La reine du Chao

Chapitre 47

Une atmosphère calme régna a nouveau. Je n'était tout même pas calmé. La relation de mon vampire avec sa sœur avait l'aire d'être beaucoup plus que seulement une de fratrie. Je sais que les originel ont certain limite différente du reste du monde. Il y a des rumeurs disant que deux des frères et sœur ont eu des enfants ensemble. J'ignore si ces Magnus avec Gaïa. Je reste avec des doutes puisque j'ai bien vu la possessivité d'Allia face à sa femme. Rien ne peux mentir sur la profondeur de leur sentiment. Reste qu'il y a trop de zone d'ombre à mon gout.

- Ma reine la délégation des elfes va arriver sous peu. Peut-être que ma reine devrais cesser de faire la tête, murmura Omero à mon oreille.

- Je ne vais pas m'excuser quand un problème de communication me tracasse, répondis-je en murmure.

Il me regarda troublé.

- Ma reine que ce passe-t-il?

Il communiquais dans mon esprit. Nous laissant plus d'intimité. Les autres pouvaient savoir que l'on communiquais mais pas savoir la teneur de notre conversation. 

- Je n'aime pas la proximité de Magnus et Gaïa, dis-je en tout honnêteté.

Il ris doucement. La vibration était des plus délicieuse. Son souffle contre ma nuque me fit frissonner.

- Tu as surement entendu les rumeurs de progéniture de sang pur. Ils sont les enfants de Basile et Amina. Tous deux sont des âmes sœurs. La proximité que tu vois entre Magnus et Gaïa est le simple résultat de millénaire d'entraide. Pendant très longtemps, il n'ont eu qu'eux deux. Basile et Amina était toujours ensemble. Amire a toujours été trop chaotique pour ces ainé. Gaïa est discrète. Magnus est chaleureux. Les deux font la paire. Tu aura remarqué comment Allia évaluais tout le monde. Mise à part toi, je n'ai jamais vu une louve aussi méfiante et protectrice envers son âme sœur. Allia a massacré des villes entière seulement parce que certain villageois avec eu un regard de travers pour la vampire. Il n'y a rien entre Magnus et Gaïa qu'un amour platonique, dit Omero en me serrant contre lui.

- Merci, dis-je.

Je me trouvais ridicule de m'être emporter de la sorte. Omero embrassa la base de ma nuque. Je fondis contre lui.

Je fis signe qu'on laisse entré la délégation des elfes.

Je fut choqué de ne voir rentré qu'une personne. Je pensais qu'il devait y avoir au moins une dizaine de personne dans la délégation des elfes. Je me suis redressé en sentais que quelque chose clochait. 

La femme devant nous était clairement une elfe du par son odeur, mais aussi son apparence élancé et fin. Elle avait aussi des oreilles pointu. 

- C'est tout un honneur d'être accueilli en ce lieu. Pardonnez l'absence du reste de mes compagnons. Il y a eu quelque tension avec les fées dans le couloir ou nos salons voisin. Nos chefs ont eu ancien conflit non régler ensemble. Ils sont tous deux trop têtu pour laisser couler. Je me suis dit que je devais tout même venir, dit l'elfes. 

- Je vois, dis-je. 

Je me suis levé. Je me suis placé devant elle. 

- Amène moi a eux, dis-je. 

Elle hocha la tête. Elle me mena au couloir. On pouvais entendre les voix s'élever. 

J'étendais mon aura. Les voix ont cessé. Je me suis arrêter devant les deux chefs qui se regardais comme s'ils voulaient s'étriper. 

- Bonjours, dis-je. 

Ils m'ont tous deux regardé surpris de me voir devant eux. 

- Votre majesté, dit-il en se prosternant devant moi.