Chapitre 35 : Hier t'avait une de ces bosses, énorme, comme ton ventre.

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Chapter thirty five.

Pour plus d’émotion > https://www.youtube.com/watch?v=1lefGrqcC1A

PDV Lottie. 

Un affreux mal de tête me réveilla, dans ma chambre, je me souviens que Louis m’avait déposé hier soir dû à ma chute dans les roses de carrefour market.

La porte s’ouvrit à la volée, laissant Louis entré.

« Hmmm, dégage ! Dis-je en m’étirant.

- Ca va ta tête ? Hier t’avait une de ces bosses, énorme, comme ton ventre. Rigola Louis.

- Tu le vois le…le… mon chausson là ? Dis-je en l’attrapant dans ma main droite.

- Bah oui, je suis pas aveugle quoi. Dit Louis en écarquillant les yeux.

- Et bah j’espère que tu vas te le prendre dans la gueule. » Dis-je en le lançant sur lui.

Il fit une danse assez bizarre pour éviter le chausson que j’avais lancé, jfezoihfeozhf connard.

« Essaye encore. Dit Louis avec une voix de robot.

- Dégage. Dis-je.

- T’as plus rien à dire ? Rigola Louis. 

- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH » Dis-je en sortant de mon lit comme une…chacal ?

Il prit peur et partit en courant, bah quoi ? Attend, je vais me regarder dans le miroir, voir si je fais peur.

Oui, je fais un peu (beaucoup) peur >>http://data.whicdn.com/images/50739274/Py7XLFaPmEc_large.jpg

Liam ouvrit la porte, oui il est revenu.

« Lottie, … AAAAH, non je déconne. Je t’ai déjà vu les cheveux encore pire question d’habitude, bref, j’étale ma vie là, brefbref, je euh, faut que je te parle. » Dit-il en fermant la porte.

Je reculais vers mon lit et m’assit dessus.

« Euh, bah parle écoute. Dis-je 

- Je t’aime encore, je ne cesse de pensé à toi. »

Je me mordis la lèvre.

« Liam, on ne peut pas être ensemble, je fais ça pour toi tu sais, pour ton bien, pour pas que Louis t… »

Je ne pus finir ma phrase que son poing atterris dans le mur.

« Arrête, arrête ! Tes excuses, elles sont bidon ! Tu devrais plutôt être honnête avec moi non ? Me dire la vérité ? Me dire ce que tu ressens ? Si tu tiens à moi un minimum, tu ne me mentirais pas, tu sais je préfère que tu sois franche avec moi plutôt que de me mentir, et de jouer la fille qui ne veut pas me blesser, mais ce que tu ne comprends pas c’est que je préfère entendre une vérité qui blesse plutôt qu’un mensonge. Tu sais, ce n'est pas toi qui va m'anéantir, ni personne. Alors dit moi, j’attends la vérité, celle qui blesse.

- Tu veux savoir ce que je ressens là ? Dis-je en tapant ma poitrine me défonçant les seins en passant. Bien, je vais te le dire. Tu me rendais tellement, tellement heureuse, tu me faisais vivre à nouveau, c’était magique, ce sentiment que j’avais quand je te voyais. C'est un sentiment que personne ne peut comprendre, sauf quand elle est amoureuse, oui, je l’étais et littéralement. Tu étais mon sourire, mes larmes, mes rires, ma bonne humeur. 

- « J’étais » car maintenant tout est fini. Mais pourquoi ? Bon sang, je ne te comprends pas ! On est restés six mois ensemble pour toi ça ne veut rien dire ? Mais putain, tu te foutais de ma gueule, t’en a rien à foutre de moi, que des mensonges, mais bordel Lottie! Tu sais quoi ? Va te faire foutre. T’entend ? Va. Te. Faire. Foutre. Dit-il en tapant la porte.

- Liam ! »

Mes yeux brillaient, jamais je ne l’avais vu aussi violent… Je l’attrapai et le retournai vers moi.

« Non, lâche-moi ! 

- Liam, je t’en pris ! » Dis-je

Il retira brusquement son bras me laissant retomber sur les fesses. Il sortit et referma la porte avec force.

Les larmes ne coulaient pas mais elles étaient présentes au coin de mes yeux.

Je partis sous ma couette, j’ai besoin d’Haylay là, maintenant…

La porte s’ouvrit doucement, ma tête dépassa de la couette pour voir Louis, une lettre à la main.

« J’ai trouvé ça dans le couloir dans un coin, c’est à toi ?

- Montre. » Dis-je d’une voix douce.

Il vint à moi et me la donna.

Je commençai à la lire, et quand j’eu finis j’étais littéralement en pleurs. 

« Lottie ? Dit Louis.

- Je, tu peux me laisser seule ? » 

Il hocha la tête et m’embrassa le front. La lettre parlait de Haylay, de Heaven, de sa mère.

Haylay me cache des choses…

« Ma petite Haylay enfin grande vu que tu me dépasses d'une tête.

Tu dois sûrement trouver ça surprenant voir bête que je t'écrive une lettre mais ce que j'ai à te dire ne peut se faire par SMS, et malheureusement je n'ai pas assez de force pour t'en parlé en vrai, de toute manière quand tu liras ça je serais déjà partie, non je ne déménage pas, je pars oui. Tu as du remarquer qu'hier je n'étais pas allé en cours? Ni aujourd'hui?

Hier je n'avais pas assez de force pour te faire face, alors je suis resté chez moi à me préparer psychologiquement, et aujourd'hui je suis partie, je suis partie, je ne suis plus là.

Ça ne sert à rien de courir chez moi, je suis partie pour de bon et je reviendrais plus, je suis partie rejoindre Jeremy... Mon frère, quand il a été assassiné par erreur mon monde s'est tout simplement écroulé, tu as sans doute remarqué mon mal être quotidien, tu as sans doute remarqué mes sourires faux, mes rires faux. 

Jamais ma bonne humeur n'est revenue depuis. 

Je ne pars pas que rejoindre Jeremy, je pars rejoindre tous les membres de ma famille, car sans eux je ne suis plus moi, je suis rien. 

Tu dois sans doute penser que je rigole, que demain tu vas me voir en cours sourire aux lèvres en te disant " je t'ai bien eu! " Mais non, je ne suis plus là dorénavant. 

Je t'en pris, ne m'en veut pas, je t'ai quittée, je t'ai laissé seule, j'en suis désolée mais j'en peux plus, j'en ai marre.

Merci d'avoir été là pour moi, tu mérites mieux. 

Je t'aime Haylay, ne pense jamais le contraire, je suis désolée même si ça ne changera rien. 

Je m'en vais, je passerais dire bonjour à ta mère, elle me manque d'ailleurs. 

Je t'aimais, je t'aime et je ne cesserai de t'aimé. 

De Heaven, ta meilleure amie, plutôt ton ancienne, je te souhaite de rencontré une fille mieux que moi, plus drôle, moins lâche, avec de la famille, je te souhaite d'avoir une belle vie. 

Je t'aime. »

S’en est trop pour une journée, je mis la lettre qu'Haylay a oublier chez nous sous mon matelas et me laissa tomber dans les bras de Morphée, trop fatigué, même si je venais de me réveiller, j’avais le moral à zéro.

She's Not Afraid.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant