"Quarante-huit"

3.3K 289 35
                                    







On se regardait tous les yeux ébahies, Aghilès le premier étonnée de me voir, suivi de mon futur ex mari et sa tendre chienne. Elle ne tarda pas à aboyer discrètement dans les oreilles de son toutou. Elle a le courage de l'ouvrir mais pas de s'exprimer à voix haute. Saloprie! Les nerfs sont trop tendus. Puis, ma tête est en surchauffe chaudard. Aghilès prend la peine de me dire Bonjour et s'installe. Je réponds à son Bonjour sans le regardée. Thelma me fait la bise et s'assoit à son tour à côté de lui. Quant à Attalah et son poussin, ma présence est similaire à une pièce de collection à ne pas ratée. Puisque leur regard reste braqués sur moi de façon immobile. Aghilès le fait signe de s'installer, c'est à cet moment quil se réveille de sa rêvasserie. Je ne sais pas trop s'il me regardait parce que je le manque ou plutôt parce qu'il à la haine contre moi.


Attalah - Aïda !!

Il s'écria faisant sursauté au passage les personnes juste derrière nous.

Moi - Atta-chiennn !!!!






J'ai bien laissée marquée un temps de pause pour faire en sorte qu'il saisisse mon fantastique accord. Cette époque est révolue abats la gentille bonne femme Aïda. Les hommes n'ont pas l'air d'apprécier les meufs bien du moins plus maintenant. C'est la reguer qu'il a chercher et c'est bien ce qu'il va trouvée mon vieux.



Sa fameuse expression sur le visage, les sourcils froncés, la mâchoire contracté, les yeux menaçant bloqué sur leur orbite, le nez gonflé à bloc pour signalé ou canalisé sa colère. J'en avais rien à foutre ceci dit, aujourd'hui c'est aujourd'hui.


Attalah -  Tu parle à qui comme ça ??

Me pointant machinalement du doigt comme un enfant. Je commençais à avoir des bouffés de chaleur et montée de tension dû à se trop plein de mauvaises ondes.



Thelma - Vous vous connaissez !??

Elle nous regardait interloqué louchant des yeux complètement perdue et cherchant à comprendre. Tu n'imagine pas à quelle point on se connaît moi et cet enculé de bas étage. Comme j'aurai aimé que non mais malheureusement le destin en a décidé ainsi.


Aghilès - On est ici pour parler de mon mariage si vous voulez bien oublier les anciennes rancunes!


Pauvre égoïste bon à tabassé. Alors lui, c'est le premier que je cognerais bien contre le bar du restaurant. Je tenais plus en place, j'avais une montée d'adrénaline soudaine en moi qui me poussait à vouloir faire quelque chose. Vous avez cette petite qui vous encourage à faire du sale.



Thelma - Mais c'est quoi le bourbier Aïda?? Parle moi..


Roya - Il y a que c'est une sale impoli, cleptomane qui sait pas se tenir.

Les voleuses de mari..hum..On en fait quoi? Voilà ce que j'attendais depuis l'instant où les deux ont posé leurs pattes dans ma paisible zone. Je me lève avec vivacité pour ainsi dire brutalement de ma chaise et l'attrape à deux bras avant de la lancer dans la tête de mon ex mari. Tout les regards ahurissant étaient désormais dirigé sur moi. Surtout, les gémissements quelque peu très fort de monsieur se font entendre.

Thelma - Ta perdu la tête Aïda ? Mais t'es..mal:.


Avant qu'elle ne termine sa phrase et qu'on ne vienne m'arrêter dans mon tripe. Je saute sur cette salope qui avait osé manœuvrer mon nom dans sa sale bouche depuis son arrivée. Non, c'était pas seulement par rapport au conard qui me servait de mari autrefois mais son manque de respect à mon égard. Je lui met une droite, une autre droite, gauche et termine en la balayant a même le sol. On pouvait entendre le bruit de ses talons gratter le sol avant d'atterrir en l'air. Je me retourne pour quitter le restaurant sous le regard des renforts qui arrivait. J'avais bien entendu laissée de l'argent pour régler ma note de cocktail.

Du jour au lendemain : Héritière (1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant