" Cinquante-trois "

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- TA PAS COMPRIS ???! DESAPPE TOI !!!



Je bougeais plus d'un poil, mais, j'en ai marre. Toute ma vie, les galères n'arrivent qu'à moi.

Moi -..



Voyant que je ne m'exécute pas, il se rapproche de moi et m'attrape violemment par les cheveux. Je sens mes cheveux se décoller de mon crâne.

Moi - S'il vous plaît. Je vous en supplie je vous donnerais tout l'argent que vous voulez dans mon ccp. Mais laissez moi rentrer entière pour retrouvé mes enfants..

Je tremblais, bientôt j'allais me pisser dessus. Son flingue était tout près de ma tempe. Je me suis jamais senti aussi proche de la mort ou plutôt entre la vie et la mort.

- VOUS RICHE CROYEZ POUVOIR TOUT ACHETER.

Il relâche mes cheveux et me colle au mur. J'étais au bord des larmes lorsque j'ai senti la bosse de son pantalon contre le mien. Oh mon Dieu...fdp..Il se branlait à mon insu derrière mon dos..J'étais dans état de vrai choc, j'osais pas me retourner trop peur de la suite qu'il me réservait. Les larmes coulaient à flots le long de mes joues. Mes reniflements se faisaient entendre. Il me retourne de force m'obligeant à le regarder entre les deux yeux.
Son flingue était toujours pointé sous ma tempes pour mener à bien ses menaces.




- A QUATRE PATTES SALOPE !



Oh putin !
Je m'efforçais de pas regarder plus bas mais il n'était pas du même avis. Il me baissa la tête et me traîna à ses pieds de force. Je fermais les yeux pour éviter cette vision d'horreur. Qui va me sauver a part le tout-puissant ? Je priais Dieu de m'aider à retrouvé mes bébés saine et sauf. Cette odeur forte d'alcool m'empêchait de réfléchir tant elle était répugnante et lui avec.

- JE RÊVE de te prendre depuis un baye mehlich aujourd'hui c'est ce jour.

J'ai beuguer deux secondes et ouvert les yeux encore plus perdu. Il avait toujours son calibre pointé sur moi tandis que la braguette de son pantalon était entrouverte. Comment ça depuis un baye ? Il m'a déjà suivie ? Ou il me suit depuis un gros moment ?
J'étais de plus en plus flipper quand mon téléphone s'est mis à sonner. Effectivement, en fait je l'avais laissé sur mon bureau perdu entre dans toute ma paperasse. Mon cœur s'est mis à battre à une vitesse folle. Je sens le regard de mon ravisseur sur moi et ensuite sur mon appareil qui ne s'arrête pas de sonner.

Il me fait un signe de la tête mais je comprend pas trop.

Moi - Euh..euh..quo..i


- RÉPONDS ET SOIS NATUREL SINON CLICK CLICK BOOM

Il agite son arme pour me montrer qu'il ne rigole pas. No pression. Je stresse encore plus parce que j'ai peur. J'attrape mon téléphone et manque de le faire tomber tellement mes mains tremblent. Malgré tout, cette personne viens de me sauver la vie mais la risqué tout autant. Les larmes perlent sur mes joues. J'ai jamais eu aussi peur de toute ma vie. L'impression qu'elle était en train de défilé et ma seule pensé était pour mes petits bébés. J'ai pas encore assez profiter d'eux..Je souffle un grand coup et décroche le téléphone. Il me le tire des mains et mets le haut-parleur. Il le pose sur le bureau et continue à braquer son arme cette fois en direction de mon cœur. Mon souffle était littéralement partie. J'étais prise de panique, la personne au bout du fil ne parlait pas non plus. Jusqu'au moment où j'entends les cris de mes petits anges. Je comprends immédiatement que c'est Attalah..


Moi - Allô ??

- Non, non Nadra faut pas taper sa soeur.

Cette voix, je la reconnaît trop bien. C'est Hacina! Putin ! Qu'est-ce ça fait longtemps elle et moi ?? Depuis ma mesure d'éloignement contre son frère. Elle ne m'avait plus adressé la parole. Ce qui est tout à fait compréhensible je lui en ai jamais voulue. Décidément, c'est de famille de décrocher le téléphone et s'éloigner à part si comme Attalah tout à l'heure elle s'occupe de mes trois garnements. Dans ce cas, je comprends mieux parce qu'ils ne sont pas de tous repos. J'arrive à les maîtrisé tout les trois tout en faisant autre chose mais tout le monde n'est pas leur mère. Oh quelle se vante?!


Du jour au lendemain : Héritière (1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant