Du jour au lendemain : Héritière (1)

"Quarante-deux"

Mon beau-père ou plutôt bientôt mon ex beau-père était le représentant de son fils pour notre divorce. De mieux en mieux, moi qui cherchais des réponses sur mon mari, sur lui, sur et eux. On pouvait pas nier que j'étais servi, certes de manière limitée mais je l'étais quand même.

Mes yeux ne se détachait pas du vrai Monsieur Tabary c'est-à-dire son père. On aurait pu penser que je lui jetait de l'œil à le fixer de la sorte. J'étais trop troublé d'établir un premier lien avec le mari de ma bienfaisante tata mais aussi celui qui avait donner vie à l'homme que j'aime.

Je sens un mauvais regard d'Attalah sur moi, je pense qu'il n'aimait pas la manière dont j'observais son père ou avocat. Dieu seul sait comment leur relation est au jour d'aujourd'hui et comment le considère t-il. Ce qui est sûr est qu'il avait repris connexion depuis très peu avec d'où sa présence aujourd'hui. Alors qu'on avait été mariée plus d'une année si ce n'est deux depuis mon internement et aucune apparition de lui dans sa vie. Je doute fort qu'il était en contact depuis la mort de sa mère. Ce qui me choque le plus est qu'il soit avocat, ou peut-être une de ses compétences qu'il à acquérit durant ses études plus jeunes je ne sais pas trop. De toute évidence, je suis sûr que son boulot va au-delà du simple d'être avocat. Je le répète une nouvelle fois leur fortune, moi-même je n'en suis pas sûr de combien il s'agit mais je sais qu'elle est sans égale. Le pourquoi du comment que notre divorce risque d'être super compliqué.

De ce que j'avais lu avant le rappel de mon avocat, certains riches ont passés plus de 50 ans à se livrée une bataille judiciaire pour obtenir un divorce à l'amiable ou les deux parties seraient en accord totale. Je ne suis même pas sûr d'avoir envie de divorcer alors pour vous dire le nôtre risque d'être long et indécis. Je suis pas une forceuse de première aussi non plus, je baisserais les armes quand je n'aurais plus la force de me battre sans équivoque.

Le père d'Attalah - Vous êtes mariée depuis exactement 20 mois si je ne me trompe ?

Mon avocat - Exact, presque 2 années de mariage.

Le père d'Attalah - J'ai pu lire également que c'était sous le régime de la communauté de biens.

Mon avocat - Merci du rappel!

Je l'entends chuchoter dans les oreilles des paroles que j'aurais préféré ne pas entendre.

Le père d'Attalah - Mon fils..Tu a déconné sur ce coup..Lahyster.

Attalah - Tu pense vraiment que j'ai fais attention à cette mention ? Zeubi on s'était pas marié par amour au cas où t'aurais déjà zapper.

Mon avocat - Hum hum. Hum hum.

Mon avocat qui avait vu mon visage crispée et à la limite de fondre en larmes leur avait interrompu dans leur jugement. Quel petite fragile tu fais maintenant Aïda. Mais où est passée la femme qui avait autant de répondant qu'un animal attaqué. Maintenant, tu fait trop pitié à même pas dépasser pas le stade de l'interaction de Siri.

Le père d'Attalah - J'ai tout à fait le droit de consulter mon client. Je ne vous permets plus de m'interrompre lorsque je le fais monsieur. N'oublier pas que tout est enregistré et sera visionner par la juge décisionnaire de l'affaire.