It's a Deal - Louis Tomlinson

Chapitre 15

Je me souviens parfaitement, à mes 11 ans, je commençais à vouloir me rebeller sur toutes ces règles que mes parents avaient pour habitude de me fixer. Une m'a toujours plus suscité mon attention que d'autres. Celle où j'avais pour obligation, de ne pas sortir de ma chambre après le dîner. Je me souviens très bien de ce soir de novembre. Le mois le plus long et triste de toutes les années. Alors qu'il était 21h passé, j'avais décidé de déverrouiller discrètement la porte de ma chambre pour sortir sur la pointe des pieds. Je m'étais d'abord attentivement méfier de ne surtout pas me faire attraper, puis au fur et à mesure, après avoir vérifier chaque pièce de ma maison, j'avais découvert que j'étais seule dans ma maison. Je m'étais toujours posé des centaines de questions à propos de ça, où mes parents allaient ? Je ne l'aurais jamais sut.

**

Après avoir passé un dimanche et presque lundi entier à tout remettre en question et à essayer de tout clarifier dans ma tête, mon choix avait été décidé. Je veux rendre ses comptes à Louis, je suis sûre qu'il tient une agence de prostitués, ou de vole et sa voiture appartenant à un certain Robertson, puis le fait qu'il était sur ma propriété, m'emmène à ces conclusions. Pour Matt, je suis décidée, à lui raconter la vérité à propos de moi, sur tout ce que je lui ai mentis, et sur mes réels sentiments. Je lui ai demandé, de me retrouver à 17 heures devant chez moi, il a accepté bien sur, en laissant des messages insistant pour que je choisisse entre lui et Louis, que j'ai ignoré.

L'heure sur mon horloge à fleurs de ma chambre, m'indique que l'heure des explications avec Matt arrive. Je me regarde dans le grand miroir se tenant près de mon lit. Mes longs cheveux bruns sont lâchés sur mes épaules, du mascara repose sur mes longs cils bruns, qui éclaircissent encore plus mes yeux bleus, et mon long nez fin tient mes lunettes de repos que j'avais décidé à garder sur mon nez, par ces derniers étant fatigués par toutes ces blanches enchaîner. J'avais enfilé un slim skinny noir avec un t-shirt ample, noir également puis des Docs Martens, auquel je tiens précieusement. Je grimace en voyant mon corps, je le trouve toujours autant hideux, un vrai complexe que je traine avec moi.

Je file par l'éternelle et même échelle tenue contre le mur, pour me retrouver enfin au sol. Je m'assois sur un banc, devant ma grande maison, que je connais si bien, attendant Matt pour lui faire mes aveux, quelques minutes passèrent et il se tenait enfin devant moi. Ses cheveux semblent toujours autant ébouriffés, ses yeux sont cachés par des lunettes de soleil vintages, et un t-shirt blanc épouse parfaitement sont corps, et font sortir ses bras fins.

-Salut, Délilah.

Avec un sourire de vrai bonheur, il s'approche de moi, tentant d'embrasser mes lèvres, je le stop en mettant une main devant mon visage. Sa figure devient alors tout de suite moins joyeuse, et il s'éloigne de quelques pas de moi, voyant que je le repousse. Je ne montre pas un visage très fier, voir honteuse, je n'ose même pas le regarder dans les yeux. J'appréhende sa réaction, j'aurais voulue tomber amoureuse de lui, mais je n'y arrive. Ma mère m'a toujours répété que l'on ne peut pas contrôler nos sentiments, je suppose que c'est ce qui m'arrive.

Matt s'assoit alors à côté de moi, comprenant que j'avais allée. Je ferme les yeux quelques secondes, inspirant, je me prépare à tout balancer, le stresse commence un peu à monter.

-Bon Matt, il faut que je te parle de quelques trucs à propos de moi. Premièrement, je t'ai mentis sur pas mal de choses. Je ne suis pas dans un lycée, je suis des cours à domicile...Je pense, que je voulais juste me montrer différente au près de toi, parce que tu semblais tout de ce qu'il y a de plus parfait franchement, mais pourtant...

Je m'arrête quelques secondes, pour regarder son expression faciale. Il regarde le ciel, un petit sourire est installé sur ses lèvres, je fronce les sourcils, surprisse de son comportement, j'essaye de continuer mon discours sans paraître trop distraite par lui.