Quartorze

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Je prend le drap de lit et cours m'enfermer dans la salle. J'entends Attalah toqué ou plutôt défoncé de son poings la porte mais sans succès. La honte de ma vie, j'ai jamais eu autant la honte dans ma vie même les tresses au fil que me faisait maman petite en mode caraba c'était rien à côté. Il m'a endormi, j'ai cru j'étais dans blanche-neige, bah ouais Aïda qu'est ce que tu croyais hyn ? Un chien sa reste un chien comme un schlague sa reste un schlague même s'il se noie dans l'eau de Cologne. Nique son papa !
Bah oui sa maman moi je l'aimais fort comme ma mère, je peux pas l'insulter. On insulte pas un mort qu'il soit bon ou mauvais dans ton clan comme dans le mien qu'il repose en paix. C'était ma troisième mère sa maman, une bonasse pas comme son chien de fils. Je suis dégouté. Il m'a touché le corps, personne ne l'avait jamais fait auparavant, mais c'est pas le pire parce le pire c'est qu'il ma vue nue. Je pourrais même plus le regarder dans les yeux. Il continuait à taper et crier de sortir avec pleins de menace. Trop d'audace ce chien, c'est moi qui devrait le brûler plutôt. Quand je pense que je commençais à avoir des sentiments pour, enfin, j'en avais sinon j'allais sûrement pas le laisser berner autant. Les sentiments sa devrait être interdit. Mais c'est ce qui fait de chacun de nous des humains.




Les bruits ont finis par s'estomper, je pense qu'il a fini par lâcher l'affaire et bouger solo. Il a pas de cœur cet type. Je sors de la salle de bain et effectivement plus un chat dans la chambre. Je change de vêtements et met un autre soutif que celui de tahleur tellement j'étais dégoûtée, je met un haut de débardeur noir et met cet ensemble. Je veux même plus qu'il voit un morceaux de ma peau ce batard ou si je le fait c'est pour faire la go lourde devant lui.

(J'ai le même en vrai , il est pas trop beau mon bébé)

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(J'ai le même en vrai , il est pas trop beau mon bébé)




Comment il m'a disquette en plus ce qu'il m'a dit avant de me prendre dans ses filets.
Je vais chercher mon téléphone, hésitante j'appelle Shehkina en FaceTime. Je l'appelle et commence à tout lui raconté. Elle a dû sentir dans ma voix que j'étais vraiment pas bien. Elle m'a dit de pas le cala et de continuée mes vacances dans mon coin, qu'il s'est pas ce qu'il a raté. Parce que je suis une femme en or, les mecs c'est pas ce qui me manque à la cheville. C'est vraiment la meilleure, qu'est ce que je ferais sans elle. Je sais pas trop. On continua à parler de tout et de rien pour me changer les idées.




3 heures après on raccroche enfin.
Nous les meufs quand on s'y mets au téléphone , faut avoir un forfait parce que c'est un baye.




J'ai finis par m'endormir jusqu'au lendemain matin. Quand je me réveilla l'envie soudaine de rentrée me prit, je supporte plus d'être aussi près de lui après ce qui s'est passée. Je me sens vraiment pas bien. Je peux pas lui dire qu'on rentre, il s'en fou totalement de mon avis. Je sais ce que je vais faire, quand il ira une fois de plus dehors j'attraperais sa tablette pour réserver mon billet d'avion pour rentrée. J'hésite encore si je rentre chez moi ou chez lui enfin chez nous. Mais si je rentre chez moi, il saura que sa m'a pas seul blessée mais touchée énormément.

Je me réveille, me prépare pour profiter de mon dernier jour ici. Après tout, ce serait bête de ne profiter de rien alors.







La journée passe, j'ai été à la plage pas pour bronzé mais être au bord de l'eau dans le plus grand des calmes, j'ai fais du shopping, acheté des souvenirs, des cadeaux pour ma famille et Shehkina. Une fois terminée, je longe l'avenue pour trouvée un restaurant pour manger. Y'en a marre de la nourriture trop sophistiqué de l'hôtel. En plus, t'es même pas calée. Sa pue. Je trouve un restaurant italien. Je m'installe et commande. J'attends maintenant mon plat qui ne devrait tarder. J'observais le magnifique paysage devant moi parce que j'étais face à la vitre. Le magnifique couchée de soleil et les palmiers qui bougeait dans tous les sens, le bruit des vagues, de la tranquillité. C'est paradisiaque comme endroit pour prendre sa retraite. Je me verrais bien dans un pays exotique comme celui si ou ambiant comme les émirats.



Mon plat devant mes yeux, je commence à manger quand la chaise en face de moi émets un bruit. Je lève alors les yeux et découvre..J'arrive pas à y croire, ils sont mariés ? C'est sûrement ça, il est marié à eux pas à moi. C'était logique depuis le début, à croire je savais pas déjà à quoi m'attendre en me mariant pour lui rendre service. Parce que finalement malgré que ce soit ce qui lui reviens de droit, j'ai voulu faire la gentil. Voilà, ce qu'on récolte. Oui, je vous disais alors que se trouvait en face de moi le sale arabe qui sert de cousin à monsieur Attalah et à travers la vitre se trouvait le plus gentil des deux. Je le dévisage du regard et continue à mâcher mes pâtes sans le calculer. C'était tellement lourd aussi, rien de mieux que des pâtes fait par des italiens dans un restaurant italien, rien à voir avec ceux qu'on cuisine chez soi.

Le sale arabe aka Aghilès - Salam


Je le réponds pas et continue à mastiquer mon plat en observant mes pâtes. Je sais pas qu'est ce qu'il me veut mais je vais le faire vite comprendre qu'on sera jamais pote lui et moi. J'aime pas les fachos dans son genre.

Aghilès - On répond toujours à un salam vielle meuf

Je me retiens d'ouvrir ma bouche. Le silence, rien de mieux pour foutre la haine au gens dans son genre.

Aghilès - Comment tu fait ta reusta redescend avec tes cheveux grainés là

Là, je pouvais plus la fermée. C'est un de ses sales racistes ce mec, je vous avais pas dit ?

Moi - Je réponds au animal allez aboie peut-être que là je te répondrais tship

Aghilès - Tu parle à qui toi ?

Moi - Tu vois d'autre personne né dans la jungle en face de moi là ?

Aghilès - Je voulais être gentil, t'es rancunière bah allez nique ta mère sale pute

Gentil de quoi s'il vous plaît ? Et je rêve ou il a traité ma mère là cet bataradé ?

Je cherche pas à comprendre, je me lève et lui crache le plus gros des mollards.


Moi - CHIEN ! Moi la fille de ma mère ?? FILS DE PUTE

Aghilès - T'aurais dû je vais te saigner grosse kehba de khlel



Il s'approche de moi et veut me une balayette. Je lui fou une gifle qu'il a pas dû ressenti donc je lui grippe le visage. Il me donne un coup violent près du visage, je me défend et il lui fou des poings qui doit pas ressenti mais je m' en fou, je me défends quand même. Ma mère m'a toujours dit on te tape tu rends même si la personne a plus de force. J'applique seulement. Puis, pour ma mère je suis prête a déclaré une guerre. Il m'enchaîne maintenant de patates quand d'un coup je sentais plus ses coups. Je regarde avec difficulté mais je réussi à apercevoir Aïman qui le retient. Le reste des personnes du restaurant n'avait pas bougée de leur table et nous regardait par contre. Les afférés sa mère.









C'était que le début de mon calvaire qui s'annonçait...je suis pas au bout de mes souffrances je le sens.

Du jour au lendemain : Héritière (1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant