En l'an 1563, tandis que les guerres de religion éclatent et bouleversent le pays, Agnès Sorel, fille d'un riche peintre français et ami de la couronne se trouve en sûreté dans le palais royale. Les protestants et les catholiques cherchent le pouvoi...
La paume confronté à son bureau, la main touchant du bout des doigts sa plume, le regard stricte et concentré... à son âge, il était déjà des plus extraordinaire, le fils du Duc de guise. L"innocence même mêlés à une force irrévocable, comme une affirmation se dessinant sur son visage : Le trône l'appartenait.
Il traçait de belles phrases en de petites lettre subliment bien rondes. Et tous ce qu'il écrivait prenait une détermination de pouvoir et de royauté impressionnante. Voué à la bataille pour dominé sur le siège royale avec sur sa tête, la majestueuse couronne... Depuis ce si petit âge, à seulement quelque années d'une enfance difficile, à l'intelligence et le dévouement impardonnable. Toujours debout, le regard désigné en un désire de règne...
Mais ses pupilles prenait à présent un néant morbide tandis que quelques gouttes de sang vinrent s'échouer le long de ses fabuleux écrits. Un simple petit soupire s'extirpa de ses lèvres recouverte en des crachas sanglants. Il fut aussitôt emporté par la fatigue et la fraîcheur de la mort, sa tête percutant son bureau de bois maintenant taché...
Le corps vidé de toute vie, sa peau prenant des teintes d'une pâleur affreuse... On venait d'assassiner Henri, le fils du Duc de guise, d'un poignard en pleins cœur.
Et il n'eu que peu de temps après la venu du père, alors que la mère avait trouvé le cadavre de son bien aimé et unique fils...
Arthur prit entre ses mains le petits corps du pauvre enfant, le serrant contre sa poitrine battant à la vengeance. Nul larme ne perlèrent sur son visage mais il en ressentit l'affront, telle une grande lame d'une dangereuse épée s'encrer dans son dos... Et il ne put que crier toute l'envergure de sa haine.
Il tuerai de ses propres mains l'homme qui avait fait une telle chose. Il le punirait en torture comme il se le devait. Son sang se répandra sur le sol où celui de son propre fils avait été abjectement répandu.
Il pourra en payer de sa vie si il le fallait !
* *
- Est ce donc ce que vous avez fait Robert ?
Sa majesté questionnait du regard Robert avec amusement. Il avait une certaine envie de rire en vue de ce que cet homme avait exercé il y a de cela quelques instants.
- Oui votre majesté... J'ai sévèrement punit ma promise, Jeanne de bourgogne d'une flèche dans l'épaule et j'ai tué le fils du Duc de Guise. Comme vous le désiriez je n'ai pas assassinée Arthur. Après tout il s'agit de l'un de vos meilleurs combattants...
Agenouillé face à la suprême puissance du Roi, Robert paraissait médiocre tout autant que méprisable. Sa majesté laissa un petit son rauque s'échapper d'entre ses vielles lèvres. Il était à la fois ravie et péniblement agacé...
- Je devrai vous remercier convenablement pour avoir ainsi terrasser l'unique héritier de la famille de Guise pouvant accéder aux trône, détrônant ainsi la mienne. Il me suffit donc d'un simple enfants, un survivants cette fois-ci pour pouvoir perpétuer le sang royale. ( Il marqua une pause en apercevant le fins sourire et l'impardonnable satisfaction de Robert. La colère saisit le Roi. ) Mais dans mon royaume, seul moi est autorisé à punir le mal comme je l'entends ! Ne trouvez-vous pas que vous ayez commit un horrible péché, Duc de Carcassonne ?
Celui-ci se mit à trembler, balbutiant avec regret :
- Mais n'était ce pas vous le premier qui m'ayez assuré de punir un tel acte qu'est la tromperie ? J'ai assurément éviter toutes disgrâce aux Duc de Guise et en échange, j'avais une certaine liberté pour ma promise et ce fils prometteur au trône... ( Sa majesté ne faillit pas dans son autorité, fixant avec un regard tueur le Duc. ) Ho Je vous prie, pardonner mes regrettables actions.
Il se mit à sourire puis, comme à son habitude, éclata de rire. Il ne put s'arrêté tellement cela le consternait. Que de tels petits êtres faibles ? Que le règne était d'un ennui et d'un facile aux côté de ces sujets...
- Va donc épouser ta promise née d'une fausse pureté ! Si elle se trouve toujours vivante, incapable. Je te garde de toute punitions pour le moment, tu as su quelque peu me distraire...
Il apporta du vins à ses lèvres, engloutissant l'intégralité du liquide bordeaux-rouge avec soif. Comment était-ce donc possible de s'ennuyer dans une telle époque qu'était la guerre ?
Robert s'en alla comme convenu, toutes ses pensées perdurant dans une seule grossièreté : Il faut que sa majesté, un jour, puisse mourir dans d'atroce souffrance ! à vrai dire, tout le monde le désirait ardemment.
* *
Agnès ne parvenait pas à se calmer, elle se sentais constamment épiée, comme une cible à abattre. Et elle désirait de tout cœur pouvoir trouver des réponses aux côtés du Du de Vendôme. Elle qui avait toujours ce désire de le fuir, se retrouvait encore une fois obligé de le recouvrer...
- Agnès ! Mademoiselle Agnès !
Celle-ci se retourna pour faire face au Marquis de Bourbon, à Thibault. Elle avait un instant oublié cet homme qui était pourtant son promis. Elle se sentit à la fois honteuse et terriblement mal à l'aise. Une chose était certaine : Il ne lui apportera nullement l'amour qu'elle tentait de chercher pendant ces courtes années. Son cœur était si calme, reposé... Et son souffle était des plus régulier. De la simple sympathie émanait d'elle vis à vis du marquis. Cela paraissait si regrettable...
- J'ai eu vent de la décision de votre père pour notre union. ( Il reprit sa respiration en vue d'une course haletante pour la rattraper. ) Cela se fera donc dimanche prochain n'est ce pas ?
Agnés se le répéta avec une douleur atroce : Dans une semaine elle sera mariée à cet homme. Que dire ? Les mots ne parvenaient à sortir, à rencontrer une logique dans toutes ses punitions que le bon Dieu semblait lui offrir. Elle reprit comme il se devait sa respiration, recouvrant dès lors un infime courage. Il fallait qu'elle le lui dise, qu'elle soit en tout point honnête vis à vis du Marquis : Au plus profond d'elle, elle ne désirai pas ce mariage.
Elle entremêla ses doigts entre eux, mordit sa lèvre supérieur... Le regard de Thibault paraissait si impatient de pouvoir la voir en robe de marié. Cependant, tout n'était pas si simple. Elle voulais lui avouer son ressentit en espérant néanmoins qu'il le prenne correctement et veuille toujours d'elle. Elle allait dorénavant, lui affirmer qu'aucun amour ne naîtra au coin de son cœur. Du moins... Il n'en sera point le principale acteur.
- Thibault... Je...
Des pas retentirent fortement dans l'enceinte du château. Agnès se tu tandis qu'un garde, ayant marcher dans sa carrure en métal bruyante, rompit le silence.
- Mademoiselle Agnès ? ( Elle hocha la tête. ) Votre père, Charles Sorel m'a demandé de vous prévenir : Jeanne de Bourgogne est au seuil de la mort.
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Coucou !
Petit chapitre avant de partir en vacance, excuser donc le faite qu'il n' y est pas de photo ou de musique. Mais peut être aurais je le temps ce soir. Si ce n'est pas le cas, cela se fera la semaine prochaine. Merci encore pour tout, pour vos encouragements, vos messages, vos votes et vos lectures. Vous êtes géniaux !
Bisous.
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" La haine s'engage dans mon combat, aussi bien que mon amour s'avoue en ma tristesse. "