"Trente"

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Il lui décrocha son poing en plein dans le ventre et l'enchaîne de deux autres poing qui vienne toucher son torse et son bas-ventre. Aïman se retrouva au sol en un clignement de mes yeux. Je regardait l'action sans pouvoir agir. J'étais comme figée devant la violence de mon mari contre son cousin. Aïman au sol, Attalah le releva d'un seul bras lui disant "Je frappe pas une pute au sol" il le frappa et le coucha à nouveau. Il avait l'air de prendre plaisir à ce massacre. Aïman avait un gros coquard autour de l'œil mais Attalah n'était pas prêt à s'arrêter. Aïman semblait sonner qu'il n'arrivait pas à répondre à ses coups. Il l'enchaîna encore et encore avec toute la haine du monde. Je commençais à voir des reflets de sang au sol si c'était pas une flaque. J'étais obnubilé mais surtout j'avais vraiment peur pour la première fois d'Attalah. J'osais pas m'approcher de peur de m'en prendre une à mon tour ou qu'il termine de lâcher sa haine sur moi. J'arrêtais pas de me demander le pourquoi de cette brutalité. Je regarde mon genoux et essaye de retiré tant bien que mal le bout assiettes. Je réussi à tiré un coup sec et lâcha un cri. Il se retourne vers moi me lance un regard d'une noirceur. Même dans mes pires cauchemars j'en avais jamais vue des si effrayants.

Il finit par lâcher Aïman et lui crache à 3 reprises des mollards. Puis, je l'entends rire à gorge déployée comme un psychopathe. Je le regardais choquée mais à quel grande malade je suis marié. Dieu sauve moi.



Lui - Tu baises ma femme ! Mon cousin baise ma femme !



Il se met à ricaner à nouveau et se rapproche de moi.




Moi - J'ai rien fait wAllah Atta..



Il me coupa en mettant sa grosse main sur ma bouche. Il me soulève et me porte sur ses épaules.




Moi - Je te jure c'est lui qui m'a fait des avances mais j'ai rien fait.





Je sentais ses bras compressé ma taille sur ses épaules. J'avais trop mal à la jambe puis j'avais l'impression qu'on m'explosait les rhins.



Attalah - Ferme là m'énerve pas encore plus que je le suis ! J'ai tout vue arrête de nier grosse kehba ! C'est Aghilès qui avait raison depuis le début !


Moi - Allah..




Il me laissa tombée contre le parquet du couloir que je n'eut pas le temps de terminé ma phrase.





Attalah - Je vais te montrer comment on traite les chiennes. J'ai été trop gentil.


J'avais plus de souffle ni de force pour m'exprimer. J'avais mal partout, c'était comme si on m'avait battu à plusieurs reprises. La seconde d'après on était dans la chambre et j'avais un chandail sur les yeux. Il me jeta au lit et j'entendis un bruit de métal claquée. Il me releva les deux mains et les écarta contre les barres du lit. J'essaye de bouger mes bras mais je me sens attachée au lit. Oh mon Dieu, il m'avais menotté..


Moi - Je t'aime trop Attalah sur ma vie je t'aime trop pour te tromper.



Attalah - Moi je t'aime pas salope ! Je voulais juste te baiser depuis le début !



À l'entente de ses mots, j'étais complètement brisée. Les larmes coulaient à flots sur mon visage. Il m'aimait pas tout s'explique maintenant. C'est pourquoi il n'avait pas répondu à mon je t'aime. Il attendait juste le bon moment pour me le foutre en pleine gueule. Shekina avait raison, les hommes sont sans cœur. Moi qui pensait qu'il m'aimait ou du moins avait des sentiments pour ma personne. Il pensait juste à me baiser, rien de plus. Je me suis fait avoir débutante que je suis. C'est comme si mon cœur était tirée de chaque côté par des fils. J'étais mal. C'était aussi douloureux qu'une balle en plein cœur ou du moins l'équivalent.
Je sentais mes vêtements retirés un par un et très vite, je me sentais nue.

Moi - Laisse moi partir..J'ai froid..









Je sens ma bouche pleine de chaussette puis il retire les chaussettes et la barricade par un bandage autour de mon visage. Je voulais crier, le supplier, lui demander ce qu'il comptait faire mais je n'arrivais pas à parler. Je stressais comme jamais je n'avais stressée de ma vie. Je sentais mon front brûlée, mon corps suée. Des bouffées de chaleur m'envahissait. J'avais la nausée, puis du vomis sortie de ma bouche. Elle coulait et traversa le bandage. J'avais le tournis, je comprenais pas ce qui m'arrivait.



Il me retire les menottes et me détache du lit. Je le pousse de toute mes forces et retire immédiatement le bandage. Il me regarde dans le blanc des yeux puis regarde le bandage remplie de vomi. Prise à nouveau d'envie de vomir, je cours dans les toilettes. Je déploie tout mon intestin dans la cuvette. Je me nettoie la bouche avec un papier toilette pas le choix. J'étais vraiment pas bien,


Puis, j'entends les pas d'Attalah arrivée dans les toilettes. Je sens son regard sur moi alors que j'allais me retournée pour lui faire fasse. Il m'attrape par le cou et me retourne de force.



Attalah - T'EST ENCEINTE DE LUI EN PLUS ?? SI JE TE TUE PAS AUJOURD'HUI TRAITE MOI





Il me serre le cou de plus en plus fort. J'essaie de respirer mais j'arrivais pas. Je me sentais partit à petit feu..

Du jour au lendemain : Héritière (1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant