En l'an 1563, tandis que les guerres de religion éclatent et bouleversent le pays, Agnès Sorel, fille d'un riche peintre français et ami de la couronne se trouve en sûreté dans le palais royale. Les protestants et les catholiques cherchent le pouvoi...
Louis se précipita vers le bureau de sa majesté. Il fit un simple salue avant d'entrer et de se tenir face au majestueux roi. Le temps de s'agenouiller, le genoux à terre et le regard fixé au sol :
- Votre majesté, vous m'avez demandé.
Celui-ci lui demanda de se relever convenablement. Il avait le regard grave, un visage en vieillesse tandis que sa canne lui permettait de se tenir avec fierté en un dos droit royale. Il s'assit sur son extraordinaire trône fait d'or et de pierre précieuse avant d'empoigner sa coupe de vins frait. Ses yeux cherchaient une vérité dans ceux de Louis, ils sondaient son âme tout entier, marquant l'étendu de son pouvoir. Et dans son coeur, les battements de louis retentissaient en un rictus de supériorité, comme si sa majesté cherchait à lui dicter une unique affirmation : " je suis plus grand, plus fort, toujours plus que votre propre personne... Duc. "
Il ne put s'empêcher de grimmaçer, cachant la colère qui l'animait. Ce roi n'avait donc qu'un faux visage ? Ne pouvait offrir à cette coure française, qu'une insécurité recouverte de parures et de jugements en moqueries ? Ce sourire, ce si beau accueille... dévoré par la véritable nature d'un roi absolu à la recherche du pouvoir et de la manipulation. Il aurait dût s'en douter... Qu'il méprisait ce château étant enfant. Revenir... S'agissait de conquérir à ses yeux.
- Mon très cher Duc de Vendôme ! J'ai appris, par mon plus humble conseiller qu'une femme fut tué hier dans la nuit. De plus... ( Il rapprocha son buste en avant, comme pour marqué son autorité à l'affût de son regard s'immiscent plus intensément dans le sien. ) Prés de vos propres appartements. Est ce donc vrai ?
Il hocha la tête en réprimandant un haussement de haine. Il n'avait pas sauvagement assassiné cette pauvre personne... Mais dût à sa venu et à l'emplacement même du corps, il ne pouvait être que cautionné en tant que coupable. Et dans le cas présent, il ne pouvait en rien prouver son innocence. Il se mordit la lèvre inférieur... Il avait ce précieux désire de prendre son épée et de tuer ce satané conseiller. Qu'il aille en enfer se dit-il.
Le roi se mit dés lors à rire.
- Voyions ! Le Duc de vendôme ne sera point capable de tuer dans l'étendu de mon territoire et pire ( il sourit de toutes ses dents avec un certain amusement déroutant. ) dans ma propre demeure...
Son regard, cette fois-ci le défiait. Louis mit sa main contre sa poitrine et s'inclina légèrement devant lui pour prouver le dévouement qu'il lui portait. Le roi parût des plus satisfait. Qu'il aimait que l'on lui montre, année par année, l'intégralité de son absolu pouvoir immense. Il était et resterai à jamais... Le plus puissant de tous ! Il répondit aux sincère geste du Duc :
- Je vous ai demandé plutôt pour vous soumettre à une toute petite et simple question. Vous n'aurez, mon chers Duc, qu'à répondre par un oui ou non. êtes vous donc capable d'une telle chose ?
- Bien entendu... Votre majesté.
Il ne bougea guère tandis qu'on apporta quelque chose enveloppé dans un grand tissu délicats et sophistiqué. Les deux gardes chargés de l'apporter le déposèrent à ses pieds alors que le roi participa, d'un coup de pied, à le faire rouler afin de divulguer l'étendu de l'objet. Ou du moins, de la dépouille... Il put apercevoir le corps de la victime, mutilé avec comme simple vêtement, une fine robe de nuit marqué à sang. D'une blancheur morbide, l'odeur le frappa et le fit revenir à ses temps de batailles en guerre.
- Et bien... Connais tu cette femme ?
Il s'attarda sur son visage avant de s'immobilisé, paralysé. Il l'avait déjà vue, il savait où d'ailleurs mais son esprit tout entier fuyait cette hypothèse. Non... Impossible... Fichue cour de France en soit disant, sécurité et paix...
Hélas... Il s'agissait de la femme ayant partagé son lit la nuit dernière.
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Comme vous avez dut le constater, j'ai une écriture plutôt sombre qui s'est accentué au cour de l'histoire. J'ai beaucoup aimé écrire ce chapitre en me disant : "et oui Louis... Tu es dans la merde, ta beauté et ton audace ne te sauverons pas toujours." Mais comme je sais la suite, je me réconforte en me disant que vous me pardonnerez lors du prochains chapitre ou ceux à venir. Du moins je l'espère... :'D
Bisous ! ( Merci pour tous les vues, les commentaires et vos ajouts dans vos liste de lecture... ça me fait extrêmement plaisir ! )
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"Il n'est de vérité sans secret."
The false story : Normalement, sa majesté devrai être François 2 ayant seulement 19 ans. Néanmoins j'ai préféré le faire d'un âge en vieillesse afin d'accentuer son autorité et son propre pouvoir exercé sur le peuple. Ainsi, il régnera en tant que puissant Roi de France.