"Trente-quatre"

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J'avait reçu du support de la famille proche qui s'était même déplacer pour restée deux-trois jours à la maison. Il y'avait pas mal de chambres alors c'était pas réellement un problème. Le monde qui se faisait dans la maison me faisait sentit entourer donc apaisée. La sœur et le frère de mon père, ainsi que leur enfants, mes cousines et cousins était venue. Ma mère avait préféré limité les membres de la famille au courant. J'étais du même avis qu'elle car quoi qu'il arrive même dans la famille aussi il y'aura toujours ses hypocrites qui se réjouit de ton malheur. Surtout ceux qui était pas d'accord pour que j'épouse un arabe à croire c'est leur vie. J'ai bien envie de leur demandée s'il en sont mort que je l'ai épousée. Qu'est ce que ça changer à leur vie à part du ce n'est l'évolution. Bref, être entourée par mes cousines qui me soutenait plus que tout, dormait avec moi pendant mes plus sombres nuit me faisait énormément de bien. Mais lorsqu'il sont tous repartit à leurs vies le jour d'après, j'avais ressenti à nouveau cette sensation de vide en moi.




Deux semaines étaient passées et la plaie béante dans mon cœur n'était pas cicatrisée. Je me morfondais sur mon sort. À me demandée si ce n'était pas les seules enfants que j'aurais eu dans mon entière vie. J'étais devenue la vraie définition de fragilité si on veut.
Un matin, alors que ma mère venait de toquer une énième fois à ma chambre sous menace de me frapper avec mes propres marmites. J'avais fini par sortie parce qu'on avait apparemment des invités ou plutôt j'avais des invitées. J'étais étonnée faut dire que je n'attendais plus à à personne après avoir envoyé chier ma seule amie de ma vie et tenue pour responsable mon mari sans compter ma belle-sœur que je n'avais toujours pas pardonner. J'avais fini par me doucher, m'habiller et sortir de ma chambre. J'avais enfiler une robe en pagne et attachée mon foulard en turban puis mes sandales multicolores pour être un minimum présentable de plus que je ne sais pas à quoi m'attendre. Je me regarde dans le miroir et découvre mon visage marqué par des cernes immenses et deux petites bosses sur le milieu de front et sous mon menton. On aurait dit, je sortais tout droit d'une séquestration pour être honnête. À ma sortie de ma chambre se trouvait devant ma porte mon petit frère Khalis qui se jeta sur moi et me fit un gros câlin. C'était un temps soit peu agréable même si ça n'effaçait pas ma douleur physique et mentale. Il me tira jusqu'au rez-de-chaussée ses mains autour de mon cou. J'étais bien la minipouce de la famille, même lui était aussi grand que moi. On arrive au salon et je découvre ma mère, mon père installer en face de la tante de Attalah et son oncle ainsi que leur fils de 16 ans. Je les avais reconnu car c'était eux les représentants de monsieur à notre mariage pour le religieux. Il avait une forte ressemblance avec Aghilès et Aïman surtout. Latifa avait disposée des boissons et du thé sur la table accompagnée de petit apéritif concoctée par ses soins sûrement aidée de ma mère. Parce qu'il y'a des brochettes d'Alloco et de viande que seule ma mère s'est bien garnie dans le tas..

Mon frère Khalis me lâche directement et cours s'installer à proximité du buffet et des bonnes choses. J'aurai peut-être fait comme lui il y'a quelques mois mais mon goût n'est plus tellement à la bouffe. Je m'empresse d'aller vers mes "beaux-parents" les saluer et leur souhaité la bienvenue.

Moi - Salam Aleykoum


La tante - Aleykoum salam ma fille



J'esquisse un sourire forcer auquel la tante me réponds mais pas son mari, ni leur fils de 16 ans. D'ailleurs, je m'en rappel plus de son prénom à lui et en vrai je m'en fou il doit être autant déréglé que ses deux frères. Je m'en approche pour serrer la main à l'oncle mais celui-ci regarda ma main avant de remettre ses yeux ailleurs. Je tends ma main au fils qui resserre son étreinte limite me la broyant. Je tente de retirer ma main mais il ne la lâche pas alors sa mère lui lance un regard scarface. Khalis qui avait vu la scène avait faillit intervenir mais je lui lance un regard pour lui faire comprendre que non. J'étais choquée et pétrifiée pas leur action quand la tante se leva et me fit la bise. Elle me serra dans ses bras ensuite, j'étais un peu plus soulager. Tel père, tel fils, je ne pus m'empêcher de penser. La tante de Attalah était la sœur de sa mère. Tata m'avait déjà parler d'elle limite déballer sa vie. J'en savais un rayon sur cette famille mais brièvement. Si j'avais été mauvaise peut-être que j'aurai pu être Emily dans Revenge. Mais leur famille a l'air considérablement détruite, plus besoin de personne pour l'achever. Puis, je repense à notre conversation avec Tata et je me rends compte qu'il s'agit de cette sœur. Elle en a pas dix milles mais bien une seule.






Du jour au lendemain : Héritière (1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant