Chapitre 25

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Point de vue Louis.
Le sommeil étant impossible pour moi à trouver, je me contente d'observer la chambre, enfin la suite luxueuse que j'avais trouvé dans New York avec l'argent du père de Delilah. Le truc étant que toutes les suites ne comportait qu'une seul immense lit, nous forçant donc à dormir ensemble. Enfin, surtout elle qui a râlé tout ce qu'elle pouvait pour avoir cette suite et pas une autre. Elle l'aimait car il y avait un grand balcon avec une vue magnifique sur la ville qu'aucune autre avait. Mise à part ça, quand elle a vue où nous étions, elle avait les yeux pétillants et elle mourrait d'envie de sauter partout. La seule raison dont je suppose pour laquelle elle se retenait était probablement parce qu'il y avait des gens autour, moi je ne l'intimide plus assez pour qu'elle se retienne de faire ça.
Des couts me sortent de mes pensées, je baisse alors la tête vers Delilah, entrain de pleurnicher, des goûtes de sueurs perlent sur son front. Elle bouge sa tête dans tout les sens, et des larmes dévalent ses joues. Elle essaye de se débattre dans le vide, et je crus un instant qu'elle allait se griffer.

- Part pas fgfgna...maman...Bafouille t-elle.

Ses mots me font un effet de pression dans mon corps. Je la regarde, et essaye de poser ma main sur la sienne qui tremble tout comme son corps. Je compris qu'il fallait que je la calme sinon ca allait s'empirer. Je me rapproche alors d'elle, et la tient désormais dans mes bras sentant son besoin d'être rassurer, comme souvent, j'essaye de lui caresser le dos enfin de calmer ses tremblements. Je reste plusieurs minutes comme ca, sentant son cœur battre tellement fort contre le miens. J'enlève la couverture nous recouvrant à l'aide de mes pieds, éprouvant toute la chaleur que son corps tient. D'un seul coup, elle sursaute contre moi et ses tremblements s'arrête. Plus aucun bruit, je n'ose pas bouger. Puis sa tête, se relevant vers moi, ses petits yeux bleus me regardent.

-J'ai peur. Avoue t-elle.

Je la resserre plus fortement contre moi et ses bras s'enveloppent autour de ma taille. Nos jambes se croisant, elle les éloignent un petit peu, surement mal à l'aise.

- De quoi tu as peur ?

- Samedi, je vais devoir me marier avec Matt. Mon père me l'oblige.

-Qu'est ce tu racontes ? Tu es trop jeune pour te marier.

-Mon père m'a mentit sur mon âge, j'ai dix-huit ans. Dix-neuf demain.

Wo. Je ne peux pas m'empêcher de ne pas être étonné de son père, j'ai toujours sus qu'il était ce genre de personne, mais de là à forcer un mariage. Je ne veux pas lui prendre la tête pour le mariage, même si l'envie de lui dire de tenir tête à son père est forte, la faire se rendormir calmement est prioritaire.

- Bon, au moins je sais que c'est ton anniversaire demain.

Je la sens sourire contre moi, et elle resserre alors ses bras. Je la laisse faire, tandis qu'elle frotte sa tête dans mon cou.

-On dirait un chien comment tu fais.

- Oh !

Elle me tape l'épaule dont je ne ressens même pas un léger picotement par son manque de force, puis elle se tourne afin de me montrer son dos. Je rigole face à sa réaction, et elle se montre vexé mais je mettrais mon bras à coupé qu'une sourire est ancré sur son visage à ce même instant. Elle s'éloigne de moi, elle se tient presque à l'autre bout du lit, prête à tomber.

- Et beh bonne nuit, j'espère il fait pas trop froid là-bas ! Me moquai-je.

Je l'entends souffler par mes paroles et je ferme alors les yeux, faisant mine de dormir, et essayant d'enfin m'endormir. Mais il ne fallut seulement quelques minutes pour que je sente un corps tout fin se glisser sous mon bras et envelopper ses bras autour de moi. Mon cœur se serre, je ne sais même pas pourquoi il fait ça. Je voudrais lui faire une remarque mais voyant son sourire contre moi, je n'ose rien faire. Je passe alors également mes mains autour d'elle, voulant sembler protecteur, comme je ne l'ai jamais fais avant.
Dans cette position, je n'ose plus bouger désormais, m'obligeant à trouver le sommeil.

It's a Deal - Louis TomlinsonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant