"Quarante-quatre"

4.1K 314 24
                                    









Je me détache de son cou et descend de ses jambes pour bien verrouillé la porte à double tour si ce n'est même à triple tour. Il me regarde du coin de l'œil, chose faite, je balance mes talons sur le côté avant de me remettre dans la même position. Mes jambes autour de lui emprisonnant sa taille. Il se redresse d'un coup et s'empare de mes lèvres. Notre baiser devenait terriblement endiablé tandis que nos souffles nous importait plus. Il me retire ma robe avec une telle douceur que des papillons volaient autour de mon bas ventre. Mon élastique venait de se volatilisé au profit de mes mèches de cheveux tombant qui partait dans tous les sens gênant mon œil droit. Attalah me mordilles les oreilles avant bloquer celle-ci contre. J'avais le mérite de les avoir bien trop volumineux et massif une fois manœuvrer c'est pourquoi je les avais attaché de telle sorte qu'il ne me gêne pas.

Attalah - T'est beaucoup plus sexy comme ça femme. Tu va me faire..

Il n'eût pas le temps de terminé sa phrase qu'une bosse se dessinais au niveau de son pantalon. Je lui retira rapidement sa chemise, puis entrouvre son pantalon qu'il jeta de lui-même au sol me faisant basculer au dessus de lui. À présent, j'étais en soutien-gorge/tanga et lui avec un simple boxer, mes yeux étaient embués d'étoile tellement il était irrésistible. Je tomba sur son torse la tête la première à croire que j'allais fait un plongeon dans une piscine. Quand je sentis une petite douleur au niveau de mon épaule, je gémis et grimaça sous le regard de mon mari qui comprenait pas.

Attalah - Qu'est ce que t'as ?


Moi - J'ai fait une chute dévalant l'ensemble des escaliers. J'arrive à marcher sans les béquilles mais ma paralysie à l'épaule droite est toujours présente et j'avais complètement oublié.


Attalah - Ils t'ont rien diagnostiqué pour ?



Moi - Non, ils savent pas comment ni quand est-ce qu'elle va s'en aller.


Attalah - Oh les incompétents tfou 3alik !Demain, à la première heure, je te sors d'ici.


Moi - Mais..

Attalah - Y'a pas de mais qui tiennes WAllah demain on s'en va Aïda. Tu comprends ou je dois te kidnappé de force pour en sortir ?


Moi - Ta raison cette fois, je te suis. Mais t'es sûre y'aura aucun impact auprès de la justice si je sors sans avoir été validé par eux pour sortir ?


Je me posais trop la question, certes c'était trop beau mais pour être vrai ça l'était encore plus.



Attalah - Oui, t'inquiète pas mon père s'occupe de tous.

Je ravala ma salive en fronçant les sourcils un peu inquiète.


Moi - Mais il m'aime pas ton père..Je l'ai vue à la manière dont il parlait de moi et..


Attalah - Arrête de te prendre la tête pour tout ça. Il était enragé parce qu'il pensait que t'était avec moi pour des mauvaises raisons. T'occupes ok ?


Moi - Oui mais comment sa se fais qu'il revienne dans votre vie tout..



Il me coupe la parole en m'embrassant à pleine bouche. Je prolonge le baiser à mon tour et lui retire son boxer en même temps, lui me retire mes sous-vêtements et l'action se passe très vite. On avait fait l'amour comme à nos premiers jours, c'était encore mieux qu'avant parce qu'on s'était manquée et qu'on venait de se retrouvé sûrement. Nous avions pas dormir de la nuit puisqu'on avait remis la partie à trois reprises. Lorsqu'on fut épuisé, nous avons alors entamé la discussion qui me faisait peur. Il y'a encore quelques mois de cela mais cette fois, j'étais enfin prête à passée outre ses épreuves qui ont été aussi difficiles pour moi ou pour lui.



Du jour au lendemain : Héritière (1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant