir. Mes griffes se sont enfoncé dans la terre. Je devais me retenir de lui sauté dessus. Un paradoxe quand tout mon corps est figé par son approche. 

- Bien, je vois que ma tenue a eu l'effet escompté, dit Gaïa en mettant ces mains sur ces hanches en me souriant.

Je pris forme humaine. J'étais à genou. Le derrière assis sur mes pieds. Les mains déposé sur mes cuisses ouverte vers le haut. La tête baissé n'osant plus la regarder sous cette forme.

- Allia, ma douce, ne te soumette pas, dit Gaïa soucieuse. 

Comme pour toutes réponse. Je gardais le silence. Je n'arrivais pas à trouvé les mots pour exprimer toute la honte que je ressent.

- Allia regarde-moi, dit-elle autoritairement. 

Je posais mon regard sur ces hanches.

- Je sens ton regard sur moi, mais je parle de me regarder dans les yeux, dit Gaïa avec une autorité douce. 

Je remontais mes yeux se sont posé sur sa poitrine généreuse. Une très mauvaise idée puisque je mourrais d'envie de posé mes lèvres dessus.

- Mes yeux sont ici, Allia, dit Gaïa en riant.

Je regardais ces lèvres rouge carmin dont je mourrais d'envie d'embrasser. Je suis certaine qu'elles sont douce comme rien de comparable. 

- Tu as vraiment de la difficulté à comprendre une consigne simple, dit Gaïa sans caché son irritation.

Je cédais. Je la regardais dans les yeux. Son regarde d'œil de tigre absorbant tout volonté en mon cœur.

- Voilà, tu y es arrivé, dit Gaïa avec joie. 

Elle s'approcha de moi. Elle caressa ma joue. Sa tendresse à mon égard était comme un paume sur mon âme a vif. Les yeux lever vers elle alors qu'elle était debout. On aurait dit une demande de pardon digne des représentations divine. L'événement s'accomplissant n'avais rien à avoir avec cela. Seulement, une louve totalement paumé qui est au pied de la femme qu'elle aime. Celle qui détient sa destiné tout entière. 

- Gaïa, tu es une déesse. Il n'y a pas plus indigne âme que moi pour toi, dis-je dans un murmure.

Elle releva mon mentons avec sa main.

- Allia, ton passé est sanglant. La vengeance est chose remplissant les pages de l'histoire de ta vie. Je comprends te résistance à t'ouvrir à l'amour, dit Gaïa le ton remplie de compréhension. 

La reine du ChaoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant