La reine du Chao

Chapitre 53

Je me réveillais avec le ventre remplie de crampe d'une douleur atroce. Je pris ma forme humain. Mon ventre était dur quand je passais ma main dessus. Je ne pouvais pas mettre au monde mes petits. Il me restais encore deux mois de grossesse. Une panique monta en moi. Mes bébés ne sont pas suffisamment fort pour naitre. Je devais me calmer. Je dois tout faire pour les garder dans mon ventre. Ils ont besoin de cette endroit pour devenir de puissant être. 

- Baltazar, hurlais-je dans notre lien.

Je senti sa panique. Il accourus vers moi. Il arrivais sous sa forme lupin. Je le regardais paniquer. 

- Je pense que je vais avoir mes petits, dis-je paniqué.

Il me regarda de la tête au pied. Il vit mon énorme ventre. 

- Ma reine, tout va bien se passé. Je suis là. Voilà un mois et demi que l'on vous recherche. Je ne serais pas capable d'expliquer comment vous avez réussi a disparaitre ainsi. Ils sont un peu a l'avance, mais rien d'alarmant. Le plus important est de prendre soin de ces petits. Tout va bien aller, mon alpha. Nous allons faire cela ensemble, dit Baltazar d'une voix plein d'assurance. 

Ce que venais de dire Baltazar n'avais aucun sens. J'ai disparue pendant un mois et demi. Je venais de me réveiller. Je n'avais vraiment pas le temps de m'attardé a cela. Je n'avais jamais donné naissance sous ma forme humaine. En louve, le travaille avait été dur, mais j'avais laisser mes instincts primitif me guidé. La douleur était plus facile a géré en louve. Je connais bien la douleur humain, les contractions sont un autre niveau de douleur. 

Aujourd'hui, mon esprit est tellement paniqué. Je ne sais pas quoi faire. Ma respiration reste coincé dans ma gorge. Je n'y arriverais jamais. Je ne pense pas pouvoir y arriver. Je m'était assis à mon réveille. 

- Aumatia, je suis là comme toujours, on fait ça ensemble, dit Baltazar avec une conviction qui me faisais totalement défaut.

Je hochais la tête. Mon bel oméga avait toujours été a mes côtés. 

- Je veux que tu calme ta respiration, dit Baltazar.

Je fis de mon mieux. La douleur des crampes m'empêchais de vraiment réussir. J'était replié sur moi-même. Baltazar me redressa. 

- Ne lutte pas contre la douleur. Laisse la passé dans ton corps, elle est naturelle. Tu vas mettre au monde tes petits. Ton corps sais ce qui a faire. Tu l'as déjà fait, dit Baltazar.

Je secouais la tête. 

- Non, jamais en humaine, dis-je.

Il me sourie. 

- Tu as aidé à mettre au monde plusieurs des petits de la meute. Rien n'est différent, garde ton calme. Tu es forte tout se passera bien. Relaxe ma belle, dit Baltazar.

Je me calmais. Ma respiration était meilleur. La douleur ne faisait qu'augmenter mais je cessais de la combattre. Je laissais allé. Chose pas facile à faire quand on y pense. Je suis terriblement têtue.

Baltazar se plaça derrière moi. Il me positionna accroupie. Les contractions était de plus en plus rapproché. Je m'accrochais a ces bras comme à une ligne de vie.

Les heures ont passé. Je commençais a sentir la tête pointé.

- Bal, tu peux vérifier que la tête pointe, dis-je entre deux contraction.

Il mis sa main entre mes jambes.

- Je sens bien la tête du premier. Parfait, le travail actif va commencer. Tout va vraiment aller vite. Quand le premier sera sorti on va enchainer avec les deux autre, dit Baltazar.