Le Roman de Mikina Uchiwa

Chapitre 3 - Une reprise difficile du quotidien

J'étais allongé sur le canapé et contemplait le plafond. Déjà cinq ans que j'habite définitivement chez la famille de tante Mikoto. Depuis l'affreuse nouvelle, je vois le monde sous un autre angle. Mais comme me l'avais dit tante Mikoto, je devais garder la tête haute et essayé de vivre normalement en savourant le bonheur d'être en vie. Mais quelque chose dans mon esprit me dérangeais. J'avais en tête, l'envie d'assassiné les personnes de Kumo qui ont tués mes propres parents. En sorte, je voulais venger leurs morts. Je décida de sortir dehors et prendre l'air pour changer mes idées. Je me dirigea vers le petit parc et m'essaya sur le siège de la balançoire. « Bouh ! ». Je sursauta et tomba par terre. Avant que je puisse me retourné je vis la tête de Tenten à ma droite.
« Je t'ai eu ! elle pouffa de rire.
Je fis la tête.
- C'est pas drôle, j'aurai pu faire une crise cardiaque, dis-je un peu contrarié.
- Voyons c'était pour rigolé... tu me fais toujours la tête ?
Je ne lui répondit pas.
- Mince... s'inquiéta-t-elle.
Je ne pu me retenir longtemps et éclata de rire. Tenten me dévisagea à sa grande surprise.
- C'était une blague ! lui avouais-je.
Nous riions de bon cœur. Nous passâmes dans une épicerie pour acheter des glaces. Je pris une glace à la vanille et Tenten une à la framboise. Je me souvenu qu'un spectacle de marionnettes avait lieu près du bureau du Hokage.
- Dépêchons-nous ! cria Tenten.
Après avoir terminé nos glaces, nous courûmes du plus vite qu'on pouvait. En courant je décida de lancer un défi à ma meilleure amie.«  Celle qui arrivera en premier là-bas à gagner et la perdante devra danser comme une folle pendant une minute en public ! »
- Marché conclut !
Je sprinta mais Tenten m'avait dépassé. Beaucoup d'obstacles m'empêchait de courir normalement car il a fallu les évités. Un passant un gauche, une boite de carton à droite, des enfants qui jouent au milieu. Je perdu de vue Tenten ce qui m'a donné des sueurs froides. Je devait absolument gagné pour ne pas avoir à danser ridiculement. Je vis deux chignons au loin à quatre mètres derrière le charriot remplis de cartons en bois dans lequel un vieillard tirait. C'était Tenten ! Décidément c'est très facile de la reconnaître même loin. J'inspira un coup et couru encore plus vite qu'à la normale. Un satané de chat qui faisait sa toilette entravait mon passage. Je n'ai pas eu le choix, passé un coté de lui me ferrai perdre un mètre de distance par rapport à ma concurrente. Je sauta et atterri un mètre et demi depuis l'animal soit un mètre et demi de gagné. Ca y est, je suis tout près de Tenten, je vais la dépasser. Tout d'un seul coup, je la vit trébuché sur un caillou et ses bras partaient dans tous les sens. Sans doute, elle avait du mal a prévoir son atterrissage par terre. J'éclata de rire tout en courant car elle a prit plus de dix secondes pour atterrir par terre. Je tourna ma tête pour voir si elle n'avait rien de cassé et effectivement elle n'avait rien, elle était en train de se relevé. Je ne pouvait plus me contrôlé de rire tout en la regardant. Sa chute était extraordinaire. Paf ! Je tomba par terre avec la poubelle que j'ai pas pu voir. Tenten éclata de rire en passant à côté de moi. J'aurai du regardé devant au lieu de me retourné. Je me releva et repris la course. Je remarqua qu'elle avait ralenti à cause d'une foule qui regardait un homme chanté. C'est bon, je suis à la même position qu'elle. Le point d'arrivé était près. C'est là où je perdis de vue mon amie.
- Mikina !
Elle s'était arrêté car sa mère était venu la chercher.
- Désolé je dois rentré, on remettra cette course pour plus tard, proposa-t-elle.
- Comment tu vas Mikina ? demanda sa mère, Tenten doit rentré, elle a un rendez-vous chez le médecin. Mais il s'avère que mademoiselle a oublié, elle fixa sa fille, n'est-ce pas ?
- Ou-oui maman... répondit-elle, mais je m'amusais tellement bien avec Mikina que j'ai finis par oublié, elle ria avec air gêné en regardant sa mère.
- Vite, on doit se dépêché pour ne pas loupé le rendez-vous. Mikina tu passeras chez nous si tu veux demain ou autre jour pour jouer avec Tenten, proposa sa mère.

- Oui, pourquoi pas, répondis-je.

Elles me saluèrent et partirent. Je rentra à la maison, pile poil à l'heure où on devait manger. J'avais presque finit mon assiette lorsque que oncle Fugaku félicita des exploits d'Itachi. J'allais me lever de la table quand tante Mikoto me signala qu'elle avait préparé un dessert.
- Ah oui Mikina, ton prochain cours aura lieu après demain. Jikîru t'attendra devant l'entrée du village comme d'habitude et à ce qu'il paraît, si j'ai bien compris tu en aura pour deux jours, annonça ma tante.

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Jikîru m'a fait apprendre plusieurs techniques. J'étais au bord d'un ruisseau et avait trempés mes jambes dans l'eau. Il faisait agréable pour une nuit d'été. Je repensais à ce que j'ai pu entendre discrètement la conversation étrange entre Jikîru et son père, chef de leur clan, en début d'après-midi. Ils parlaient d'une attaque qui allait se faire dans mon village. Qu'ils allaient trouvé un plan pour protégé quelqu'un. J'ai même pu entendre mon nom de leur conversation. C'était assez troublant et étrange. Peut-être avais-je mal entendu... vu le bruit que causaient les enfants de leur clan. Je repensa à mes parents et réfléchissait des circonstances de leurs morts. Le village de Kumo, je ne pourrai pas leur pardonné. Je tapa mon poing par terre.
- Je vous vengerai ! dis-je à voix haute d'une voix coléreuse.

- La vengeance est inutile.
Je resta figé sur place, paniqué.
- Qui est là ? demandais-je. »