La reine du Chao

Chapitre 50 Allia

Magnus est resté au château. Enzo est parti avec Basile et Amina pour préparer leur cérémonie d'âme sœur. Il y avait une atmosphère d'attente au château.

Voilà 10 jours que je suis arrivé entre ces murs. Une routine assez simple s'est installée. Je me réveille à l'aube. Gaïa m'a montré son air d'entrainement. Je pense 4 heures à faire mes entrainements. Toujours assuré que mon corps soit une armé a la pointe parfaitement affuté. Ensuite je prend un petit déjeuné en compagnie de Gaïa. Nous apprenons un peu plus chaque jour l'une sur l'autre.

Par la suite, elle s'occupe de gérer son continent. Cela lui prend la journée. Pendant ce temps, je m'occupe en courant pour me familiariser avec le territoire. Gaïa m'a donné l'autorisation d'arpenter chaque coin que je veux. Je porte son marqueur magique. Donc tout tribu sais que je ne suis pas un ennemie. Ils ne sont donc nullement sur les nerfs en me sentant passer sur le territoire. Gaïa est celle qui m'a invité à faire connaissance avec cette terre. Elle dit que se sera ma maison lorsque nous aurons fermé notre lien.

Je profite de l'occasion pour passer du temps avec moi-même. Je m'acclimate a cette nouvelle réalité.

Gaïa est mon âme sœur.

Mes rêves sont peuplés d'elle.

Nous n'avons pas échanger d'autre baiser depuis mon arrivé. Je ne veux pas la brusqué. Une première pour moi, j'ai tendance a prendre ce que je veux et a m'excusé ensuite. Avec elle, je veux faire les choses de la bonne façon.

Le soir, je rentre épuisé. Nous mangeons séparément. Plus tard dans la soirée, je lis un livre. Gaïa me laisse un nouveau livre chaque soir avec moi repas. Elle est la seule a entré dans mes appartements.

Le premier soir, c'était un serviteur. Je l'ai traqué et presque éviscérer. Gaïa m'a arrêté avant que je ne termine.

Après il fut clair que je ne laissais personne d'autre qu'elle dans mon intimité. J'étais trop sur les nerfs pour tolérer autrui dans mon espace.

Mes instincts de louve était en alerte maximale. Je voulais être près d'elle. Je devais respecter les limites qu'elle a posé.

Gaïa exerçait des responsabilités qu'elle ne pouvait pas laisser de côté. Mon arrivé avait été inattendu. Ces nièces avait fait de son mieux, mais elles n'étaient pas la véritable souveraine du continent. Certain problème l'occupais et était trop urgent pour être mis en attente.

Dix soir que je reste loin d'elle. Je ne pense pas rester loin encore longtemps. Je venais de terminer mon repas. Délicieux, mais je ne tenais plus en place. Sous ma forme animal je trouvais l'odeur de cette si belle créature qui hantais mes jours et nuits. Son odeur trouvé je la suivi. J'entrais dans ses appartements. Sa chambre se trouvais dans la même aile que la mienne seulement deux étage plus haut. La porte était entre ouverte. Je pouvais sentir que des serviteurs nettoyais l'endroit. Mon arrivé les fit sortir sur l'instant. Ma truffe passa sur tout objet dans cette pièce. Son odeur était addictive pour moi. Après avoir rempli mes poumons de sa délicieuse odeur. Je ne réussis pas à me convaincre de quitter sa chambre. Je me couchais alors sur son lit. Je tentais de me faire toute petite, pas facile avec ma taille immense. Le sommeil arriva rapidement.

A moitié endormi, j'entendis une personne approché.

- Oh, finalement, tu as décidé de céder à ton instinct. Magnus avais prédit que je te retrouverais dans mon lit. Je ne voulais pas l'espérer parce que je ne voulais pas me créer d'espoir, dit Gaïa en prenant place près de moi.

Je sentis sa main se promener contre ma fourrure. La sensation était des plus exquise. Je laissais un ronronnement. Je n'ai laisser personne entendre mon ronronnement depuis la mort de mon fils.