"Vingt-six"

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Je parlais avec Shey de notre plan qui était enfin mis en place et l'attente du résultat demain avec impatience. Elle m'envoyait des capture d'écran à mourir de rire de Twitter, Instagram ou Facebook. Moi, j'avais pas tout ses réseaux sociaux, je suis de la génération précédente ou si vous voulez préhistorique. On faisait des débats dessus, je pense que y'a que nous pour faire un débats sur une assiette ou un caoutchouc. On est vraiment paranormal comme humaine et on s'est surtout bien trouvée.


Elle me demande tu le trouve comment ce modèle. J'aime trop sa maman, je vais demandée à ma tante de me le coudre. Il était vraiment beau du moins le pagne j'aimais beaucoup mais c'était pas tellement mon style à moi mais à elle. Je lui réponds alors 'C'est sûre avec tes gros lolos, c'est versée vragada'

 Je lui réponds alors 'C'est sûre avec tes gros lolos, c'est versée vragada'

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Elle m'appelle en FaceTime pour le lâcher un gros Tship puis raccroche. Elle est timbrée cette go. Il est pas moche le modèle, c'est juste que je suis assez pudique. J'aime pas qu'on voit trop mon corps et mes formes. Les seules fois où je me permet de porter des tenues pareils sont quand Shey ou ma mère me force en trouvant les mots. Shey me traite de coincée du cul mais c'est pas parce qu'on montre son corps qu'on le met plus en valeur qu'une femme qui le cache. Chacun son avis, je peux essayer de me décoincer uniquement en présence de mon mari. Cela me suffit amplement, j'aime pas me faire remarquée. La discrétion devrait être félicités pas critiquée. Des fois, j'en ai bien les pressions que ce n'est plus permis de l'être mais plutôt interdit.

Je regardais encore les captures écran qu'elle m'envoyait. J'étais morte, si on regarde nos conversations sont remplies de ça. Nous, les filles c'est notre gros problème, on aime trop la critique facile. Tout ce qui est critiquable, on va te critiqué ça bien correctement avec des pronoms, groupes nominaux, verbes conjugués, adjectifs, accords, orthographe accentuée tout pour bien détruire. On aime ça, faut mentir toi ici, c'est notre dada. On va même te faire discours politique de 30 minutes pour t'expliquer qu'on critique pas, qu'on observe, qu'on remarque, qu'on analyse alors que critique sa reste critique orh.

 On va même te faire discours politique de 30 minutes pour t'expliquer qu'on critique pas, qu'on observe, qu'on remarque, qu'on analyse alors que critique sa reste critique orh

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J'ai rigolé à la vue de la deuxième photo jusqu'à j'étais essoufflée de rire

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J'ai rigolé à la vue de la deuxième photo jusqu'à j'étais essoufflée de rire. Les coiffeurs renois mon Dieu que c'est trop ça. Ils cherchent qu'est ce qu'il va inventer pour que ça passe crème mais devant toi il fait le scientifique. J'en peux plus, elle me ouet Shey. J'étais en train de lui répondre et reprendre mes esprits quand la porte de ma chambre s'ouvre brusquement. Une personne avait les clés mis à part moi, il pouvait uniquement s'agit de mon mari. Je jète mon téléphone sur mon coussin et prend une tête de meuf en colère. Aïda comédie club partie numéro 1.




Il s'approche de moi pour m'embrasser mais je retourne ma joue. Il me regarde les sourcils froncés avant de retiré sa veste et la jeter au sol.





Attalah - Quand son mari rentre épuisé par sa journée on dit d'abord Salam Aleykoum bébé ça va ? Ta passer une bonne journée ? On le bombarde ensuite de bisous mais toi tu me recales t'es sah là ? Tu veux que je redeviens méchant c'est ça ? Vous les femmes, je vous comprendrais jamais vous aimez les hommes qui vous traites mal après c'est pour crier sur tout les toit. Qu'est ce que j'ai fait au bon Dieu ?  Ou alors..

Je le coupe en l'embrassant, son discours de la guerre de 100 ans était partie pour durée toute la nuit. Puis, je savais que j'allais pas assumée alors que c'est un ange à présent avec moi. Pourquoi tout gâché pour rire ?
Sachant qu'il est est susceptible à la mort mon mari, sur certains terrains faut pas s'amuser avec lui.

Il prolonge notre baiser et m'en fait une rafale sur la joue droite, puis la gauche, puis le nez, puis le menton et pour terminé le front. J'étais saisie par autant de douceur et j'en revoulait encore. Je lui fait pareil et lui mords l'oreille. Il me lance un regard furtif puis me retire l'abaya que je portait. Ses yeux faisaient le tour de chaque partie de mon corps. Il se jète à nouveau sur ma bouche et me mords la langue. Je lui retire à mon tour son haut et son bas. Il portait un boxer Polo Ralph Lauren qui lui moulait parfaitement bien le derrière. Je ne put m'empêche de le prendre dans mes bras et d'avoir une meilleure vue sur son postérieur. Notre jeu de séduction venait de comment. Ses mains se baladaient sur ma poitrine ou il dépose des baisers puis sur mes fesses. Je lui faisais des suçons dans tout le cou, il gémissait alors il devait vraiment aimer ça.


Attalah - C'est qu'à moi toussa j'espère ?



Moi - À qui d'autre ?



Attalah - J'aime quand t'es aussi entreprenante ma Beyoncé à moi.




Des papillons volaient dans mon ventre à l'entente de ses paroles. J'étais folle de lui, oui je pouvais enfin le dire. J'en était follement amoureuse..

Il m'attrape par les hanches et me ramène jusqu'au lit pour ensuite m'y déposer avec douceur.

Attalah - Tu prends la pilule ?



Moi - Non, tu veux que je la prennes ?


Attalah - Non justement ne la prends jamais avec moi. Je vais pas te le dire deux fois Aïda.




J'aimais trop entendre son prénom dans sa bouche. Il avait le don de m'immobiliser le cœur entier lorsqu'il venait à le prononcer.
Il s'attaque à présent à mes sous-vêtements qu'ils retire ou plutôt arrache sauvagement telle un lion enragé. J'étais à découvert à cet instant, je fait de même en lui retirant son boxer. Il ne perd pas un seul instant pour me rentré engin dans ma partie intime. Le contact de ses lèvres sur mon cœur me procurait des réel frissons. Mais le vrai plaisir était le moteur qu'il avait dans son pantalon. On était loin sur l'autre à gémir de plaisir quand il s'arrêta net et me regarde dans les yeux. J'étais super gênée et ne comprenais pas pourquoi s'était-il arrêté. J'allais parler quand il mit un de ses grands doigts sur ma bouche.



Attalah - Tu fais de moi l'homme heureux que je n'est jamais été d'ailleurs petite précision. Merci pour ne pas me laisser tomber alors que je suis un de ses salauds des fois.




Moi - Chut bébé je t'aime wAllah.



Il me regarde choquée de ce qui venait de sortir de ma bouche. C'est un esprit qui a parlé à ma place pardonnez moi m'insulter pas s'il vous plaît. La vérité est que j'étais dingue de cet homme que la vérité sort de ma bouche et pas celle des enfants ou soit je suis un grand enfant encore.
À vous de décider.



Il plongea à nouveau sur moi et se remet à me donner tout le plaisir du monde. Je profitais de l'instant même si ma tête était un peu ailleurs parce qu'il ne m'avait pas répondu à mon je t'aime..

Du jour au lendemain : Héritière (1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant