La reine du Chao

Chapitre 59

J'ai passé plusieurs semaine refusant de quitter le coté des petits. Je m'occupais des affaires royale, mais je revenais tout suit auprès de mes petits. Je refusais que certain de mes âmes sœur approche les petits lorsque je devais m'occuper des affaires royal. Seul des omégas pouvait approcher. Baltazar veillais au grain durant mon absence. 

Lua prenais soin de son petit. Elle était une mère merveilleuse. La voir avec Kylu était vraiment un charme. La maternité lui sciait parfaitement. 

Durant une nuit, je sentie le besoin de Petra d'avoir ma présence auprès d'elle. Je dormais avec les petits. Je dormais dans un lit avec la totalité des petits collé contre moi. Mon absence les avait laissé avec un manque. Ayant abandonné le lit conjugale. Je me suis levé pour aller la trouver.

Elle allait donner naissance à son fils. J'arrivais alors qu'elle était contre Omero. Le travail était déjà bien commencé. Je n'étendis que mon aura pour lui apporter du réconfort.

Elle leva un regard rassuré sur moi. Elle était heureuse de me voir auprès d'elle dans un moment ou elle peut si facilement paniqué. Je sais combien donné naissance la stress. 

- Tia viens, dit Petra entre deux contraction.

Je secouais la tête. Je pouvais sentir sa peur. J'envoyais des ondes calmantes dans mon aura. 

- Je préfère rester à l'écart, dis-je sans émotion dans la voix. 

La blessure était visible. Je pris forme de ma louve. Je me couchais à quelque mètre d'elle. Son regard me suppliais d'approcher, de prendre par a cette événement bienheureux. 

- Petra, ma louve, tu es fort. On va faire ça ensemble. Notre petit n'attend qu'une chose se nicher contre sa maman. Calme ton esprit. Je suis là, dit Omero la voix remplie d'assurance. 

Son aura qui rarement s'étend engloba Petra. Un gémissement échappa les lèvres de celle-ci. Je connaissais la sensation bénéfique de cette aura. Elle se laissa aller contre son dragon. Ils étaient debout à marcher. Ils ont fait des cercles le temps qu'elle soit parfaitement dilatée.

L'aube pointa son nez. Omero plaça Petra entre ces jambes accroupies. Je me suis approché. Petra leva un regard soulager sur moi.

- Tia, s'il te plait, soupira Petra dans sa douleur.

Je savais qu'elle me suppliait de cesser de mettre de la distance entre nous. Ils pouvaient tous ressentir les tourments de mon âme. Je ne me sentais pas le courage de leur dire que je voulais seulement faire ressentir ma douleur à Magnus. 

Pas une fois, Magnus avait tenté de venir me parler. Je n'était pas celle en faute. Pourquoi je reviendrais vers eux?

Je sais que Magnus a payé la blessure apposé à mon cœur par la puissance des poings de mes deux mâles.

Le vampire reste dans son coin loin des autres. Il ne vie plus avec eux. Il se torture. Parfait dans un sens. Pourtant, il ne fait rien pour réparer la blessure causé par sa sœur.

- Ma louve, tu veux bien t'occupé de réceptionné notre petit, dit Omero une douceur dans la voix. 

Il savait vers quel tourment était aller mon esprit. Il était toujours présent malgré ma solitude désir. Sa présence dans mon esprit, m'empêchais de véritablement sombré dans les affres du désespoir. Compagnons inespéré qu'es mon sublime dragon. 

Je hochet simplement la tête.

- Ma douce, il est temps de poussé, dit Omero d'une voix doucement autoritaire pour notre belle épuiser par les heures de douleur.