V

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Du côté de Maya,

Le lendemain matin...





J'avais énormément de mal à m'asseoir, j'étais comme paralysé. Mon derrière hurlait à la mort tellement il était brûlant.
Je suis donc restée allongé sur mon lit, le ventre le premier.




TOC TOC TOC





- Non !
Hurlais-je.






La porte s'ouvrit,
J'entendis ses pas s'approcher de mon lit. Il s'installa près de moi,




- Bonjour princesse,
Disait-il en déposant un baiser sur mon épaule.





- NE ME TOUCHE PAS AVEC TES SALES LÈVRES !




Je l'entendais rire,
Quel salaud. On peut pas être aussi anormal que lui,




- J'espère que tu as dessoûlé depuis hier soir.




- Ouais.
Dis-je sèchement.




- Allez cesse de bouder, je viens m'occuper de toi. J'ai de la pommade.







- Je m'en fiche.





- Retire ta couette,
Disait-il.





- Crève et sors de ma chambre.





Il soupirait et retirait la couette en admirant son travail de la veille, travail exécuté à l'aide de ses seules mains et rien d'autre.
Sans vous mentir, il possède une poigne de fer.
Vingt fessées sans pauses... Mais rien qu'à l'idée de savoir que il va enfin prendre soin de moi me chamboule.




Je m'en lèche déjà les lèvres avec un grand sourire.





(...)

Du côté de Ezechiel,





Je pressais le tube de crème et en fit tomber dans la paume de ma main.
Je déposais le tube sur la table de chevet près du lit,
Je frottais mes mains les unes contre les autres et je les imposais sur l'arrière train de ma chère fiancée,
Maya.




Lorsque j'imposais mes mains sur la peau de ses flancs endolories,
Elle poussa un léger gémissement,
C'est le salaire de l'ébriété.






Je massais lentement ses flancs en faisant des mouvements circulaires sans trop presser dessus afin d'éviter les contentieux et les grognements de Maya.







Sa peau est si douce,
Non très fière de ce que j'ai pu lui faire,
Sa m'a permis de lui faire comprendre que je ne suis pas simplement calme.
Surtout dans ses moments là.







- Tu me fais mal Ezechiel,
Disait-elle.





- C'est pour ton bien, souffrir c'est le meilleur remède.





- Non mais c'est une blague ?





- Maya je suis occupé là.





- Excuse moi de te déconcentrée,
Disait-elle ironiquement.
Je suis tellement forte à ce jeux.





- C'est bien de le reconnaître.




- Tchip.




- Écoute j'ai les mains très mal placé,
Encore un bruit intempestif de ta part et je te fesse de nouveau sans m'arrêter. C'est compris Maya ?






Pas un bruit.





- Maya, c'est compris ?





Aucun bruits.
Je pense qu'elle a compris. Je continuais mon massage sur le popotin de Maya quand...







- Tchiouuuuuuuuuuuuuuup.




Les nerfs commençaient à monter,
Déjà que j'étais assez déstabilisé par la taille phénoménale de son postérieur,
Elle m'a fait monter en grade.







Je la saisis par les jambes afin de la tirer vers moi,
Elle hurlait déjà sa sentence. Je l'ai prévenu ou pas ? Ce n'est pas possible d'être têtue comme elle.
J'imposais ma première fesse,







-AH !
Hurlait-elle.







Une deuxième ...








-AH !








Encore une autre...




Une autre, suivi d'une autre jusqu'à ce que je l'entende hurler,






- Mais t'es une fille ou quoi ?
Encore une fessée Ezechiel, encore.






De là mes sourcils se sont froncés,
Mon front s'est plissé.
Je ne comprenais pas, une fessée n'est pas une partie de plaisir ...







- Ezechiel prends-moi je sais que tu en meurs d'envie.







Elle remuait ses fesses sur mon phallus,
J'étais comme paralysé je vous jure.





Sa peau ébène m'appelle,
Son corps m'appelle,
Ses flancs m'appellent.
Rien que l'envie de les faire claquer était plus que présente,
Je les caressais avec sensualité,
L'envie ...






- Ezechiel...
Disait-elle d'une voix sensuelle.
Je suis toute à toi.







Je me mordais les lèvres avec rage,
Ma lèvre inférieur pouvait s'ouvrir à tout moment,
La pression était trop importante.
Puis sans vous mentir,
J'étais déjà dure comme du titane,
Comme une barre de fer.
Que faire ?





Seigneur, aide moi à résister à la tentation,
Aide moi à résister au fessier de Maya,
Mon Dieu...






Elle reculait son popotin afin de le coller complètement sur mon attribu,
Un léger grognement s'échappa de mes lèvres.


















- Mais c'est que notre frère en Christ est en érection...
Disait-elle en riant,
Il faut relâcher tout ça.

















La tentation est trop forte,
Maya ton corps est un enfer charnel dans le quel on a envie de plonger,
Seigneur ...
Sauve-moi ...

« Tentation. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant