It's a Deal - Louis Tomlinson

Chapitre 28

Alors que nous avons passé la journée entière sur une plage, un peu à l'écart de New York, j'ai passée ma journée entière toute seule sur cette pauvre serviette et sur ce sable qui arrêtait pas de venir dans mes yeux à cause du vent. Nous avons bon être en juillet désormais, je frisonne à chaque fois que l'air souffle sur mon corps. En fait, je m'étais ennuyer à mourir, parce que Louis a passer son après-midi, à draguer une jeune femme brune. Elle a un air ténébreux et n'a pas l'air vraiment amicale, une fois j'avais essayer d'aller les voir. Louis a carrément dit qu'il ne me connaissait pas, et elle, si elle aurait eu des revolvers à la place des yeux, je serrais déjà morte. Ma patiente atteint sa limite, ça fait environ une heure que j'hésite entre aller les noyer dans la mer, ou les assomer avec le parasol. Ils ne font que parler, s'enlacer, j'ai crue qu'ils allaient à s'embrasser plusieurs fois. En fait, j'avais penser à aller voir un garçon moi aussi, mais je suis vraiment trop timide et je n'ai vraiment aucune idée de comment j'ai réussi à parler à Louis, alors qu'il était un simple inconnu. En tout les cas, Louis n'est pas timide. Il n'hésite pas à faire son beau et ça commence vraiment à me taper sur le système nerveux. Je décide d'attendre 18h, pour partir. Il est 17h51 en fait. J'attends, j'attends, je regarde le paysage que je connais déjà parfaitement, je regarde Louis et la brune qui à sa tête posée sur son épaule. Je contracte ma mâchoire pour m'empêcher de leur faire avaler le sable que je me prends en plein visage depuis le début de l'après-midi. Il commence à faire glisser sa main jusqu'à la sienne, maintenant main dans la main, là il ressemble vraiment à un couple alors que moi j'ai l'air d'une cruche à côté. Finalement, je m'en fou de l'heure, j'en ai marre. Je me lève non-chaleureusement, porte mon sac à mon épaule et attrape ma serviette sur mon bras, je décide de partir. Je n'ai aucune idée d'où je vais, mais je suis bien décidé à partir. Je me mets au bord de la route, tend mon pousse, fais du stop pour la première fois de ma vie. Il me fut seulement quelques minutes pour qu'une voiture s'arrête.

-Bonsoir mademoiselle, vous voulez aller où ? Me demande alors un homme de la vingtaine d'année.

-New York centre s'il vous plait, je saurais où trouvais mon hôtel après.

Il me sourit, puis me fait signe de rentrée, je m'installe alors à l'arrière, comme un taxi. Je jete un regard sur la plage, où je peux encore voir Louis avec cette jeune femme pour qui il n'a que de yeux, ça me fait un pinsement au cœur, alors que je souffle un grand coup, le jeune homme m'observe dans le rétro.

-Je m'appelle Luke, et toi ?

-Délilah. Répondais-je froidement, le regard porté sur la fenêtre.

-Qu'est ce qu'il ne va pas ?

Je porte mon regard sur Luke, me souriant. Visiblement, je dois avoir une tête de déterrer pour qu'il devine comment je me sens. Il a l'air gentil, je peux peut-être me venger avec lui. Enfin, "me venger" ? Louis s'en foutrait puis il en saurait rien sûrement. Je regarde mon téléphone, où je n'ai même pas un seul message.

-Un...Le garçon avec qui je suis venu ici, m'a laissé en plan pour aller avec une fille. Expliquai-je.

-Ca craint, tu vas rester toute seule ici maintenant ?

-Je n'ai pas la moindre idée. Répliquais-je.

-Tu peux venir boire un coup avec moi, si tu veux.

Je reste hésitante quelques secondes sur la demande du jeune inconnu. Ca serait résonnable d'accepter ? Son sourire reste fixé, ses yeux bleus et sa chevelure blonde me font confiance.

-Oui, avec plaisir.

Il hoche la tête et seulement quelques minutes plus tard, nous nous arrêtons à un bar. Nous y rentrons tout les deux, déjà beaucoup de jeunes y sont, il y a de la musique et les gens y dansant, je trouve ça un peu étrange. Il fait totalement sombre, on ne dirait pas qu'il est seulement 18 heures passé. Nous nous asseyons au bar, Luke serre la main au barman et je comprends alors qu'ils se connaissent, il demande un nom étrange, sûrement un cocktail d'ici pour nous deux et en quelques secondes ils sont devant nos yeux. Ma soif se faisant grande par l'après-midi, à sècher sur le sable, je saisie le verre à ma bouche et enfile les gorgées.