Je les regardes émerveillées pur beauté africaine mAchallah la descendance. Elles grandissent trop vite, j'en suis limite blasée. Bientôt toutes leurs dents dans cette petite bouche. J'aimerais tellement qu'elle reste bébé encore longtemps..
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Envoyé à Thelma Zegaï Hassan !
Ma journée commence bien posée en compagnie de mes petits bébés dans le rooftop du nouveau restaurant à leur papa. Je sirote mon cocktails un été indien dans le plus grand des calmes. J'ai mis pause sur le travail quelques temps pour m'occuper de mes petits anges et démons. Depuis la dernière fois, je parle souvent en message avec Malam. J'ai fini par le débloquer et je ne regrettes pas du tout. Il passe ses journées à me draguer au téléphone ou en messages. C'est toujours agréable de plaire à un belle homme comme lui. Bien sûr, il m'arrive de me faire draguer mais pas à tout les 4 coins de rues et surtout pas par des frappes dans son genre. Impossible de se faire draguer que par des beau garçons. Ça n'existe que dans les films, ou du moins la fiction. On va pas se mentir, les beautés ne courent pas les rues au contraire on tombe toujours sur eux de loin. Tu les regardes s'en aller en te rinçant l'œil sachant que tu ne les reverras plus. C'est la triste réalité moi je dis..Alors quand Malam me dit du rentre dedans impossible de dire non. J'ai longtemps pesé le pour et le contre, et j'en suis arrivée à cette conclusion. Si avec Attalah, on se remet ensemble pour de bon et qu'on arrive à passer au-dessus des montagnes russes qu'à été notre relation. Alors, je couperais tout contact avec Malam. Dis comme ça c'est considéré Malam comme un bouche trou, un plan b ou encore la roue de secours. Oui, absolument. Mon cœur balance toujours pour mon premier amour, mon mari c'est évident. Puis, y'a pas photo a mes yeux personnes n'a le quart de sa beauté. Parole d'une femme encore éprise de son (ex).
Mon téléphone vibre, un message de ma poto. « Elles sont trop choubidoubidou mes chéries. Tu me les ramènes quand ? »
« Quand t'es libre madame la première dame. »
Thelma a un emploi du temps de ministre depuis qu'elle s'est marié. Il force de ouf Aghilès rien qu'il la bloque. Il a encore rien compris celui-là, le meilleur moyen de faire fuir une femme. C'est le même fonctionnement qu'une rose faut la laisser s'éclore au risque de la faner. Elle va vite être très soûler de cette situation moi yé dis oh.
« C'était nulle villageoise ! On se voit quand tu veux mogo off tu ments sur moi là ! »
« Au début c'est le déni et après ça va me chercher avec cuiseur à vapeur à la place du cerveau. Aïda copineuuuh tu avais trop raison ici et moi je vais te regarder en te disant Thelma faut attrapé ton cœur seulement.»
« Tu parles trop mal toi. T'inquiète pas pour moi je suis au contrôle. »
« Contrôle ? Pardon, madame sort 1 fois par mois si ce n'est avec son mari. Quand tu va taper tes dépressions faut pas venir ici deh. Je vais t'envoyer chercher l'eau dans puits d'abord. »
