Chapitre 34 - Combat jusqu'à la mort

978 52 14
                                    

Ce n'était pas un cauchemar. J'aurai bien voulu mais je savais bien que que je n'étais en train de rêver. Les bruits dans le couloir me firent à nouveau sursauter.
- Jeune fille ! m'interpella l'infirmière, il vaut mieux que tu descendes. Cette étage est banalisée.
Elle me signala que tout le monde était descendu. Je l'aida à se relever et à marcher jusqu'en bas. J'avais des sueurs froides. Les lumières du couloirs étaient cassées et plusieurs d'entre elles s'éteignaient et se rallumaient. Je trouva les escaliers. Je me retourna pour voir le couloir. Quelle ambiance glauque. Tout est éparpillés et cassés. Nous descendions doucement. Les gens malades se trouvait à cette étage. Des shinobi se faisaient ramener dû à d'atroces blessures durant leurs combats. C'est un spectacle horrible. Je ne me sentais pas bien. Des gens poussaient des cri de douleurs, d'autres pleuraient à chaudes larmes. Je déposa l'infirmière sur un lit d'hôpital. Elle me toucha le front.
- Vous avez de la fièvre mademoiselle. Vous devriez rester ici.
Je ne pouvais pas. Il fallait que je fasse quelque chose. Rester plantée ici et attendre ne changera rien. Même si je suis malade, je devais me combattre pour le bien du village. Je sorti de l'immeuble essoufflé. Je me mis à chercher ces bandits. A quelques mètres, je vis une personne portant le costume de l'Akatsuki absorber l'âme de plusieurs shinobi. Courir jusqu'à là bas, ne ferait qu'empirer les choses. Je me décida d'utiliser un ninjutsu pour apparaître derrière ce membre de l'Akatsuki au crâne rasé et décoré par de nombreux percings.

Et hop ! Je lui donna un coup de pied sur le dos pour le faire dégager du pauvre shinobi

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Et hop ! Je lui donna un coup de pied sur le dos pour le faire dégager du pauvre shinobi. D'autres à côté étaient à terre. Le membre de l'Akatsuki se releva. Je devais faire quelque chose pour ces pauvre hommes.
- Suiton - Pistolet à eau !
Il retomba cloué à un mur cassé. Je le dévisagea. Il enlève son costume pour laissé apparaître son corps. Il avait plusieurs bras et n'avait pas un seul visage mais quatre. Je retrouva mes esprits. Il ne fallait pas que je perde m'a garde. Il me lança des explosifs et par chance, je les esquivèrent tous. Bon sang, pourquoi suis-je malade à un moment pareil. Il fallait que je termine au plus vite ce combat même si mon adversaire est redoutable. En réalité, je ne sais même pas si je vais réussir à le vaincre. Je sorti ma technique de la grande vague pour le ralentir. Mince ! Après que la vague a desservie, le type n'a même pas bouger de sa place. Une idée me parvient.
-  Suiton - Technique de la prison aqueuse !
Ça y est je l'ai eu ! Il se débattait à l'intérieur de la grosse bulle. C'est alors que celui-ci sorti son espèce de queue de scorpion en métal pour m'attaquer depuis sa prison. Voulant me défendre, je désactiva la prison et utilisa ma technique de liquéfaction pour que l'arme traverse en moi. Je ne pouvais pas l'éviter de toute façon. J'activa mon Sharingan. Le membre de l'Akatsuki me projeta des explosifs mais je les évitèrent grâce à mes yeux. Le mécanisme de son corps était impressionnant. Il sortait des canon depuis ses mains et même d'une de ses têtes.  Il sortir un laser. Merde ! Il m'a touchée à la jambe. J'ai mal ! Terriblement mal ! Je ne peux pas abandonné. Il faut que je me dépêche avant d'être morte de fatigue. C'était déjà un challenge contre ma fièvre. Je m'épuisais très vite. Je me releva péniblement. Puis, activa le Mangyekyô Sharingan. J'avais vraiment mal aux yeux.
- Amaterasu !
De grande flammes noires le brûlait. Par pitié, faites qu'il ne survit pas à ces flammes. Il avait l'air de souffrir. Enfoiré, c'est bien fait pour toi. Tu détruis mon village et tu tues les habitants. Il tomba à terre. Je désactiva les flammes. Il ne bougeait plus. Ça y est, il est mort. Je me rapprocha de son corps inerte. Pas de signe en vie. Je recula pour voir ce que ça donnait chez les autres. Des gens courrais dans tous les sens. Une petite fille était en train de pleurer. Je vint à elle. J'appris que ses parents se sont fait aspirer l'âme. Mon cœur se serra. J'avais la rage. Merde ! Comment ces sales bandes de l'Akatsuki oses faire ça ! N'ont-ils pas de pitié ? Je décida de l'accompagner.
- Aaaaaah ! cria-t-elle.

Le type de l'Akatsuki censé être mort sauta sur nous

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Le type de l'Akatsuki censé être mort sauta sur nous.
- Susanō!
Le démon que tous les Uchiwa puissant jaillit en moi. Mon Susanō était orange. Apparaissant subitement, l'ennemi se fit renverser par la cage thoracique de Susanō. Ça y est ! J'ai réussi à l'invoquer ! Il tenait une arme. Une épée bien pointus. Je me rapprocha de l'ennemi qui tenait de se relever. Puis à l'aide de Susanō, je transperça son épée dans le corps du type. Il tressailli puis leva une de ses mains, la petite fille était à côté de moi. Elle était à l'abri dans le Susanō. Puis, là ça y est, le type était bien mort. Enfin ! Je tomba sur mes genoux en enlevant Susanō. Je n'avais vraiment plus de force.
- Ton ventre... dit l'enfant.
Je regarda le côté droit de mon ventre. J'avais un bâton noir qui avait transpercé mon corps. Quelle douleur. Je tomba à plat ventre souffrante. La fille criait pour demandait de l'aide. Mes yeux se fermèrent lentement. Je voyais flous et je savais que j'allais perdre connaissance. Je voyais des gens venir vers nous. Mais mon corps lâcha. C'est fini.

--------
Hello !

C'est pour vous dire qu'à partir de ce chapitre, j'aurais du mal à tenir un rythme régulier pour publier d'autres chapitres. Je m'excuse et j'espère que vous continuerez à lire Le Roman de Mikina Uchiwa !

Le Roman de Mikina UchiwaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant