"Dix-huit"

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Je vais lui faire à mangé à Staline et son cousin Hitler. Je vais les appeler comme ça maintenant. Pourquoi ? Parce que l'un se prend pour un dictateur et l'autre n'est une grosse pourriture raciste.

Je plonge les haricots verts dans de l'eau bouillante. Une fois cuite, je les vide de leur eau pour ensuite les remettre dans la casserole. Je vais pour prendre des steaks pour les mettre au four, pas question que j'épuise mon énergie pour ses deux vauriens tship. Quand je sens une présence dans mon dos que je connais maintenant parfaitement le parfum, je me retourne et vois Attalah.

Staline - Alors c'est prêt ?

Moi - Bientôt !

Staline - Tu nous a fais quoi ?

Moi - Des haricots verts et le steak je suis en train.

Staline -T'es sérieuse là ?

Moi - Oui, pourquoi ?

Staline - J'espère tu les a fait pour toi et y'a un deuxième truc pour nous !

Moi - Tu blagues j'espère. Vous aimez pas les haricots verts ? C'est pas mon dos ! Tu comprends ? Je m'en tape ! C'est un fou lui. Déjà je suis gentille, je vous faits à bouffer vous êtes pas contents. Allez pique de là.

Staline - C'est à moi que tu parles comme ça ? T'ose me contredire ? Je suis ton chien moi ?

Moi - Aboie pour voir si je te valide parce qu'il ils sont vraiment mieux que toi frère !






Il me soulève en me pressant contre son torse, j'essayais de me débattre en lâchant des cris féroces mais il est trop fort pour moi. Il grimpe les escaliers 2 par 2 avec une rapidité, en dirait il soulève une plume, lahila. On arrive au troisième étage, le notre, putin elle dors dans ma penderie ou quoi Shey jusqu'à je cries elle m'entends pas cette conne. On est maintenant devant la porte rouge blindés lui appartenant comme je l'avais deviné, je vois qu'il prends ses clés dans sa poche de short et les enfonce dans la serrure tout en me tenant agilement avec son autre bras. Elle s'ouvre et la lumière s'allume automatiquement, nous sommes dans une pièce longue en largeur mais petite en longueur avec encore une porte juste en face menant sûrement à sa vrai chambre. C'était cependant meublé de fauteuil et une petite table au milieu. Il me laisse tomber au sol et ouvre l'autre porte, puis reviens rapidement. Je le regarde, il me regarde, je le lâcha un Tship tellement bruyant obligée on m'a entendue jusqu'à Praïa.




Attalah - Tu cherche les coups c'est ça ?

Moi - ..

Attalah - Je te parles sale grosse !

Moi -..

Attalah - Comme tu veux faire la princesse je vais appeler Latifa pour nous faire à manger et tu va finir ta nuit dans mon mini salon

Moi - Tu sais que je peux aller porter plainte ?

Attalah - (Il ricana)

Moi - Maltraitance sur enfant d'autrui la hagra ça paye pas tu verra

Attalah - On est marié Aïda ça par contre sa paye




Je m'aimais pas une chose était sûre, je cherchais ma sentence ou pas. Il se prend pour qui d'ailleurs. Ce stupide contrat ne représente que de la fumée pour moi. J'ai pas de compte à lui rendre, il me la fait bien comprendre qu'il n'y avait pas de nous et qu'il y'en aurait pas en me disant qu'on va divorcer. J'avais trop envie de le taper mais bon je suis pas suicidaire aussi calmez vous. Il me bouscula et sortit de la pièce à toute vitesse en la fermant à clé. J'étais au bord de la crise de nerfs, obligée j'ai des veines qui vont éclatés laye. J'observe la pièce, c'est vraiment typique de lui sans vie et sombre. À force de tourner en rond dans la pièce, je fini par m'endormir au sol dont la moquette était très douce..






À mon réveil j'étais dans un grand lit recouverte d'une couverture, je regarde autour de moi et observe la pièce, les murs sont colorés de noirs, seulement les meubles sont de couleur blanche. Il y'a une fenêtre donnant sur un balcon mais les rideaux était tiré, c'était le seule soupçons de lumière de cette pièce.Assez glacial, j'en ai eu des frissons. Sa chambre n'était pas une surprise finalement, j'avais bien deviné que c'était un sacré psychopathe. J'émerge en douceur de son lit, à peine un pieds au sol que je sentis sa présence derrière mon dos.

J'hésite à me retournée pendant quelques secondes. Il s'approcha et me retourna instantanément face à lui, j'étais figée par sa beauté mais très vite je me rappelle ce qui me fait subir. Son visage avait l'air adoucit, c'était vraiment curieux et surtout rare. Il tira sur une de mes boucles de cheveux et réitère le même geste. J'attrape alors son bras par la poignée et la retiens.



Moi - Pas touches à mes cheveux, c'est sensible.








Il s'arrêta et d'un geste brusque me prît la mâchoire d'un seul doigt pour ensuite la tirer devant à 2 cm de son visage. Je sent mon corps me brûler et des papillons au bas ventre, je sais pas ce qui m'arrive. Il m'effleure les lèvres du même doigt, je régissais pas, mon cerveau voulait pas réagir ce batardé.

Il approche sa tête de mon cou et me chuchote à la tempe.

Attalah - Laisse toi faire..

Du jour au lendemain : Héritière (1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant