Chapitre 63

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Nous sommes arrivé dans notre chambre. Je décidais d'aller prendre un bain. L'eau allait être délicieux contre ma peau.

- Magnus, dis-je pour tout invitation.

Il obéis en me suivant. Je m'assis a son opposé. Mon regard se promenant sur la surface de l'eau. Je sentais combien mon ignorance le rendais mal à l'aise. Tout de lui criais que je pose mes yeux sur lui. 

- Tu veux te faire pardonner, demandais-je.

Je le senti intriguer. 

- Je serai à tout pour vous, ma reine, dit Magnus avec dévotion. 

Je le regardais dans les yeux. 

- Tu m'aime?

Ma voix ne laissais pas entendre une once d'émotion. 

- Depuis le premier jour, j'ai attendu tout mon existence ton arrivé. Une lumière dans les ténèbres dont était rendu ma réalité, dit Magnus avec une sincérité.

Une magnifique déclaration d'amour venant de sa part. 

- Bien, donc si je te punis encore tu n'y verrais pas de problème, dis-je la voix sans émotion. 

Je pouvais sentir son trouble. 

- Je suis prêt peu importe votre punition pour moi, dit Magnus.

Son repenti était sincère. 

- Je veux que tu nettoie religieusement mon corps sans y laisser une caresse dans tes gestes. Ta sœur voulait te couper de moi. Voyons si elle exerce encore un contrôle sur toi, dis-je déterminer. 

Il s'approcha doucement. Il fit mousser dans sa main une éponge. Je me levais de l'eau. Laissant mon corps ruisselant d'eau devant ses yeux. Il ne devais pas me nettoyer avec vénération. Il devait être froid comme le voulais sa sœur. Elle n'était plus là. Il devait contenir son désir. Il devait faire preuve de retenu par ces propres force.

Il passa l'éponge sur mes épaules, mes bras, ma poitrine tout en continuant à descendre. Il le faisait sans émotion dans le regard.

Quand il eut terminer de me savonné. Il me tendis la main pour m'invité à plonger dans l'eau. Je le fit. J'eu l'eau par-dessus la tête. La sensation d'être immerger était agréable. Je brisais la surface.

- Tu as parfaitement obéis. Je sais pourtant qu'en tant qu'âme sœur. Je ne dois pas demandé obéissance de votre part. Ce n'est pas ainsi que fonctionne notre lien. N'est-ce pas?

Nous étions debout face l'un à l'autre. Je levais les yeux sur lui. Son regard ne quitta pas le miens. 

- Non, ma reine, dit Magnus dans un murmure. 

Je savais que je l'avais fait souffrir par mes agissements. La distance que je laisse toujours entre moi et eux devais cesser. Je sentait que je nous faisais souffrir plus que tout en maintenant cette distance. 

- Je ne suis pas seulement votre âme sœur, dis-je déterminé. 

Il releva la main comme s'il allait me caresser la joue. 

- En effet, dit Magnus.

Sa voix était à peine audible. Il n'osais pas dire la vérité à voix haute.. 

- J'ai envie que l'on fait quelque chose entre nous. Ici, entre ces mures, je suis votre sans limites. Il n'y a que la pureté de notre lien. Nous pouvons être libre de nous exprimer. À l'extérieur, je suis votre monarque. L'obéissance est une règle obéis sans manquement. Nous faisons front ensemble. Je reconnais qu'il y aura des conséquences à mes actes de se soir. Je ne peux y faire face sachant que mon couple est mis en péril, dis-je en prenant sa main dans la mienne. 

Je caresse ces jointures. Ses mains étaient immenses. 

- Je suis d'accord avec vous, ma louve, dit Magnus avec un doux sourire étirant ces lèvres. 

J'appelais chacun de mes âmes sœurs leur partageant l'information. Tous sont arrivé dans l'eau du bain. Ils étaient tous très heureux d'apprendre cette bonne nouvelle. 

- Bien, nous sommes tous là. Je pense que nous avons des événements bienheureux à célébrer. Lua, Petra et moi-même avons donné naissance à une nouvelle générations. Nabi combien de temps avant l'arriver du petit? Demandais-je.

Elle me sourit radieuse. 

- Il me reste un mois, Tia, dit Nabi sur un ton joyeux. 

J'adorais sa joie. 

- Bien, amusons-nous, dis-je.

Le message était clair. Nous allions baiser. Je poussais Magnus pour qu'il s'assoie sur le banc incorporé dans le bain. Il obéis.

Nabi approcha Gael gêner. Il était intéressant de voir combien elle était intimidé par Gael. Je savais son petit appartenant à lui. 

Baltazar approcha de lui-même Lua. Je ne les avait jamais vu ensemble. Ma sorcière rougie comme une pivoine. Il lui sourit. Son charme opéra sur ma sorcière. 

Petra fut entourée par les bras d'Omero. Les paires était faite. Mon dragon n'avais pas de désir pour autre que nous comme femelle. Il était une autre histoire avec les mâles. Pourtant, je ne l'avais pas vu avec aucun de mes mâles pour le moment. 

Je m'assis sur les genoux de mon vampire prenant ces mains pour les posé sur mes hanches. Je voulais observer avant de le soumettre a mon plaisir.

Gael pris Nabi contre lui. Il l'embrassa avec une passion dévorante avant de la tourner pour qu'elle lui fais dos. La parfaite position avec son ventre de femme enceinte. Il l'assis sur son sexe d'un coup. Elle hoqueta de surprise. Il l'incita à aller à son propre rythme à elle. La poitrine rebondissante de ma louve était sublime. Gael caressais celle-ci langoureusement. Leur plaisir était bien entamé.

Baltazar pris Lua assis à califourchon sur ses genoux. Elle était tout raide. Bal lui murmura des paroles qui l'on fait sourire. Elle se pencha sur lui. Autant, qu'il avait initié l'échange. Désormais elle dominais. Je voyais rarement la nature de ma louve alpha pointé le bout de son nez. Elle était enchanteresse ainsi. Une assurance se dégageait d'elle. Je tombais sous son charme. Je n'était pas celle qui recevais son attention, mais bon sang que j'aimerais. Elle embrassa Bal avec une passion. Des caresses éveillant leur sens était échanger. Les mains se découvrant. Je voyais les hanches de Lua chercher une friction. Une main de Bal plongea entre eux. Quelque instant plus tard, elle gémissais de plaisir. Bien ils était tous deux lancé.

Omero tenais dans ces bras Petra. Je savais que le naissance de Tirian était trop récente pour qu'il y ai un rapport avec pénétration. Nous avions beau être muni de la guérison accélérer. Le corps d'un femme prend tout même un certain pour se remettre. Dans deux semaine, elle devrait être correct pour retourner en selle. Petra se retourna vers Omero. Ils s'embrassèrent à mettre le feu à leur corps. Elle poussa Omero à s'assoir sur le bord extérieur du bain. Il la regarda étonner. J'avais deviné ce qu'elle allait faire. La langue experte de ma louve lécha tout les centimètre du sexe monstre de son dragon. Il grognait la tête renverser vers l'arrière. Preuve qu'il prend vraiment du plaisir. Elle le pris en bouche. Tel une parfaite louve, elle réussi a le prendre entier. Sa gorge était gonflé par la taille étant profondément loin dans la gorge de Petra. Leur plaisir était parfait.

Tous faisait vibrer notre lien d'une passion parfaite. Les voir ainsi était parfait. J'aimais regardé. Je savais que tous avait été sage durant le temps ou je m'était isolé. 

La reine du ChaoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant