En l'an 1563, tandis que les guerres de religion éclatent et bouleversent le pays, Agnès Sorel, fille d'un riche peintre français et ami de la couronne se trouve en sûreté dans le palais royale. Les protestants et les catholiques cherchent le pouvoi...
Dans une pénombre terrifiante, l'obscurité engloutissait toute joie pour venir la remplacer par la peur et l'épouvante. Habillé de noire profond, intense couleur de haine, un groupe d'hommes et de femmes disposés en rond dans une salle close priaient. De petites paroles vinrent percuter les âmes de chacun tandis que leur coeur battaient ensemble dangereusement. La robe ou bien la chemise et le pantalon, tout vêtements moulants serraient leur corps alors qu'un chapeau étrange prenait forme d'un haut pique aiguisé. Sur leur visage, un masque aux yeux de boutons noire et, remontant le long de leur tête, une grande pointe impressionnante.
Nul peau découverte, cachée par leur important habits de cérémonie sanglante. Le chef, ayant un chapeau des plus imposant, le plus extraordinaire, avait les mains liées par des ronces autour de ses poignets sanguinolent. La bouche pourtant recouverte, il chantait une chanson de mort... Et des frissons terribles prirent ses compagnons.
Disposés de part et d'autre d'un cercle rouge sang, des sensations vinrent les submerger avec violence. Une présence percutait leur coeur, s'immisçait en eux afin de venir y chercher une vérité absolue... Pour enfin parvenir au sacrifice, une liberté exquise.
On amena une jeune femme au centre même des tracés... Elle était toute tremblante, l'aire apeurée et amplement terrifiée. Elle suppliait autant du regard que par ses cries. Ils se changèrent peu à peu en hurlements tandis que les chants s'intensifièrent, la tension devînt des plus pesante et une odeur nauséabonde de sang apparût.
La cérémonie commença en des rictus abominables. Elle ne pouvait entendre ce que le chef disait avec si beaucoup d'adoration et de fierté. Pourtant, elle sut malgré ses pleurs, que la mort la prendrait...
Elle se sentit dés lors happer par quelques chose... Une force incompréhensible s'approcha et vînt serrer son esprit tout entier de mains robustes et désireuses. Puis les yeux de la victime prirent des teintes blanche en crème, et son corps fut envoûté...
Convulsion et abandon la saisir jusqu'à ce qu'elle titube en cracha de sang. Son ventre se serra, se prit à se tourner sur lui même avant que, sur sa robe de nuit blanche, des taches sanglantes la firent disparaître lentement de ce monde... On dévorait son âme et aucun échappatoire ne lui était permit.
Elle se recroquevilla sur elle même, les larmes se mêlant à son propre sang. Jusqu'à ce que la cruelle mort ne l'emporte, ses yeux reprenant leur teintes grises et le corps devenu inerte et sans vie. Vide, dénudée de tout sentiments... le regard figé.
Le groupe d'assassins vinrent soulever la morte pour l'emmener jusqu'à la fenêtre grande ouverte. Ils élevèrent le corps pour ensuite le pousser dans le vide... Et la dépouilles percuta le sol en un bruit sourd avant qu'une flaque de sang ne se répande sur les graviers blancs de sa majesté.
Tout cela les animèrent d'une importante satisfaction... Alors que leur prochaine cible en un sacrifice merveilleux fut choisi par leur vénéré Satan...
Un chapitre assez court je l'avoue, mais primordiale. Je devais de plus le séparer des autres... Je préférais. Alors préparez vous, nous arrivons enfin dans le sanglant de l'histoire... La part d'ombre qui apportera la tragédie et l'action.
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"Ne soit point effrayé par ce que tu ne vois pas... Il te suffit simplement d'y croire."