Pourquoi donc avait il fallut que ce soit lui ? Le Duc... Elle ne le connaissait que depuis peu, c'était bien trop embarrassant d'avouer un tel désire qu'est de le revoir. Et puis, n'était il pas un homme attiré par toutes femmes ? Alors pourquoi se rassurait elle en se disant l'unique, la seule qui pouvait si bien former cette alchimie avec lui ? Elle fut bientôt jusqu'à sa chambre, ouvrant en un long soupire de fatigue. Non, véritablement, penser à cet homme était une honte... Le marquis semblait si intéressé par elle, de ce faite, le mariage devait l'enchanter. Et ce jour, ayant cru à un désir née entre ces deux jeunes gens, il n'en était rien ? était ce simplement... Un malaise dût à son attrayant physique ? Mensonge...
Mais à présent, plus rien de cela n'avait de la valeur dans sa vie. Ses interrogations, ses doutes et ses peurs... Elle ne pouvait qu'y faire abstraction.
En fin de compte Agnès, qui avait pour habitude pourtant de lire un de ses bouquins favoris, essaya de s'endormir directement. Le sommeille l'emportait peu à peu... Et ses doux rêves rassurants la plongeaient dans de meilleurs vies parallèles et irréelles. De quoi oublier un instant sa terrible situation... Tout devînt alors tellement plus plaisant.
Boum !
Agnès se réveilla en sursaut. Elle dût avant tout calmer son cœur qui avait bondit sous l'effet de l'imposant bruit. La main sur sa poitrine, elle reprit son souffle pour ensuite se rallonger. Cela ne restait qu'un sons maladroit provoqué par un difficile sommeille... Son voisin, pourtant toujours silencieux si il en eut un, n'avait encore jamais exécuté un tel gène vis à vis d'elle. Mais elle se le disait avec gentillesse : Cela pouvait arriver à grand monde. Elle ne prendra que peu de temps avant de se rendormir...
Boum ! Boum !
Cette fois-ci elle sortit, en colère, de son grand et reposant lit. Elle ne pouvait dormir sous ces bruits assourdissants et habituelles. Elle fit quelque pas pour parvenir jusqu'à son mur. Lorsque le son réapparut, c'était pour en comprendre un choque entre le mur et le bois qui devait certainement appartenir au lit. Mais en quoi un simple mouvement pourrai faire une telle chose ? était ce une aussi grande brute ? Elle ne pouvait plus assigné ce comportement à un simple sommeille agité.
Elle décida donc de tendre l'oreille. Posant délicatement ses deux mains contre son fin mur, coupant par réflexe sa propre respiration, levant les yeux vers les cieux... Ce qu'elle entendit la fit reculer aussitôt, le visage marqué par le mal être que cela provoquait en elle.
Elle percevait une voix de femme, mais ni en paroles ni en rires et sourires. Il s'agissait de petits gémissements telle ceux d'un agneaux perdu, avec une respirations accentués par l'effort encouru. Parfois elle jouissait de plaisir, chuchotait de petite paroles désireuses d'avoir toujours plus... Et ce que manifestement son cavalier de chambre lui offrait.
Agnès apporta ses mains à sa bouche, l'aire abasourdie. Que devait elle faire dans un tel cas si délicat ? Elle n'avait jamais eu à faire avec ce type de chose... Avant cette venu aux châteaux, elle restait seule dans sa chambre, même l'unique à l'étage. Le bruit, elle l'entendait bien, même lorsqu'il ne s'agissait que d'un petit frôlement au sol. Cependant, la plupart du temps, le silence lui appartenait et l'apaisait... Son ancienne maison lui manqua immédiatement. Sa bibliothèques avec ses nombreux livres, sa chambre grande et réconfortante et surtout, à ce moment-ci, le simple chant des oiseaux comme sons entendu.
Elle se mit dés lors à penser à son livre déposé aux coin de son petit meuble en marbre blanc crème. Elle se dirigea vers lui en essayant d'oublier ce qu'elle venait d'entendre, la relation qu'entretenait son voisin avec une quelconque femme de la coure. Elle le prit en main et l'ouvrit à la toute dernière page de sa dernière lecture... Mais encore une fois et indéniablement, le plaisirs de plus en plus intense que prenait les deux personnes à côtés de sa propre chambre se mélangeait au récit. Parfois même se concentrer ne suffisait pas... Et elle ne parvenait à lire qu'une seule phrase en boucle pendant l'intégralité du déroutant événement :

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Agnès Sorel
Ficción históricaEn l'an 1563, tandis que les guerres de religion éclatent et bouleversent le pays, Agnès Sorel, fille d'un riche peintre français et ami de la couronne se trouve en sûreté dans le palais royale. Les protestants et les catholiques cherchent le pouvoi...