En l'an 1563, tandis que les guerres de religion éclatent et bouleversent le pays, Agnès Sorel, fille d'un riche peintre français et ami de la couronne se trouve en sûreté dans le palais royale. Les protestants et les catholiques cherchent le pouvoi...
Sur son cheval blanc aux taches grises intenses, Thibault prenait avec un grand soin la partit de chasse. De son arc, il entreprit de positionner sa flèche afin de ramener à sa majesté une délicieuse biche. Une cible pourtant difficile, cachée dans les fourrées et la végétation dense de la forêt royale. Il visa, sentant le cœur de la bête battre à travers le sien, décernant une innocence qui attisait chez lui une certaine pitié. Il était un homme de bravoure, à qui ont avait apprit les valeurs généreuses de la vie. Il était plutôt bel homme, dans les vingts trois ans précisément. Il se concentra sur sa proie, son prix en imaginant la gratitude du roi. Aucun de ses membres ne tremblaient, ôter la vie pouvait le déranger mais en lui, une partie caché en prenait quelque peu du plaisirs. Après tout... Ainsi était la chaîne alimentaire. L'homme y trouverai toujours un goût pour toute espèces. Il ne lui restait plus qu'à laisser sa flèches voler à travers le vent, s'élancer dans les plaines et venir rencontrer la chaire merveilleuse de l'animale. Il prit un grand souffle...
- Thibault ?
Il lâcha sa prise sur l'arc, la flèche partit en une vitesse remarquable mais rata sa cible. La belle biche avait entendu l'appel et s'était enfuit bien trop tôt. Thibault poussa un soupire. Il n'allait avoir aucune faveur de sa majesté aujourd'hui, c'était certain. Il se retourna au moins pour apercevoir l'homme qui l'avait interpellé.
- Monsieur le Duc de Guise...
L'homme en question ne lui attribua aucun sourire malgré l'affection commune qu'avait les deux hommes. Ils s'appréciaient, là était l'essentielle et le plus important dans ces temps de guerre.
- Et bien... En fin de compte, vous avez raté votre cible mon ami.
Thibault sourit d'un aire amusé. Combien de fois ce cher Duc de guise avait entreprit de gâcher ses si belles parties de chasse en solitaire ? Bien trop nombreuses... Mais aujourd'hui était différent, il ne chercherai pas à s'opposer contre le talent innée de son ami en cette activité haletante. Cette biche avait été sa toute dernière cible de sa mâtiné et il devenait déjà impatient de devoir poursuivre sa journée par un splendide moment.
- Effectivement. ( Il fit tourner son cheval afin d'entreprendre le chemin du retour au palais. ) Mais aujourd'hui, pardonnez-moi mais je n'ai guère le temps pour une bataille de plus.
Le Duc parût des plus surprit.
- Vous piquez ma curiosité. Quel est donc ce passe temps que vous avez déniché et qui peut remplacer nos belles compétitions de chasse ?
Thibault savait bien qu'il ne pouvait s'en aller sans avoir divulgué tout de ce fameux "passe temps". Lui qui n'était pas un coureur de jupon, qui aimait pourtant les belles femmes et savait reconnaître leur beauté... Comment pouvait il affirmer un aussi grand secret au Duc, qui lui, ne pensait manifestement qu'à la guerre de religions ? De plus il était déjà marié, avec une duchesse des plus honorable si il s'en souvînt bien. Il avait déjà formé une famille dont un petit garçon porteur de succession au trône si sa majesté ne donnait naissance a aucun souverain. Lui, était encore seul, avec une notion vague du mariage dut à sa jeunesse qui parfois lui donnait tord face aux expériences certaines des plus âgées.
- à vrai dire... Je vais faire la cour à ma promise, du moins, ma future femme. ( Voyant les interrogations du Duc, Thibault ajouta quelques informations. ) Il s'agit d'Agnès Sorel, ( Il savait bien que tout le monde la connaissait à la coure, elle était même surnommée "Dame de beauté", ce qui attisait chez lui un plus grand désirs encore de la rencontrer. ) fille de Charles Sorel, célèbre peintre personnel de sa majesté. Dans tout les cas, veuillez me pardonner, je ne veux point être en retard et il me semble que j'ai bien trop négligé le temps que me prendra le chemin du retours.
Les deux hommes se saluèrent poliment avant que Thibault ne s'engage dans la forêt sinueuse. Pendant ce laps de temps, il ne put s'empêcher de penser à cette femme qu'il allait rencontrer. Si elle était douce et gentille, stricte et sans aucun humours ou entreprenante et coquette comme toutes femmes à la coure. Mais ce qui lui faisait encore bien plus peur était le faite qu'il puisse tomber amoureux et que de sa bien aimée, ne réponde jamais à ses sentiments et en souffre d'avantage. Il n'aimait pas faire de mal aux femmes...
Il arriva au écurie, s'occupa avec soin de son cheval avant de partir se changer. Il opta pour une veste bleu en cachemire et un pantalon noir, tout comme celui à la nouvelle mode française instauré à la cour par sa majesté. Lorsqu'il fit ses ourlets, il s'attarda sur son reflet dans son miroir d'argent. Il avait le visage marqué par la crainte et l'angoisse... Rien qui ne puisse le rassurer.
Il se mit à courir en sachant l'heure, ayant pourtant prit de nombreuses précautions qui n'ont fait que de lui rajouter de l'inquiétude. Il se posait si beaucoup de questions, elles envahissaient son esprit et l'avait fortement fait douté. Il ne pouvait croire qu'il allait se présenter en retard lors d'un premier rendez-vous. Il en était couvert de honte. Il passa devant les grands murs du château, défila au travers des arbres pour se retrouver face à une grande façades de pierre. Derrière celle-ci l'attendait sa promise. Il se força donc à ôter toutes imaginations ou pensées maussades, effaçant ses peurs qui ne devaient exister. Il était l'homme après tout... Il fit quelques pas certains, jusqu'à se figer. Elle était de dos, brillait au soleil... Agnès regardait au loin, seul, l'attendant en silence. Elle était... Sa promise.
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Le marquis de Bourbon (Thibault) : gentil, attentionné, aimant, attachant, bel homme... Tout ce qu'une bonne épouse rêverai. Jeune et charmant, il est passionné de chasse depuis son enfance ( Dût à l'immense domaine privée de son père regroupant de multiples proies ) et ne cesse de vouloir accroître ses liens avec sa majesté. Choisi par Charles Sorel comme promis pour Agnès, celui-ci prouvera un réel attachement pour cette union. Mais aussi trop sentimentale en accordant parfois trop vite sa confiance... Il devra faire face à de nombreux obstacles avant de parvenir à ce qu'il désire vraiment : Se marier avec Agnés Sorel.