Du jour au lendemain : Héritière (1)

"Trente-six"

3 mois plus tard..

Sud de la France,
centre de désintoxication pour personnes dépendantes

Elle a voulu prendre, La vie comme un brouillon en se laissant entraîner par son tourbillon infernal. Un jour, une graine, lendemain une fleur, le jour d'après, le manque de lumière et d'eau. Elle ne manque pas de succomber au propre piège de la vie. Se laisser souffrir en se disant que c'est ce qu'elle mérite alors que se sont justes ses idées noir qui l'enfonce dans ce vice..
Aquincy

L'accident de voiture que j'avais fait ou plutôt le crash était contre un marchand de fruit et légumes. J'avais trouvé le meilleur avocat pour éviter la prison. J'avais obtenu une amende de dédommagement envers l'État pour dégradation de domaine public et le commerçant ce qui était normale.

Personne n'a été blessée Dieu merci mais j'étais devenue un danger public pour moi mais surtout les gens qui m'entourent. Ils m'ont fait des prises de sangs suite à l'accident qui leur paraissait intriguant. Ils ont trouvée dans mon sang un taux de drogue assez élevée qui aurait pu me coûter la vie. J'y suis passée de justesse quand j'avais ensuite commencé à crachée du sang de la bouche et pissée du nez continuellement tous les jours après l'accident. Le procès avait duré le temps d'une semaine et le verdict était sans appel. J'avais été assignée à aller en centre de désintoxication le temps nécessaire à mon rétablissement.

Ce n'est pas tout parce que la justice ne prends pas à la légère ce genre de cas. Mon permis m'a été suspendu et pendant une durée de 3 ans. Mon avocat m'avait cependant éviter la prison ce qui était le plus important. J'avais la possibilité d'effectuer des travaux d'intérêt général et suivre un stage de sensibilisation au danger des drogues dures pour récupéré mon permis à la place. J'avais décidée de les faire mais je ne pouvais qu'à ma sortie de centre de désintoxication. J'y avais échapper à pas mal de sanction parce que entre nous l'argent achète pas mal de chose même l'être humain j'ai envie de dire.

Mes parents était très déçu de moi et à la fois inquiet. Mon père voulait plus me parler disant qu'il ne reconnaissait plus sa petite fille adorée qu'il faisait voler dans les airs étant bébé. Je m'étais rendue compte de mon erreur quand j'ai vu mes proches aussi mal pour moi. J'avais verser quelques larmes si ce n'est des litres et je pèse mes mots. Dans un sens, je savais les risques liées à la consommation de ses substances illicites.

Je tente de me l'avouer à moi-même. Je cherchais probablement la mort. Mais j'étais assez buter pour ne pas me dire que je cherchais un moyen d'évasion.

Flashback

Les premiers mois était difficiles pour m'y faire mais j'avais trouvée une alliée qui s'appelle Haby.

Le programme du centre de désintoxication était composée en deux étapes. On devait être une bonne cinquantaine de patient. J'avais une chambre assez confortable climatisés et grande. C'était loin d'avoir le design, la grandeur, l'équipement de ma vraie chambre mais j'avais tout l'espace dont j'avais besoin. Le matin, c'était petit déjeuner puis participation à des activités physiques. Du sport généralement, j'étais assigné à de la gymnastique douce, relaxation et du Ping pong.  J'avais pas le choix, c'était la décision de la direction selon nos cas paraît-il.  On avait ensuite la possibilité de faire des loisirs comme des jeux de sociétés.