IV

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Du coté de Maya,



- ENCORE UN VERRE !


- Tout de suite ma belle.


Le serveur me fit un clin d'œil et il se mit en action afin de concocter mon cocktail favoris. Je suçotais une olive en attendant de me trouver une petite proie pour cette nuit,
Voilà à quoi j'en suis réduite. Me trouver un homme pour me satisfaire sachant que j'en ai un chez moi.
C'est illogique.
Ce n'est pas comme-ci j'étais un virus, mais il me traite tout comme.
J'en suis dégoûtée et déprimée.





- Voici la belle,
Disait le serveur.




- Merci bien.




Je saisis mon verre et le savourait,
Dieu seul sait comment j'étais en pleine triple mais cependant j'étais en pleine recherche.
Il me faut un homme et non Ezechiel,
Pourquoi je pense à ce goujat ?


N'importe quoi...
Allons à la chasse.




(...)



Du côté de Ezechiel,

- Quelle boîte toi aussi?



- Celle près de la rue Brossellettes là, Disait-elle.





- D'accord, je suis pas trop loin. Merci encore Joyce,





- Ce n'est rien je t'en prie mais Ezechiel pense à ce que je t'ai dis.






- Oui j'y penserais.





- Je l'espère, allez bonne fin de soirée.





L'appel prit fin.
Je ne savais pas quoi faire en réalité, ma fiancée est sortie sans mon autorisation , sans mon accord en pleine nuit. Il est temps de faire en sorte d'imposer quelques mesures drastique afin que ce genre de choses n'arrive plus, vous voyez ce que je veux dire ?






C'est au bout de quinze minutes que je fis mon entrée à l'intérieur de la boîte. Mon Dieu, heureusement que je ne me suis jamais imposé dans ce genre d'endroit. C'est lugubre, humide, bruyant et vraiment étroit.
Je tentais de me frayer un chemin afin d'éviter de toucher toutes ses personnes mais impossibles, les femmes souriaient et appréciaient que mon corps soit au contact du mien.
Oh Seigneur, j'en suis déjà malade.





- Salut mon chou,
Me hurlait une voix féminine inconnue.
Sa te dit de venir t'éclater à l'arrière de la boîte ? Je te fais sa à petit prix vu ta beauté.





Elle était vraiment peu vêtue et à vrai dire, elle n'avait pas toute sa tête. J'en avais les larmes aux yeux tellement c'était peinant,
A première vue on aurait pu croire qu'elle avait 18 ans. J'en était touchée voir même ému,


- Donne-moi ta main,
Demandais-je.






- Oh plutôt gentleman,
Disait-elle en gloussant,
Je n'ai jamais baisé d'hommes anglais. Une nouvelle expérience.






« Tentation. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant