#Imagine. C'est la fête des mères alors tu décides de te lever tôt pour faire des pancakes. T'es masta crevée parce que pour faire une surprise à ta mère faut quand même te lever masta tôt. Tu commences ta recette. Tient, des tomates et du poivre et pas de farine, un peu bizarre cette recette quand même... Tient c'est pas écrit pancake. ARGH c'est une recette de soupe à la tomate ! Tu jettes tout et recommences sauf que maintenant t'es masta stress.
- DRIIIIIING
Didju qui ose venir sonner à ces heures, ça va réveiller ta maman et là t'es tout sauf prête, d'ailleurs tu préfères ignorer la sonnerie t'as pas le temps pour ça.
- DRIIIIIING
Craignon Didju ! La ça va barder! C'est énervée que tu te diriges vers la porte que tu ouvres brusquement.
- QUOI ?!
- Euh... Salut.
Oups t'as fait peur à Niall, à ton Niallinouchet chérie d'amour, parce que même s'il est pas vraiment au courant c'est l'amour de ta vie. À la base c'était plutôt ton voisin blond, puis ton poto, puis ton masta poto, puis ton meilleur poto et finalement t'as eu un masta crush dessus, genre révélation ! Bon le jour où tu t'es rendu compte qu'il était plus qu'un ami pour toi, c'est le jour où tu as failli mourir noyée dans ta bave après qu'il aie enlevé son t-shirt que tu avais accenditellement mouillé (oui c'était un accident, maintenant plus :[) ).
- Salut Niall
- Je te dérange ?
- Jamais
Il lève un sourcil beaucoup plus haut que l'autre.
- Et tu gueules toujours sur les gens ?
- hum...
- ...
- Et tu fais quoi la en fait ?
- Je me suis réveillée masta tôt et j'ai vu que tu faisais à manger alors je suis venue chercher de la compagnie.
- Je fais des pancakes pour la fête des mères.
- Des pancakes avec des tomates ?
- Non mais...
- NON DIDJU LA FÊTE DES MÈRES, DEPUIS QUAND C'EST AUJOURD'HUI ?!
- Depuis ce matin apparemment.
- J'avais oublié ! Faut que j'y aille.
Et tu ne l'as plus jamais revu.
Je riiiigole
Il revient en courant.
- Mais j'ai pas de cadeaux !
- Viens faire de la pâte pour les pancakes, on en fait plus et tu n'auras qu'à l'emporter.
- Merci tu me sauves ! Tu es un ange.
Il te serre dans ses bras et tu lui frottes gentiment le dos en murmurant.
- Je sais, je sais.
Vous commencez par trouver la recette (la bonne), puis sortez les ingrédient (ni tomates ni autre chose de bizarre) et commencez le boulot. Sauf que quand tu fais la cuisine avec Niall c'est compliqué parce que faut beaucoup le surveiller, sinon y a plus de nourriture avant que vous ayez fini. Comme tu n'arrêtes pas de l'engueuler il finit par aller bouder dans un coin pendant que tu mélanges le tout avec les mains. Tu vas t'acroupir en face de lui.
- Tu boudes Niallinouchet ?
- Mmmm
Il tourne la tête; alors tu hausses le ton.
- Niall ?!
- Mmmm
- Il va falloir que j'emploie la manière forte !
Tu étales avec grâce la pâte que tu as sur les mains sur son visage.
- Argh !
- Bon maintenant viens m'aider.
- Ok
Il est rarement aussi collaboratif, très rarement.
Paf ! Tout est blanc autour de toi.
Tu te retournes lentement pour faire face à Niall.
- T'as pas osé ?
-...
- T'AS PAS OSÉ ?!
- Oups
Tu lui sautes dessus avant qu'il s'enfuie et le plaques à terre dans le but de l'enfariné lui aussi. Il roule sur toi et te plaque les mains contre le sol froid. Tu voudrais bien lui gueuler dessus mais ses yeux bloquent ton cerveau, t'es toute agagagaéifiée. Lui non plus ne bouge plus; quoique son visage te paraît de plus en plus près, ses lèvres aussi sont vraiment proches et... Tap Tap Tap (c'est le bruit de quelqu'un qui marche, et ne me contredis pas) en moins de deux vous êtes debouts. Tu retiens ton souffle alors que les pas descendent les escaliers et tu es soulagée en constatant que c'est ton frère.
- Vous foutez quoi ?!
- Euh, le paquet de farine a lâché.
- En dessus de ta tête ?
- Pas de chance hein ?
Il soupire, pose ses fesses sur le canapé et enclenche la télé. De votre côté, vous vous activez pour tout nettoyer et finir la pâte; puis tu en donnes un bol à Niall qui rentre chez lui, mais il n'oublie pas de te faire un petit bisou.
Ta maman est contente de ta surprise qui était tout de même très bonne. Et tout se passe bien.
Tu es allongée sur ton lit, même si officiellement officiellement tu bosses dur (mais c'est dur, et un dimanche en plus, c'est inhumain de bosser un dimanche) alors tu as un écouteur (pas le deuxième pour entendre des bruits de pas arrivés) un livre à côté de toi (ça sert à rien de les entendre arriver si t'as rien pour faire semblant que tu bosses), de la nourriture (habituel) et ton natel pour geeker (mais ça c'est presque inutile de le dire).
Soudain tu reçois tu reçois un message de Niall.
- Encore merci pour m'avoir sauvé la vie.
- C'est mon devoir d'ange.
- Mais bien sûr...
- ...
- J'ai rien dit !
- Hahahaha je préfère ça.
- En fait je voulais savoir si tu voulais venir faire un tour avec moi, y a un rayon de soleil alors ma maman m'oblige à aller promener le chien et tu vois je peux pas dire non.
- En bas chez moi dans 5 minutes.
- Ça marche.
Tu retouches ta coiffure; enfiles quelque chose de potable (oui le onepiece c'est potable mais pas du point de vue de tes parents) et sors de chez toi. Le chien de Niall te fait la fête et vous pouvez enfin partir en ballade. Comme toujours vous vous plaignez du travail; vous vous moquez de l'un de l'autre, vous refaites le monde et vous riez beaucoup.
- Niall tu m'emmènes où la ?
- Tu verras.
Vous êtes juste perdus au milieu des champs et ça t'inquiète quand même un peu, ce gars a pas un masta sens de l'orientation. Mais étonnement il t'emmène dans un endroit hyper joli, y a un petit ruisseau, de la fougère, des fleurs et un banc où vous posez vos derrières.
- En fait si je t'ai emmené ici c'est parce que je voulais te parler sans que personne m'entende... Quoique je sais pas si c'est bien pour toi parce que tu pourras pas partir en courant.
Tu déglutis avec peine et il prend ta main.
- Je suis pas douer pour ce genre de choses alors je vais y aller cash. Je t'aime.
Tu bloques, il a dit quoi ? T'as pas rêvé ?
Il comemence à retirer sa main et t'as un réflexe de survie étrange. Tu lui sautes à moitié dessus et l'embrasses, et ça n'a pas l'air de le déranger vu comme il te répond avec fougue. Tu recules et lui dis.
- Moi aussi.
- D'accord.
Et tu es denouveau collée contre lui à l'embrasser; tes doigts dans ses cheveux et sa main au creux de tes reins.
Fin
