Quelques jours étaient passés depuis la visite de la famille à Attalah. J'avais regardée pendant des heures les feuilles de papier à m'en rendre les yeux rouges. Sans oser avoir le courage de les signer. Au fond ma raison voulait après tout le mal qu'il m'avait fait mais mon cœur l'emportait sur l'amour que j'ai encore pour lui. Je l'aimais encore une chose était sûre sinon j'aurais déjà signé cette paperasse déterminant mon avenir.Mes parents devaient rentrée pour leurs obligations professionnelles puis aussi reprendre ce qu'ils avaient laissées en suspens dont un certain Moustakine. Lui laissé leur tendre et chère appartement seul était comment dire vous l'avez sûrement compris. Puis, devant eux je faisais la dame de marbre pas toucher par tout ce qu'il m'arrivait. Ma mère n'y croyait pas trop. Les mères ont un instinct développer que j'aurais aimées avoir avec les miens..Khalis allait cependant rester avec moi histoire de pas me retrouvé seul quelques jours. Il a déjà loupé pas mal de cours ce qui lui fait plaisir mais pas à mes parents. Il n'a que 16 ans ce qui est compréhensible encore un bébé mon petit frère. Il n'aime déjà plus l'école et bah sa promet.
Un soir, alors que je m'apprêtais à me couchée la sonnerie de la maison résonne. Je me lève de mon lit pour aller ouvrir.
Qui pouvait bien venir à une heure aussi tardive ?
Je descends les marches d'escaliers une par une à pas lents. Faut me comprendre j'avais plus d'énergie en moi. C'était devenue un sport à part entière pour moi de marcher. Je regarde par le judas et aperçoit une fille de dos tournée avec des vanilles longues. Cette silhouette, je la connaissais comme ma poche. Il s'agissait de Shey..J'ouvre la porte et elle finit par se retournée. Elle avait un coquard à peine visible sous l'œil. Elle me regarde et me prends dans ses bras. Je la repousse pour lui échapper immédiatement. J'avais toujours pas digéré le fait qu'elle n'a pas été à mes côtés dans les heures les plus sombres de ma vie.
Shehkina - Aïda..
Moi - Non. Laisse moi tranquille ta plus ce droit.
Shehkina - Je te jure c'était pas de ma faute. J'ai eu une..
Je lui claque la porte au nez. Elle m'avait gavée. J'en avais rien à faire de ses excuses toute faite. Je peux vous paraître égoïste mais dans ce genre de moment on ne pense qu'à soit. J'étais déboussolée parce que d'un autre côté ça me faisait mal de recalée ma meilleure amie. Parce que je l'aime trop ma sœur mais ce qu'elle m'a fait. J'étais loin d'avoir digéré peu importe les excuses qu'elle a pour moi c'est qu'une traite. C'était moi et elle contre tous mais on est juste humain. Il suffit d'une erreur de trop pour bousillée tout ce qu'on a affrontée avec une personne. Les bons moments ne comptent plus, on ne voit que son mauvais côté.
Je commence à remontée les premières marches de l'escalier quand la sonnette la serrure de la porte de déverrouille. Je me retourne instantanément prise de panique j'attrape un parapluie au pieds de l'escalier. Il fait noir dans l'entrée juste les lumières du ciel éclair la pièce par les fenêtres aux quatre coins de la porte. La personne rentre et se retourne pour refermé la porte derrière elle.
Quand je sens le parfum de mon mari envahi toute la pièce. Je repose le parapluie à sa place et descend les deux marches que je venais de gravir.
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Du jour au lendemain : Héritière (1)
RomanceAïda, jeune noire africaine, d'une vingtaine d'année vois sa vie basculée du jour au lendemain...Quand elle devient l'héritière d'une fortune estimée à des milliards d'euros. No Copyright ©