She's Not Afraid.

Chapitre 20 : Elles sont rose, Haylay, je déteste le rose.

Chapter twenty.
« Elles sont rose, Haylay, je déteste le rose. »
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« Tu veux quoi ? » Demandai-je froidement.

La sonnerie retentit couvrant ses paroles, je me levai, empoignai mon sac et sortit, laissant seul Zayn qui je crois été en train de me parler.
Je croisai Louis, il me regarda froidement, et me bouscula, je crois que Lottie lui a parlé.
En parlant d’elle je l’a croisa sur mon chemin.

« Hey, ça va mieux que tout à l’heure ?
- Oui, j’ai parlée à Louis.
- J’ai vue ça…
- Il est venu te parler ? Demanda t-elle étonné.
- Non, disons que c’est son regard qui a parlé à sa place.
- Hm, je vois. » 

Elle me prit par le bras.

« Dis tu fais quoi ce soir ? Me demanda t-elle.
- Bah, je serais dans la chambre, enfin comme tous les soirs Lottie.
- Ce soir ce sont les vacances d’hiver je te rappelle.
- QUOI ?! »

MERDEEEEEEEE
Je fais comment ? Je le savais même pas, je ne peux pas appeler mon père à la dernière minute pour un vol vers la France ! 

« Rien… Et toi ?
- Comment ça rien ? Tu ne vas pas voir tes parents ? Je vais chez moi.
- Je ne peux pas aller voir mon père, prendre un vol à la dernière minute direction Paris ce n’est pas possible !
- Et ta mère ?
- Je, euh, ça va être très difficile pour passer mes vacances avec elle.
- Vient chez moi, je t’invite mes parents ne diront pas non, ils sont cool.
- J’y réfléchirais. »

Ça peut être bien, je ne sais pas encore j’y réfléchirais après.

« Merci en tout cas, de proposer, c’est super gentil. » Souriais-je.

Elle me sourit, et on se sépara pour aller en cours.
J’avais math… à l’aide.
Je partis en cours, cours de math, après cours de d’espagnol, mangé, cours d’histoire, cours d’svt, et j’ai finis, la belle vie.
J’entre et pose mon sac sur mes genoux une fois assise, c’est partit pour m’ennuyer.
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Oh une mouche.

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Mon prof pue de la gueule.
Zpofjpezofjpezfzjfezpojez je m’endors.


** ELLIPSE DES COURS DU MATIN, DE LA CANTINE ET DES COURS DE L’APRÈS MIDI. **

Ça y est, c’est les vacances, 2 semaines à rien faire, loin de toutes ses insultes, enfin presque vu que je vais chez Lottie ce soir, je stress.
Actuellement, je suis en train de ranger mes affaires mais la porte s’ouvrit brusquement que je criai de peur.
En me retournant je vis Lottie qui marchait lentement cherchant à s’asseoir.

« Tout va bien ? Demandai-je inquiète.
- Le… La…
- Les?
- Li…
-am ? » Continuai-je

Elle hocha la tête, quel con ! Je lui avais dit de lui parler dans deux jours, ah mais c’est les vacances… Il n’est pas con enfaite.

« Il a dit quoi ?
- Je … te dirais ça ce soir, dans ma chambre. »

J’hochai la tête et la prit dans mes bras.

« Allez, fait ta valise ma poulette. Lui dis-je.
- J’ai une tête de poule ? Me demanda t-elle
- Si je dis oui je risque de mourir ?
- Oui. Rigola t-elle.
- Alors non, tu ne ressembles pas à une poule. » 

Elle fit un sourire de vainqueur, tandis que moi je lui tirai la langue.

« Merci. »

Je me retournai.

« De? Demandai-je.
- Merci de me redonner le sourire. »

Je lui souriais.

« De rien poulette. 
- hé! » Cria t-elle en me lançant un coussin.

Je rigolai et me remit à faire ma valise, elle m’imita.
Elle sortit son portable de sous le matelas, parce qu’à la base on n’a pas le droit d’en avoir un dans le Lycée, nul hein ?

« Oh, merde ! Ils arrivent dans 5 minutes Haylay, faut prendre nos brosses à dents, nos habits, nos…
- Oh, oh, oh, au lieu de parler, fonce ! » Criai-je.

On se précipita toutes les deux dans la salle de bain, ce qui causa un mal d’épaule affreux, vous voyez quand vous voulez allez dans la salle de bain, mais qu’une autre personne y va aussi ? Vous vous retrouvez coincé entre les portes, bah là c’est exactement comme ça.
On se regarda, et explosa de rire.

« On est des cas… » Murmurai-je en rigolant.

On faisait nos valises en sautant partout tellement on était stressé d’être en retard, Lottie criait.
Petit aperçu :


« PUTAIN MES BOTTES OU SONT MES BOTTES ? Cria Lottie.
PUTAIN MA BAGUE OU EST MA BAGUE ? Continua Lottie.
- Sous ton lit, et ta bague dans le tiroir de ta table de chevet. Répondis-je en rigolant.
- Ah ouais … MES LIVRES OU SONT MES LI…
- Dans ta valise, tu le fais exprès ou quoi ? Demandai-je.
- No… IL ME FAUT DES CHAUSSETTES MAIS ELLES SONT TOUTES AU FOND DE MA VALISE, HAYLAY DONNE MOI DES CHAUSSETTES VITTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTE ! Cria t-elle en sautant sur le lit.
- Tiens. Et arrête de gueuler comme une trisomique Lottie ! » Rigolai-je.

Elle s’arrêta de rire quand je lui lançai des chaussettes.
Je l’interrogeai du regard.

« Des chaussettes snoopy ? Haylay j’vais pas porter ça quand même ! 
- Hé ! Elles sont belles.
- Elles sont rose, Haylay, je déteste le rose. »

Je lui tirai la langue, elle soupira et les mit.

« Tu vas me le payer. » Me dit-elle en me pointant du doigt.

Je fis comme si j’avais peur pour me moquer d’elle.
La porte s’ouvrit brusquement.

« Lottie, les parents sont là, dépêche toi. »

Elle arrêta de me pointer du doigt et fit une tête étonné, en disant pleins d’injures.
Perso j’ai déjà fini ma valise. Lottie referma sa valise avec difficulté, elle me pointa du doigt, puis elle regarda sa valise.

« Quoi ? Tu veux quand même pas que je m’assois dessus. » Dis-je en rigolant.

Elle refit le même mouvement, je soupirai et me mit dessus. 

« Ça veut pas fermer ! Louis vient m’aider s’il te plait. » Demanda Lottie.

J’étais en train de m’exciter sur la valise en sautant dessus, Louis vint devant moi en me tendant une main, mais je ne la pris pas enfin je ne comprenais pas pourquoi il me la tendait ce qu’il l’énerva.
Il soupira en levant les yeux au ciel, je pouvais le voir d’en haut pour une fois que j’étais plus grande que lui, ahah.
Ses mains se levèrent, je fermai les yeux instantanément de peur de me prendre une gifle, au lieu de ça ses mains vinrent se caler sur ma taille, et me souleva, des frissons parcoururent mon corps ce qu’il vit, car il se mit à rigoler, malgré que je le regardai froidement.
Il s’assit sur la valise de Lottie, et là elle put la fermer, tandis que moi je restai bloqué là, sentant encore ses mains sur ma taille, je souriais bêtement.

« HAYLAY !
- Quoi ? Pourquoi tu cries Lottie ? Demandai-je.
- ça fait genre 5 fois que je t’appelle tu te fous de ma gueule ? Demanda t-elle devant la porte d’entrée.
- ah merde ! » Dis-je en courant.

Louis avait déjà disparu, Lottie avait bougé de place, passant de son lit à la porte d’entrée.
Je me mis à courir, heureusement que ma valise à des roulettes, sinon je me tirerais une balle directement.
On parcourait le grand hall, où il y a le poteau que je m’étais prit en pleine figure devant Louis. Je rigolai en y repensant.
On sortit sans difficulté et une voiture était là parmi tant d’autre, Lottie me dit d’attendre là et partit voir ses parents, elle courait même.
Je pouvais entre ce qu’ils se disaient.

« Charlotte, mon ange ça fait longtemps. » Dit sa mère.

Charlotte ? C’est qui ça ?

« Oui maman, t’as maigrit non ? Papa, ça fait du bien de te voir, faudrait penser à te raser la barbe hein. » Elle rigola.

Je rigolai intérieurement.

« Vous voyez la fille là bas ? Elle peut rester chez nous pendant les vacances ? C’est mon amie, vous verrez elle est géniale. » Dit Lottie en arborant un énorme sourire.

Ses parents levèrent la tête vers moi, sa mère me souri ainsi que son père.
Lottie vint à moi.

« Vient, tu peux venir. » Dit-elle.

J’empoignai ma valise et l’a mis dans le coffre avec l’aide du père de Lottie, j’entrais dans la voiture suivit de Lottie, je sursautai en voyant Louis.

« Qu’est-ce que tu fous là ? »

Ces simples paroles qu’il venait de sortir de sa bouche m’avait blessé.

« Elle passe les vacances avec toi, que ça te plaise ou non ! » Dit Lottie en lui tirant la langue.

Il leva la tête vers le ciel.

« Au secours. » Dit-il.