"Six"

5.1K 478 14
                                    


Il coupa le moteur enfin le moteur après 1 heure environ de trajet. On devait être quelques part dans les quartiers riche du 92 je suppose.
On arrive devant une géante villa qui doit fait 3 maison en 1. Tu m'étonnes qu'il a des goûts de luxe sa grosse tête de prétentieux. Néanmoins, elle trop belle comme dans les films, je vais tomber amoureuse d'une maison mon frère. Je me suis toujours dit en regardant la télé, j'ai une maison comme ça je sort plus de chez moi. Je travail même à domicile s'il le faut. J'aurais jamais pensée même dans mes rêves les plus planantes l'avoir. Ressaisis-toi Aïda, c'est uniquement pour quelques mois voir quelques jours le temps que tout se règle pour Monsieur Louboutin grosse tête.

Lui - Ne te rends pas aveugle et avançons tu veux bien ? -dit-il en m'observant-

Moi - Tshipppp -rétorquait-je-

Lui - J'ose espérer que c'était juste le bruit du moteur qui rugit encore un peu à la vue de son conducteur. -dit-il me faisant toujours face-

Moi - Et si ça ne l'est pas ? Tu vas faire quoi ?

Lui - Tu vois l'arbre qui se trouve juste en face de la maison ? Je vais t'attacher là pour la nuit pour que tu puisses repenser à l'insolence dont tu fais preuve ne marche pas avec moi. Et crois moi je me trimballe belle et bien avec une corde dans mon coffre Miss Beyoncé du quartier. -acheva t-il à la fin en avançant vers la maison-

Moi - Impoli, batard va -chuchotais-je-

Je savais très bien qu'il en était capable après le coup qu'il nous avait fais sur la route avec Shehkina. M'enfermer dans le coffre vraiment ? Vous pensez pas qu'il est fou et que je ne devrais pas jouer avec ? Pour l'instant, je ne dis rien mais je sais que je ne me retiendrai pas très longtemps. Effronté, cet homme, Tata n'a rien avoir avec cet type c'était un sucre. J'ai du mal à croire que c'est belle et bien son fils. Tu m'étonnes que leur relation était ambiguë avec un fils aussi à part je me serrais couper les veines starfallah.

Il retira mes valises du coffres. Y'en avait uniquement 2, j'ai pris l'essentielle. Le reste, je le récupérerai plus tard.
J'arrive au pas de la porte et monsieur me referme à la gueule. Je cogne contre la porte assez énervé, aucune réponse. Je continue à cogner encore et encore.
5 minutes plus tard...
Une dame arabe âgé d'environ la quarantaine vêtu d'un pull et d'un pantalon de tailleur ainsi que des mocassins se présente à moi.

Elle - Bonjour, je suis Latifa, vous devez êtes madame Tabary n'est ce pas ?

Moi - Oui, appeler moi Aïda.

Elle - Enchanté, heureuse de vous connaître. Je suis au service de monsieur depuis peu. Je m'occupe de faire à manger, le linge, le repassage, l'accueil des invités etc..

Moi - D'accord, très enchanté également Lati.. Madame..

Elle - Non, appelez moi Latifa s'il vous plaît. Je vais donc partie, il se fait tard, monsieur m'a dit que Atef, son chauffeur m'attend dans son 4x4 pour me déposer chez moi . À demain ?

Moi - Oui, allez-y, à demain Latifa. Passée une bonne soirée.

Latifa - Mercie, vous également. Je viendrais très tôt demain préparer vos affaires pour le voyage.

Quel voyage ? De toute façon, tant mieux, bon débarras sa tête en manque de joie la tship. Néanmoins, la curiosité me pique.

Moi - Mon mari décolle quelque part ? Il m'en a pas encore parlé -dit-je sur un ton douteux afin qu'elle crache le morceaux-

Du jour au lendemain : Héritière (1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant