"Vingt-deux"

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Il s'approcha du lit et prend une télécommande posée sur le rebord. Il appuie sur bouton et la pièce s'éclaire d'un coup. Je lève les yeux au plafonds et aperçoit des lampes en formes de carré. On se croyait dans un club, sauf qu'on était dans la chambre de Monsieur. J'étais émerveillé, c'est vraiment trop original comme décoration finalement malgré la sombreté des murs noirs.


Moi - Hum. Votre nouveau argument pour avoir ce que vous voulez. Incroyable ses hommes !


Je souffle d'agacement et le fusille du regard avec méfiance.



Lui - J'irais en douceur t'inquiète fais moi confiance.


Moi - Justement je te fais pas comme confiance.



Lui - Je crains Allah alors si tu lui fais confiance fais moi confiance aussi.




Moi - C'est pas pareil.




Lui - Ça change rien au fait que je suis ton mari.



Moi - C'est pas toi qui voulais divorcée déjà commence par arrêter de jouer avec moi.



Lui - Pourtant je t'ai pas baisé la dernière fois quand j'en est eu l'occasion.



Je lui tape la bouche.



Moi - Je suis ta pute moi ? Tu me baise moi ?



Lui - Tu veux que je te montre comment ?


Moi - T'es qu'un sale couillon. Je te détestes.


Tellement faux Aïda, te ments pas à toi-même. Ments aux autres mais pas à toi-même. Pourquoi ton coeur s'agite depuis ton entrée dans la pièce en sa compagnie. Non de Dieu, je me ments à moi-même. Il m'a bu Putin.

Lui - J'ai jamais joué avec toi au fond tu sais que toussa c'est pas un jeu. Parle aussi j'suis pas ta copine moi.

Moi - Je te crois..


Il me coupe la parole en m'embrassant tendrement la bouche. Il me lève le menton et s'empare de mon cou en m'embrassant sauvagement le cou. Je reprends très vite mes esprits en le repoussant.

Moi - Ta pas honte mon petit frère est dans la chambre a côté de la nôtre.


Lui - Les murs sont tous insonorisés dans cette maison te cherche pas d'excuse. Je sais que t'en a envie aussi.


Moi - Non, c'est faux.


Il s'approcha à nouveau et me dégrafa mon soutien-gorge. Ses mains contre la peau provoqua un puissant désir. Je me laissa faire..














Le matin, à mon réveil, j'étais encerclé par les gros bras d'Attalah. C'était assez spéciale hier soir, on l'a fait presque toute la nuit au début j'avais monstrueusement mal mais au fur à mesure la douleur a disparu. J'avais des sentiments pour lui une chose est sûre mais dire que j'en étais amoureuse j'en sais trop rien. Je connais rien à ce sentiment, j'ai jamais aimé personne mise à part ma famille. J'étais tellement bien dans bras que j'ai pas voulu m'en détacher à mon réveil et je le laisse dormir le pauvre.








Du jour au lendemain : Héritière (1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant