Lundi 16 juillet 2016Je serais bientôt unie à cet homme. Oui, j'avais en effet réussi à convaincre mes parents que c'était pour la bonne cause. Je souhaitais lui rendre ce qui lui était dû de sa mère et surtout c'était le dernier souhait de Tata. Ma mère n'était pas tout à fait d'accord, elle a fini par accepté car, elle a compris à quel point ça me tenait à cœur de rendre la pareille à Tata Allah y rahma. Elle m'a toujours encouragé à faire le bien partout où je passe peu importe la noirceur de la chose.
Mon père a été dure à convaincre par contre, comme tout daron renoi, il voulait juste voir sa fille se marier avec un noir. C'était mon cas, également, jamais je n'aurais pensé me mariée avec un arabe en vérité. C'est pas mon mieux style mais c'est rien on s'adapte à la situation après quoi je pourrais refaire ma vie. Dès qu'il aura son argent j'en aurait fini avec. J'aurai juste à levé le stylo pour signer ses papier. Mes frères Moustakine et Khalis non plus n'était pas trop pour mais il n'avait pas leur mot à dire, c'est la loi de l'aînée. Il n' yavait que Shehkina cette folle qui était contente dès le départ, d'après elle c'est pas tout le jours qu'on assiste au mariage de sa meilleure amie avec un millionnaire ou milliardaire va savoir l'étendue de leur fortune. Enfin, bon ma mère a réussie à le convaincre lui qui était totalement contre cette folle idée de mariage. Quand ma mère lui parle, elle arrive toujours à le convaincre. J'aimerais tellement que l'homme de ma vie plus tard soit aussi bon mari, père aimant que mon papa.
En vérité, l'homme n'est rien sans la femme. Derrière chaque homme se cache une femme de feu.
Tout mon ancien quartier était bien-sûr convié, comme d'habitude les gens parlent, parlent beaucoup mais ne savent pas le dessous de l'histoire. Tout ce qui les intéresse c'est de craché sans cesse dans le dos avec le peu d'informations qu'ils ont. Apparemment certains disaient que j'étais enceinte c'est pour ça que j'étais obligée de mariée avec lui ou encore que j'étais qu'une aguicheuse et pute qui avait courue tout Paris pour se trouver un gros poisson (riche). D'après eux, c'était mon objectif en déménageant sur Paris. Des films fou digne de grand scénariste pourtant t'en trouve des centaines ici. Rien que ça jacte trop dans les quartiers Allah y Ster, venez chercher vos Spielberg ici vous allez vite les trouvées.
Attallah quant à lui m'avait recontacter pour me qu'il avait fait le nécéssaire et que le mariage aura lieu dans les jours qui suivent. Sa soeur étaient apparemment aux commandes, mais ça va vous paraître naïf mais pendant les préparatifs ça c'est plutôt bien passée avec sa soeur qui est vraiment quelqu'un de sympa. Elle a réussi à convaincre son frère qui voulait pour vous dire un mariage 100% oriental. Oui, vous avez bien entendue, il respecte rien ce vieux mec. J'étais dépité quand elle m'en a fait part et heureusement d'ailleurs. Mais elle a avait vite réussi à le convaincre que par rapport aux gens, c'était mieux sinon ça se verrait que c'est pas un mariage d'amour. Il ne sait pas de quoi aurait été capable ma mère s'il avait osée. Du côté de la famille de ses parents ça parle beaucoup selon Hacina. Dîtes lui qu'il a pas rencontrée ma famille, c'est connu les noires aux mariages même si tu mets 1 million dans un mariage. Il y'en aura toujours des gens pour sortir "La boisson n'était pas assez fraîche". Alors, si il n'y avait rien de nos coutumes, je crois que ce mariage n'aurait même jamais eu lieu. Je crois qu'il a pas eu conscience de comment j'ai manager mes parents ce grand fou. Ma mère avait mis la main à la pâte pour unir nos traditions au siennes, et aussi des tantes de Attalah mais moi j'entendais de loin puisque je n'avais pas le droit de faire quoi que ce soit.
Pour la dot, je m'était bien-sûr sapper, j'avais porter comme tenue un ensemble naija (nigérienne) pour ce qui connaisse pas. (Voir multimédia) J'avais fais des mains et des pieds avec Shehkina pour trouver un bon tailleur en mesure de me le reproduire parfaitement. L'argent avait parler puisqu'il me l'avais fais en priorité et terminé en à peine quelques jours. C'était très bien fait pour le coup, j'en étais folle amoureuse de ma tenue. Je suis tombée love d'une tenue, je suis tombée love d'une tenue ça va jamais finir entre nous mama ngai.
VOUS LISEZ
Du jour au lendemain : Héritière (1)
RomanceAïda, jeune noire africaine, d'une vingtaine d'année vois sa vie basculée du jour au lendemain...Quand elle devient l'héritière d'une fortune estimée à des milliards d'euros. No Copyright ©