Chapitre 33 Omero

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Gael commençais vraiment à me taper sur le système. Magnus ne quitte pas Aumatia des yeux. Je sais qu'ils la désir tous les deux. 

Je ne peux pas m'empêcher d'être possessif. Ils ont complété leur lien d'âme sœur, pas moi. Aumatia a tardé à vouloir le faire. Avoir été moins confiant en mes capacités, j'aurais pu pensé être la cause de ce retard. Petra m'avais assuré que je n'avais pas rapport. Elle est en lien directe avec les émotions d'Aumatia. Ma belle italienne savait comment Aumatia était complètement à côté de ces pompes depuis le départ de tout les loups, mais encore plus face à l'enlèvement de son louveteau. Aumatia peinais ne pas garder les pieds sur terre et ne pas s'effondrer dans le désespoir. 

Je ne suis vraiment pas habitué à partager. Mon dragon veut les réduire en cendre. Elle est a moi. Je ne peux pas la faire souffrir. Je sais aussi qu'elle me ferai payer d'avoir fais du mal à ces deux là. Être son ombre depuis que je sais qui elle est pour moi est devenu compliqué. Je veux qu'une chose. La marqué en la baisant dans les règles de l'art. Sentir son corps se défaire sous mes assauts. Je veux la prendre. Je veux sentir son âme fusionné avec la mienne. Ignoré ce qu'avant était. Vivre dans notre présent en n'étant plus qu'un seul être avec ma reine. 

Petra a fusionné avec moi. Je n'ai pu la laisser quitté mes côté seulement pour s'occupé de Freya. Sa fille est trop adorable. Elle est une mère merveilleuse. Je suis peiné d'apprendre qu'elle a perdu des petits par le passé. À l'avenir, elle ne perdra plus aucun enfant. Mes dragonneaux seront tous en parfaite santé. 

Revenons au présent. Aumatia gigote contre moi. Je sens sa belle petite chatte toute trempé mouillé mon pagne. Elle n'est pas encore suffisamment soumise a moi. Je sais qu'elle a l'habitude de tout dirigé. Je veux qu'elle s'abandonne totalement à moi. Je vois dans son regard qu'elle le veut mais ignore comment vraiment le faire. Que de plaisir à l'horizon quand elle aura totalement abandonné son corps et son âme entre mes mains. 

J'embrasse son cou. Je sens ces griffes descendre de mes épaules au dessus de mes fesses. Son empressement est clair. Je pousse son sexe contre mon érection dur comme de l'acier. Elle hoquet de surprise. C'est le regard lourd de désir qu'elle me regard. J'empoigne son cou fermement. La couchant devant moi. Elle se tortille. Elle aime ma façon de l'empoigné. 

- Je sais. Patience louve, dis-je autoritairement. 

Son regard était suppliant. Je la surplombais de ma taille. 

Ma main libre caressa d'un geste absent sa magnifique poitrine bien ronde. Je la descendis jusqu'à passé deux doigt entre ses lèvres totalement trempé. Je fis quelque cercle sur son clitoris bien gonflé parfaite déclaration de son excitation. Mes mains sont grandes. Je mis mon pouce sur son clitoris en faisant des cercles paresseux. Je la pénétrais avec deux doigts. Elle gémis et arqua le dos. Elle aimais. Je serrais ma prise autour de son cou. Tout son corps se relâcha à ma domination. Le regard toujours remplis d'une supplication. J'adorais la voir ainsi. Elle voulait jouir. Elle avait besoin de moi pour le faire. Je me penchais sur elle. Sa respiration saccader caressa mes lèvres. 

- Ma louve va jouir pour son dragon, je veux t'entendre haut et fort ma reine, dis-je la voix déformer par l'excitation. 

J'accélérais les cercles de mon pouce tout en la pénétrant de mes doigts. Je fis un mouvement de va et viens sur son point G à l'intérieur. Sa chatte était toute chaude et mouillé a souhait. Si je n'avais pas ma main se resserrant à chaque fois autour de son cou quand elle gigotais, elle m'aurait empêché de la faire jouir en moins de deux. Elle hurla son plaisir. Une véritable mélodie a mes oreilles. 

La voir jouir était un spectacle que je ne pouvais me lassé. Je retirais ma main de son cou. Elle pris une grande respiration. Je continué de joué avec son poing G. Elle mouilla ma main comme la bonne louve qu'elle est. 

La reine du ChaoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant